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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 16:31


http://communismeouvrier.files.wordpress.com/2012/04/discrimination2.jpg
Depuis Le Vif.be, le 19 février 2013.

Le CPAS [Centre Public d'Action Sociale] anversois refuse de payer des antirétroviraux à certains sans-papiers séropositifs.

Ceux qui ont la possibilité de se procurer les médicaments dans leur pays d’origine ne bénéficieront pas du traitement dont le prix peut s’élever jusqu’à 800 euros par mois. C’est ce que révèle le journal De Standaard.

Lors du précédent conseil du CPAS, Dirk Avonts (Groen) et Dirk van Duppen (PvdA), tous deux médecins, avaient déjà soulevé la question. "Le remboursement des antirétroviraux était déjà problématique pour la précédente administration", déclare Avonts.

"Le nouveau conseil du CPAS a confirmé maintenant que tous les cas de patients atteints du VIH seront examinés individuellement et qu'il n'y aura plus de règle générale, ce qui n'a pas de sens à nos yeux. Chaque patient a besoin d'antirétroviraux contre le VIH".

Danger pour la santé publique

Ludwig Apers, médecin de l’institut anversois de Médecine Tropicale, déclare avoir reçu l’année passée une vingtaine de patients sans-papiers n’ayant pas bénéficié des moyens nécessaires du CPAS anversois pour financer le traitement indispensable.

Selon Apers, le non-accès au traitement constitue "un danger pour la santé publique". Après quelques jours sans antirétroviraux, le virus se remet à se multiplier.

En outre, une trop faible dose d'ARV peut entraîner le développement de virus du VIH résistants. "Nous savons aussi que beaucoup de sans-papiers se prostituent pour survivre."

Le médecin et chercheur en santé publique Wouter Arrazola de Oñate déclare dans le journal De Morgen que "le principe d’accès universel aux traitements VIH est reconnu par l’Organisation mondiale de la Santé comme stratégie efficace dans la lutte contre cette épidémie mondiale.

Tous ses membres ont reconnu, signé et souscrit à cette préconisation dans la philosophie de la lutte mondiale contre les maladies infectieuses et la solidarité."

Selon la présidente du CPAS d’Anvers, Liesbeth Homans (N-VA), la grande majorité des séropositifs qui font appel au CPAS sont aidés. Ce soutien dépasserait même les règles prescrites par le gouvernement fédéral.

A l’avenir Homans propose de lier l’octroi d’aide médicale urgente à la souscription d’un trajet de retour volontaire. "Ainsi, nous assurons l’aide médicale la plus urgente et nous prévenons une menace éventuelle de la santé publique" déclare-t-elle.

Rappel à l’ordre de Maggie De Block

Le cabinet de la secrétaire d’État à l’Asile et la Migration Maggie De Block (Open VLD) réagit avec étonnement à la proposition de Liesbeth Homans de lier l’octroi d’aide médicale urgente à la souscription d’un trajet de retour volontaire.

"Nous ne comprenons vraiment pas cette proposition. Si quelqu’un de gravement malade refuse de signer un tel trajet, on va le renvoyer à la rue et le laisser crever ? C’est inacceptable", déclare Els Cleemput, porte-parole de la secrétaire d’État.

En outre, De Block affirme que tous les frais liés à l’aide médicale urgente sont actuellement "remboursés intégralement au CPAS" par le gouvernement fédéral.

Quant aux présidents des CPAS de Bruxelles et de Gand, ils désapprouvent totalement le fonctionnement du CPAS anversois.
Dans le journal De Morgen, Yvan Mayeur (PS), président du CPAS Bruxellois, qualifie le refus de son homologue anversois "de pur scandale".

Entre-temps, Liesbeth Homans a fait savoir que l’administration du CPAS anversois ne compte pas modifier son fonctionnement. "Chaque semaine, nous nous réunissons six fois deux heures pour examiner l’aide médicale. Nous ne traitons donc pas le problème à la légère."

Source :
http://www.levif.be/info/actualite/belgique/le-cpas-anversois-refuse-les-antiretroviraux-a-certains-sans-papiers/article-4000250656438.htm

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 14:35


http://www.lepoint.fr/images/2013/02/14/nic-bahrein-france-gaz-lacrymogene-francois-hollan-1071771-jpg_943049.JPG
Depuis Le point, le 14 février 2013.

Paris a envoyé grenades lacrymogènes et CRS pour former les forces antiémeute du royaume du Golfe. Or elles tuent les manifestants depuis deux ans.

Le fâcheux précédent tunisien, au cours duquel Michelle Alliot-Marie, alors chef de la diplomatie française, avait proposé au régime de Ben Ali le "savoir-faire" français en matière de sécurité pour mieux maîtriser les manifestants, semble se répéter dans un autre pays touché par le Printemps arabe : le royaume de Bahreïn. C'est en tout cas ce que révèle Jean-Marc Manach sur son blog (1) Bug Brother du Monde.fr.

D'après ce journaliste, des agents antiémeute toxiques français permettraient aux forces de sécurité bahreïnies de réprimer les manifestants chiites de ce minuscule royaume du Golfe.

Lassée par une sous-représentation à la tête du pays, la majorité chiite (à 70 %) de cet État de 1 230 000 habitants (dont 550 000 nationaux) manifeste au quotidien depuis deux ans jour pour jour contre le pouvoir sunnite dont il exige des élections libres et la fin des discriminations à son encontre.

Mais Manama a décidé d'employer la manière forte pour étouffer toute velléité démocratique. Sur les 87 morts recensés depuis février 2011, 43 seraient ainsi décédés des suites de leur exposition au gaz lacrymogène, dont deux - un jeune garçon de huit ans et un vieillard de 87 ans - encore récemment.

Des grenades lacrymogènes dans les maisons

"Des grenades lacrymogènes ont été directement tirées sur les contestataires, et jusqu'à l'intérieur de leur domicile", explique au Point.fr Reda al-Fardan, militant bahreïni du site bahrainwatch.org, qui a publié les photos de ces grenades.

"Outre les projectiles américains et britanniques, nombre de cartouches grises et reconnaissables à leur tête rouge appartiennent à la même marque : le français Alsetex", ajoute-t-il. "Un grand nombre de grenades lacrymogènes françaises retrouvées place de la Perle (place centrale de Manama)", confirme au Point.fr Aymeric Elluin, responsable de la campagne "Armes et Impunité" chez Amnesty International.

"Le problème est qu'elles sont mal utilisées par les forces de sécurité bahreïnies, de sorte qu'elles tuent autant que des armes à feu."

Contactée par Le Point.fr, la marque française Alsetex, spécialiste de la "gestion démocratique des foules" et qui a depuis pris le soin de supprimer de son site internet les modèles incriminés, affirme être soumise à une obligation de confidentialité tout en précisant que toute exportation à l'étranger est soumise à une autorisation du gouvernement français.

Du côté gouvernemental, on assure que, "suite à l'affaire tunisienne, l'exportation de l'ensemble des produits pour le maintien de l'ordre vers Bahreïn a cessé le 17 février 2011", tout en rappelant que la France a été parmi les premiers pays à prendre cette mesure unilatérale.

L'aide de l'Arabie saoudite

Pourtant, d'après le militant bahreïni Reda al-Fardan, "des gaz lacrymogènes de marque Alsetex ont bel et bien été observés dans le pays jusqu'à mars 2012". "Si de telles cartouches françaises ont été retrouvées dans le royaume, il s'agit peut-être de stocks", indique-t-on à Paris.
D'après le chercheur Jean-Paul Burdy (2), professeur d'histoire à l'Institut d'études politiques de Grenoble, ces cartouches françaises pourraient provenir de pays tiers comme l'Arabie saoudite ou le Qatar, membres avec Manama du Conseil de coopération du Golfe.

Personne n'a oublié qu'en plein coeur du Printemps de la Perle le royaume avait fait appel à 1 000 soldats saoudiens et 500 émiratis pour lui venir en aide. "Nos exportations de matériel de maintien de l'ordre contiennent des clauses de non-réexportation, tout ne peut pas être contrôlé", admet-on de source gouvernementale.

Mais la mouture 2012 du rapport annuel du Parlement français sur les exportations d'armes françaises relance la suspicion autour de nouvelles ventes françaises de gaz lacrymogène à Bahreïn après le 17 février 2011.

Exportations de matériel de guerre

D'après ce document, la France a obtenu en 2011 neuf autorisations d'exportation de matériel de guerre (AEMG) vers Bahreïn pour un montant d'environ 17 millions d'euros, dont 421 000 euros concernent des agents chimiques toxiques "antiémeute" de catégorie ML7.

Pour Amnesty International, cette dernière classification peut correspondre à du gaz lacrymogène. Du côté gouvernemental, on assure au contraire qu'il s'agit "uniquement de matériel d'alerte biologique et de détection chimique".

Le rapport 2012 fait également état de 16 millions d'euros d'AEMG de type ML4 (missiles, roquettes, bombes) et de 500 000 euros d'AEMG de classe ML5 (radar).

"Il est problématique de vendre des armes à des régimes dictatoriaux dont on sait qu'ils répriment leurs manifestants", estime le député français Pouria Amirshahi, secrétaire de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale. À Paris, on rappelle qu'aucun embargo sur les ventes d'armes de guerre ne vise Bahreïn et que chaque matériel passe au préalable en "commission interministérielle des exportations des matériels de guerre". "Le royaume n'est pas du tout dans le même registre qu'un pays comme la Syrie, souligne-t-on. On parle ici de maintien de l'ordre, pas de guerre civile."

Lire la suite :
http://www.lepoint.fr/monde/bahrein-le-savoir-faire-francais-au-service-de-la-repression-14-02-2013-1627297_24.php

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 16:45


http://img.src.ca/2012/12/13/635x357/AFP_121213_gk56w_detenu-guantanamo_sn635.jpg
Depuis Radio Canada, le 25 janvier 2013.

Pour avoir divulgué le nom d'un collègue impliqué dans des interrogatoires musclés dans les prisons secrètes de la CIA, un ancien agent de la CIA est condamné à 30 mois de prison.

John Kiriakou avait dénoncé cette pratique de la CIA, qui avait été assimilée à de la torture.

M. Kiriakou, 48 ans, qui a travaillé à la CIA de 1990 à 2004, avait plaidé coupable en octobre devant le tribunal fédéral d'Alexandria (Virginie, est), pour éviter un procès.

Il a reconnu avoir dévoilé le nom de son collègue à un journaliste. Par la suite, le nom du collègue avait été retrouvé chez l'avocat d'un détenu du camp de Guantanamo, qui était passé par des prisons secrètes de la CIA. C'est cette découverte qui a déclenché en 2009 une enquête fédérale qui a mené à John Kiriakou.

En 2007, M. Kiriakou avait accordé une entrevue à la chaîne de télévision ABC, lors de laquelle il avait confirmé pour la première fois que la technique de la simulation de noyade avait été utilisée contre Abou Zoubaydah, détenu de Guantanamo et passé par ces prisons secrètes.

Cette condamnation met en lumière la difficulté du débat au sujet des méthodes de la CIA. Car pour les défenseurs de M. Kiriakou, la justice a condamné « le seul agent de la CIA qui va être emprisonné en raison de ce programme de torture, sans avoir torturé personne. » 

Alors que pour le procureur fédéral Neil MacBride, la condamnation « n'a rien avoir avec ce débat [sur la torture] ». Selon le procureur, M. Kiriakou a « trahi une confiance solide » d'autant qu'il s'était engagé à neuf reprises à ne pas divulguer l'identité de ses confrères.

L'avocat de l'agent condamné affirme qu'« il n'a jamais voulu nuire aux États-Unis ni à la CIA ».

Jesselyn Radack, du Governmental Accountability Project, qui a participé à la défense de M. Kiriakou a fustigé le fait que c'est le seul agent en prison pour une fuite à la presse, alors que ce n'est pas le cas pour « le directeur de la CIA qui a livré des informations classifiées à sa maîtresse et le numéro 2 (de l'agence) a donné des sources et des méthodes à Hollywood » pour le film sur la traque de Ben Laden Zero Dark Thirty.

Source :
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/01/25/008-condamnation-agent-cia-divulgation-nom-collegues-prisons-secretes.shtml

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 12:15


http://s1.lemde.fr/image/2013/01/31/534x267/1825731_3_d3c8_au-proces-des-attentats-du-11-septembre-2001_feb6b2863eab88c447b6143f64b40f33.jpg
Le 31 janvier 2013

Un mystère a été levé, jeudi 31 janvier, sur la censure à Guantanamo quand le juge militaire a ouvertement reconnu que le gouvernement américain avait brouillé des échanges qu'il jugeait sensibles et lui a catégoriquement interdit de le faire à l'avenir.

Le juge James Pohl a infligé un sévère camouflet au gouvernement dans la procédure contre les accusés des attentats du 11 septembre 2001, qui encourent la peine de mort pour le meurtre de près de 3 000 personnes.

Dans la salle du tribunal ultrasécurisé et high-tech expressément conçu pour ce procès, le juge a levé le mystère de "la lumière rouge" qui signale, comme un gyrophare, quand les débats sont censurés.

"Le public n'a pas un droit illimité d'accès aux informations classifiées. Cependant, la seule personne autorisée à fermer la salle du tribunal est le juge", a tranché le juge.

A Guantanamo, les échanges sont diffusés avec un différé de quarante secondes dans la salle de presse et dans la galerie où se trouvent, derrière une épaisse paroi vitrée, les journalistes, les représentants des organisations des droits de l'homme et les familles des victimes.

Ce différé permet à un officier de sécurité du tribunal (CSO, court security officer), assis à côté du juge, de censurer les échanges susceptibles d'être classifiés.

Il dispose pour cela d'un double interrupteur, que l'AFP a pu voir, sur lequel on peut lire "stop" et "go". Au-dessus de lui, la "lumière rouge" est visible des spectateurs assis derrière la paroi vitrée.

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/01/31/le-juge-de-guantanamo-denonce-la-censure-du-gouvernement_1825725_3222.html

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 08:30


http://oclibertaire.free.fr/local/cache-vignettes/L520xH718/mugituantiTGV-243f6.jpg
Depuis Bastamag, le 6 février 2013.

Entarter est désormais assimilé à un attentat en Espagne. Tel est le sort réservé à quatre militants de Mugitu !, un mouvement de désobéissance civique opposé à la traversée du Pays basque par une ligne à grande vitesse devant relier la France à l’Espagne.

Traduits devant une juridiction d’exception, ils encourent des peines pouvant aller de 4 à 9 ans de prison.

Le 27 octobre 2011, trois membres de Mugitu ! entartent la présidente du gouvernement de Navarre, Yolanda Barcina, à l’occasion d’une séance plénière de la Communauté de travail des Pyrénées, à Toulouse.
A l’issue de l’action, Mugitu ! publie un communiqué : « En tout état de cause, la crise s’aggrave et il est évident que nous devons non seulement réduire et redistribuer le “gâteau”, mais surtout en changer la recette ».
L’action a été réalisée à visage découvert et filmée par Mugitu ! en vue d’être diffusée. Elle n’est suivie dans l’immédiat d’aucune détention ni identification en France.

Juridiction d’exception


Mais devant la télévision espagnole, Yolanda Barcina associe les auteurs de l’entartage à l’organisation armée indépendantiste basque ETA. Bien que l’action ait été menée hors des frontières de l’État espagnol, les trois militants sont cités à comparaitre le 16 novembre 2011 devant l’Audience nationale de Madrid, une juridiction d’exception équivalente à la cour de sureté de l’État en France.

Ils sont accusés d’ « attentat contre une personne dépositaire de l’autorité publique », avec des demandes du procureur allant de 4 à 9 années de prison. Plusieurs mesures préventives sont prises à leur encontre : obligation de signer chaque semaine au tribunal le plus proche, retrait du passeport, impossibilité de sortir du pays, notification permanente du domicile et du téléphone.

Le 16 février 2012, l’Audience Nationale ordonne l’ouverture de l’instruction, et accuse une quatrième personne des mêmes faits. Son délit : avoir donné une conférence de presse au lendemain de l’action.

La juridiction dépêche également une commission rogatoire auprès de la France pour qu’elle transfère les résultats de la recherche d’empreintes et d’ADN sur les emballages des tartes. La coopération judiciaire franco-espagnole est en place. Le 9 avril 2012, les quatre accusés sont appelés à faire une déposition.

Devant le juge, ils manifestent leur désaccord avec les poursuites judiciaires dictées par l’Audience nationale et renoncent à toute déclaration.

Lire la suite :
http://www.bastamag.net/article2927.html

Dossier "Appel à la solidarité - Des peines de 4 à 9 années de prison pour un entartage à la crème contre le TGV ?” téléchargeable sur le site de Mugitu ! :
http://mugitu.blogspot.com.es/

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 09:00


http://www.topnews.in/sports/files/Mo-Farah_7.jpg
Le 31 décembre 2012

On peut être une star planétaire, double médaillé olympique, héros des Jeux de Londres et subir un interrogatoire, suspecté de fomenter un attentat terroriste. C'est la mésaventure connue par l'athlète britannique Mo Farah et relatée par le tabloïd britannique The Sun.

Parti pour l'Angleterre afin d'y passer les fêtes, l'athlète est ensuite revenu à Portland, dans l'Oregon, où il s'entraîne. Mais, constatant ses origines somaliennes, les douaniers américains ont fait subir un véritable interrogatoire au sportif né à Mogadiscio. "Je ne pouvais pas le croire. A cause de mes origines somaliennes, je suis arrêté chaque fois que je passe la frontière américaine. Cette fois, j’ai même sorti mes médailles pour montrer qui je suis, mais ils n’ont rien voulu savoir."

Désemparé, Mo Farah a finalement pu contacter son entraîneur, Alberto Salazar, qui a averti un de ses amis travaillant pour le FBI... et féru d'athlétisme. "Ce gars savait heureusement qui j'étais et il a pu résoudre ce problème. Dieu sait ce qu'il se serait passé s'il n'avait pas été là", raconte la nouvelle coqueluche du sport britannique.

L’athlète de 29 ans n'en est pas à sa première vicissitude avec les autorités américaines. Il explique ainsi au Sun avoir été sous le coup d’une enquête pour déterminer s'il constituait une menace terroriste depuis sa demande de délivrance d'un permis de séjour sur le sol américain.

Source :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/12/31/war-on-terror-les-douaniers-americains-prennent-le-double-medaille-olympique-mo-farah-pour-un-terroriste/

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 14:00


http://www.astynomia.gr/images/stories//2013/photos13/02022013-politis.jpg
Depuis Secours Rouge, le 4 février 2013.

Vendredi, quatre jeunes hommes ont été interpellés par les autorités grecques qui en accusent au moins deux d’avoir des liens avec le groupe ’Conspiration des Cellules de Feu’.

Samedi, leurs photos ont été publiées sur le site officiel de la police. Sur ces images, il apparait évident que tous les quatre ont subi de mauvais traitements. Par ailleurs, une des photos a clairement été retouchée.

Voir les photos des détenus torturés :
http://www.okeanews.fr/grece-la-police-publie-des-photos-retouchees-de-detenus-tortures/

Voir les photos sur le site officiel de la police :
http://www.astynomia.gr/index.php?option=ozo_content&lang=%27..%27&perform=view&id=24429&Itemid=1058&lang=

Selon plusieurs sources, la police aurait procédé à ces retouches pour masquer la main du policier qui relevait la tête du suspect. En outre, la police a indiqué que ’les détenus ont été battus car ils ont résisté’.

Ce lundi, le ministre de l’ordre public a reconnu implicitement que les quatre avaient été violemment battus à en devenir méconnaissables en indiquant dans un communiqué : les blessures de la police se sont passées lors de leur arrestation, et non après. Les photos des quatre suspects battus ont été retouchées afin qu’ils puissent être reconnus’.

Source :
http://www.secoursrouge.org/Grece-La-police-publie-des-photos

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 09:23


http://s1.lemde.fr/image/2013/01/23/534x267/1820969_3_debe_arrete-en-avril-2011-somyot-prueaksakasemsuk_28e76cd3d82c7a6085cb8c32833b5c94.jpg
Le 23 janvier 2013

Un journaliste et militant proche du mouvement thaïlandais des "chemises rouges", accusé d'avoir insulté la famille royale, a été condamné mercredi 23 janvier à Bangkok à onze ans de prison. Arrêté en avril 2011, Somyot Prueaksakasemsuk a été reconnu coupable de lèse-majesté après la publication de deux articles en février et mars 2010 dans le magazine Voice of Thaksin, dont il était rédacteur en chef.

Il a écopé de cinq ans de prison par article. Le tribunal l'a en plus condamné à purger une précédente peine d'un an de prison avec sursis pour diffamation. "Nous allons faire appel, a indiqué son avocat Karom Polpornklang. Je peux confirmer qu'il n'avait pas l'intention de violer l'article 112 [réprimant le lèse-majesté]. Il faisait son travail de journaliste."

L'Union européenne a dénoncé la condamnation dans un communiqué, estimant qu'elle sapait "gravement le droit à la liberté d'expression". "Cela affecte l'image de la Thaïlande en tant que société libre et démocratique", a précisé l'UE, se disant "très inquiète".

UNE LOI DE PLUS EN PLUS CONTESTÉE

Le roi Bhumibol, âgé de 85 ans, jouit auprès de certains de ses sujets d'un statut de demi-dieu. Et si la famille royale n'a aucun rôle politique officiel, elle est protégée par l'une des lois les plus sévères du monde. La justice a multiplié ces dernières années les lourdes peines et les arrestations pour des propos jugés insultants à son endroit.

De nombreux intellectuels et organisations jugent que beaucoup de ces dossiers sont politiques, relevant qu'un grand nombre d'accusés, comme Somyot, ont des liens avec le mouvement des "rouges", proche de l'ancien premier ministre en exil Thaksin Shinawatra. Ce dernier, renversé par un coup d'Etat militaire en 2006, est considéré comme une menace pour la monarchie par les élites de Bangkok. Ses partisans avaient bloqué Bangkok pendant deux mois en 2010, lors de la plus violente crise politique qu'ait connue la Thaïlande moderne (90 morts, 1 900 blessés).

Le débat autour de la loi de lèse-majesté s'était enflammé l'an dernier après la mort en prison d'un grand-père condamné à vingt ans pour quatre SMS jugés insultants envers la monarchie. Un dossier devenu un symbole de la lutte pour la liberté d'expression.

Source :
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/01/23/un-militant-thailandais-ecope-de-11-ans-de-prison-pour-lese-majeste_1820967_3216.html

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 11:59


http://www.herriarenlagunak.eu/wp-content/uploads/manif_basque-300x168.png
Communiqué d'Herrira du 24/01/2013

Aujourd'hui encore cette doctrine a été appliquée aux prisonniers politiques basques Jesús Mari Zabarte, Andoni Cabello et Xabin Usandizaga.

Le Gouvernement espagnol continue ainsi d'agir à l'encontre de la sentence prononcée par le Tribunal des Droits de l'Homme, mais aussi à l'encontre de la revendication sociale exprimée lors de l'une des plus importantes manifestations de ces derniers temps le 12 janvier dernier, réclamant un changement radical de la politique pénitentiaire

Par l'application de la doctrine 197/2006 aux prisonniers politiques basques Andoni Cabello, Jesus Mari Zabarte et Xabin Usandizaga, l'Etat espagnol continue de bafouer les droits les plus élémentaires en appliquant une politique pénitantiaire arbitraire et injuste. Le rallongement de la peine de ces trois prisonniers, auxquels il faut rajouter les 68 autres cas existants, va totalement à l'encontre de la sentence prononcée par le Tribunal des Droits de l'Homme pour le cas d'Ines Del Rio, mais aussi à l'encontre de la demande exprimée par une marée humaine le 12 janvier dernier à Bilbao, demande d'un changement de politique pénitentiaire, demande de solution et de paix.

Décision basée sur la crualité et la vengeance.

Sachant que Jesus Mari Zabarte est incarcéré depuis 29 ans et qu'une telle décision repousse sa sortie à 2015, Andoni Cabello a effectué 22 ans de prison et ne sortira pas avant 2021 et Xabin Usandizaga qui en a fait 16 ne connait pas encore sa date de sortie. Ces chiffres parlent hélas d'eux-mêmes.

La doctrine 197/2006, en plus de provoquer une condamnation à perpétuité, bafoue la Déclaration des Droits de l'Homme, selon le tribunal de Strasbourg. Un outil ressorti du passé, destiné à prolonger une situation de conflit et de souffrance encore bien présente, malgré un rejet massif de la population en Pays Basque et de la communauté internationale.

La société basque, à travers l'immense mobilisation de ces derniers temps, a envoyé un message clair aux acteurs concernés en réclamant d'efn finir de manière urgente avec ces mesures qui sont une atteinte directe aux droits fondamentaux. Et nous devons tous nous engager sur ce chemin, ceux qui étions à Bilbao comme ceux qui n'y étaient pas, partis, syndicats, acteurs politiques et sociaux, institutions et Gouvernements, avec des mesures concrètes et significatifs.

Cette situation ne peut plus durer. Il est temps de prêter attention à la clameur sociale et d'effectuer des pas qui permettront de dépasser des mesures qui nous éloignent de la paix et vont à l'encontre des Droits de l'Homme.

Pour finir, nous rappelons que demain auront lieu les mobilisations des derniers vendredis du mois dans différentes villes et villages du Pays Basque, l'occasion de retransmettre à tous les secteurs sociaux l'espoir et l'énergie de la multitude de personnes qui a rempli les rues de Bilbao. Il est pour cela indispensable de continuer d'activer des dynamiques fédératrices et plurielles.

Source :
http://www.herrira-uztaritze.org/index.php?option=com_content&view=article&id=77:herrira-reclame-la-fin-de-la-doctrine-197-2006&catid=48:repression&Itemid=164

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 09:12


http://2.bp.blogspot.com/-DlXnx1bXk-g/T5ToQIkNcOI/AAAAAAAABEE/8PSvHtRlSLI/s1600/iphone-3gs-d%C3%A9bloquer-d%C3%A9simlocker-unlock.jpg
Le 28 janvier 2013

De 500 000 à 1 million de dollars d'amende, et de cinq à dix ans de prison. C'est ce que risque désormais tout Américain qui déverrouille son téléphone portable acheté après le 26 janvier 2013. Une punition "inacceptable et embarrassante" pour The Atlantic, qui ne comprend pas pourquoi le gouvernement fédéral s'arroge  un "pouvoir orwellien".

Cette décision découle d'une loi votée en 1998, le Digital Millennium Copyright Act. Le DMCA interdit toute technologie qui contourne et viole les droits d'auteur. Les seules exceptions sont décidées par le Librarian of  Congress ("Bibliothécaire du Congrès") américain.

Désormais, le déverrouillage des téléphones ne fait plus partie de la liste des exceptions : plus question de déverrouiller un smartphone pour pouvoir se connecter sur un réseau différent, même si le contrat avec l'opérateur originel est périmé.

Sur Twitter, les internautes dénoncent la mesure :

It's now illegal in US to unlock your phone , but you can still carry a gun :)
— Alessandro Cancian (@flyzone) 28 janvier 2013

[Traduction : "Aux Etats-Unis, on ne peut plus déverrouiller un téléphone, mais on peut toujours avoir un pistolet sur soi"]

Instead of making it illegal to unlock a phone, why not make it mandatory that all phones be sold unlocked? po.st/r2NfiI
— barkway (@barkway) 28 janvier 2013

[Traduction : "Au lieu de rendre le déverrouillage illégal, pourquoi ne pas faire en sorte que tous les téléphones soient vendus débloqués?"]

Lire la suite :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/01/28/ne-quittez-pas-dix-ans-de-prison-pour-deverrouiller-un-telephone-aux-etats-unis/

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 11:40


http://liberonsles.files.wordpress.com/2012/03/tetesite.jpg
Le 26 janvier 2013

À L’opinion publique
Aux Médias de communication de l’Etat, Nationaux et internationaux
Aux médias alternatifs
Aux Adhérents à l’Autre Campagne de l’EZLN
A la Sexta Internationale
Aux Organisations Indépendantes
Aux défenseurs de droits humains et aux ONG

Nous, prisonniers politiques :

Base d’Appui de l’EZLN, organisation de la Voix de l’Amate, adhérents à l’Autre Campagne de l’EZLN, enfermés dans la prison numéro 5 de San Cristóbal de las Casas au Chiapas, déclarons :

Dans les centres pénitentiaires de notre État du Chiapas, il existe des opérations menées par les autorités qui, selon celles-ci, ont pour but le bien-être de la population interne.

Concrètement dans la prison nº5, le 16 janvier dernier à environ 7h40 du matin est arrivé un groupe de policiers appelés des « loups », commandés par le commandant Reinol, et qui se sont mis au travail : d’abord ils nous ont enfermés dans la cour de sport, tandis qu’ils se dirigeaient vers les cellules pour les fouiller et soi-disant vérifier s’il n’y avait pas quelque chose qui pourrait affecter la prison ou la population interne.

Nous sommes conscients qu’ils doivent faire leur travail, nous sommes toutefois contre le fait qu’ils ne respectent pas nos droits et garanties individuelles, le plus triste c’est qu’ils viennent seulement voler nos affaires.

Notamment à notre compagnon prisonnier politique Alberto Patishtán Gómez, à qui ils ont volé deux stylos de marque d’une valeur de 250 pesos, ainsi qu’à notre compagnon de l’organisation de Solidaires de la Voix de l’Amate Juan López González à qui ils ont volé sa montre, marque Casio d’une valeur de 120 pesos, sans compter toutes les affaires qu’ils ont volées aux autres internes.

D’une part nous exigeons du gouvernement de Manuel Velasco Coello qu’il trouve une solution immédiate à ce sujet et demandons la destitution immédiate des voleurs qui, en toute impunité, viennent nous fouiller ; nous exigeons également l’indemnisation des affaires qui nous ont été volées par ce groupe appelé « loup ».

D’autre part nous continuons d’exiger du gouverneur notre remise en liberté immédiate et inconditionnelle.

Finalement nous invitons la société civile, les organisations indépendantes au niveau national et international à mettre fin aux abus des autorités pénitentiaires et à continuer d’exiger la liberté qui nous revient.

Fraternellement
Les prisonniers politiques : Base d’appui de l’EZLN : Francisco Sántis López. Les prisonniers de « La Voix de l’Amate” Alberto Patishtán Gómez et Rosario Díaz Méndez. Et les prisonniers de l’organisation de Solidaires de la Voix de l’Amate : Juan Díaz López, Alejandro Díaz Sántis, Juan Collazo Jiménez, Rosa López Díaz, Pedro López Jiménez, Juan López González, y Benjamín López Aguilar.

Prison nº5 de San Cristóbal de Las Casas, Chiapas ,21 janvier 2013.

Traduit par les trois passants

Merci à Valérie pour les corrections

Source :
https://liberonsles.wordpress.com/2013/01/26/communique-des-prisonnier-e-s-du-chiapas-suite-a-loperation-policiere-dans-la-prison-n5/


***

Et aussi :

CHIAPAS: tous les prisonniers de l’Autre Campagne ont vécu des arrestations arbitraires
https://liberonsles.wordpress.com/2013/01/26/chiapas-tous-les-prisonniers-de-lautre-campagne-ont-vecu-des-arrestations-arbitraires-la-torture-le-refus-dun-traducteur-dans-leur-langue-et-la-corruption-des-agents-de-police/

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 09:46


http://www.secoursrouge.org/local/cache-vignettes/L500xH750/nypd-menu-c884c.png
Transmis par CDM depuis Secours Rouge

Le 23 janvier 2013

Le Département de la Police de la ville de New York (NYPD) vient de proposer sa propre application sous iOS, qui appelle les citoyens à partager tout type d’information concernant délits et infractions.

Le menu de l’application disponible sur iPhones propose dans l’ordre la possibilité d’indiquer la localisation d’une personne activement recherchée par la police, une zone permettant de jouer les indicateurs en soumettant des informations, de consulter des vidéos mettant en scène des contrevenants ou des actes répréhensibles par la loi, ainsi que divers portails d’information et de statistiques.

Baptisée tout simplement "NYPD", l’application est gratuite sur iPhone et propose un service de localisation pour déclarer plus précisément des actes illégaux, mais également localiser plus facilement les postes de polices et services d’urgences.

En outre, on notera l’appel simplifié vers les services de police depuis une simple icône.

Source :
http://www.secoursrouge.org/USA-Application-indic-pour-IPhones

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 11:02


http://embruns.net/images/aaron-swartz.jpg
Le 16 janvier 2013

Le suicide du cofondateur du site Reddit, Aaron Swartz, alimente des critiques aux Etats-Unis contre une législation sur les délits informatiques et les procureurs jugés trop zélés qui l'utilisent. M. Swartz, qui avait également participé à l'élaboration du format RSS à l'âge de 14 ans, s'est pendu, dimanche 13 janvier, à 26 ans.

Lire ici :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/01/12/suicide-d-aaron-swartz-activiste-a-l-origine-du-format-rss-et-de-reddit_1816246_651865.html

"Aaron Swartz risquait une peine de prison plus sévère que des tueurs, des trafiquants d'esclaves et des braqueurs de banque", dénonce Ian Millhiser du Center for American Progress Action Fund.

Il devait répondre en avril devant la justice du vol en 2011 de millions d'articles scientifiques et littéraires à un service d'archivage en ligne accessible uniquement sur abonnement (JSTOR), téléchargés avec un ordinateur du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Il risquait jusqu'à trente-cinq ans de prison et 1 million de dollars (753 000 euros) d'amende.

Une pétition en ligne demandant la récusation des procureurs en charge de l'affaire avait déjà réuni 31 000 signatures mardi, et une autre réclamant son pardon posthume 21 000 signatures. La sénatrice démocrate Zoe Lofgren a pour sa part posté, sur le site Reddit, un projet destiné à modifier le texte actuellement en vigueur.

LOI "DRACONIENNE"

La loi actuelle est "draconienne", et la changer rendrait hommage à Aaron Swartz, estime Marcia Hofman, de l'Electronic Frontier Foundation. "Le langage vague, la dimension large et les peines dures se combinent pour créer une arme puissante pour des procureurs trop pressés de s'en servir contre des gens qu'ils n'aiment pas", dénonce-t-elle.

Alors que les funérailles d'Aaron Swartz se tenaient mardi à Chicago, sa famille a écrit sur un site commémoratif que sa mort n'était "pas seulement une tragédie personnelle", mais "le produit d'un système de justice criminelle truffé d'intimidation et de procureurs allant trop loin". "Ces dernières années, nous avons vu les pirates informatiques diabolisés et qualifiés d'antidémocratiques, quand bien même beaucoup d'entre eux se considèrent comme des combattants contemporains pour la liberté", juge aussi Danah Boyd, une chercheuse de Microsoft qui donne également des cours à l'université Harvard.

Certains experts en droit estiment toutefois que les autorités se sont contentées d'appliquer la loi. Les charges retenues contre Aaron Swartz "étaient basées sur une lecture juste de la loi" et sur "une jurisprudence établie", a estimé dans un blog Orin Kerr, un spécialiste du droit des crimes informatiques à l'université George-Washington.

Cette analyse ignore toutefois "la culture du piratage du MIT, qui encourage le genre d'activité informatique rebelle dans laquelle Swartz était engagé", rétorque Ted Frank, un chercheur de l'Institute for Legal Policy de New York.

Source :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/01/16/apres-la-mort-d-aaron-swartz-des-debats-sur-la-legislation_1817672_651865.html

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