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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 09:02


http://s1.e-monsite.com/2009/01/20/10/6344905879300017enfant-prison-1-png-png.png
Transmis par Bertrand le 6 mars

Avec la loi du 22 juillet 1912 créant le tribunal pour enfants il était légitime d'espérer un recul du recours à l'envoi des mineurs de justice dans les locaux de l'administration pénitentiaire.

La mesure phare de cette loi est la liberté surveillée utilisée par le juge d'instruction ou l'instance de jugement (que le mineur soit ou non acquitté). L'enfant bénéficie d'un suivi exercé par un délégué à la liberté surveillée bénévole et choisi par le juge.

Le délégué transmet par écrit ses observations sur l'exercice de la mesure au président du tribunal. En cas de mauvaise conduite, de péril moral ou d'entraves systématiques à la surveillance, le président peut citer le mineur à une audience.

L'étude des registres des jeunes détenus de la prison cellulaire de Loos , pour les années 1927, 1932 et 1937, contrarie cet espoir.

Les effectifs écroués ne sont nullement à la baisse.

Parmi les effectifs pour les 3 années de registre dépouillées, seuls 3 sur les 211 entrants de l'année 1937 sont condamnés !

Le juge d'instruction remplit de moins en moins les geôles. Le président du tribunal pour enfants prend le relais, depuis la loi du 22 juillet 1912, l'incident à la liberté surveillée peut conduire en prison. Le magistrat veille sur ses ouailles et peut décider une incarcération.

Ce motif d'entrée en prison n'est absolument pas anecdotique.

Lire la suite de cet article inédit de Sandrine Lambin :
http://www.laurent-mucchielli.org/public/Article_Sandrine_Lambin.pdf

Consulter la thèse de l'auteur "Prisons et prisonniers dans le Nord sous la IIIè République" (Université Lille III, 2013) :
http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00951938

Source :
http://www.laurent-mucchielli.org/index.php?post/2014/03/05/Modifier-l-enfermement-des-mineurs

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 09:28


http://dark.pozadia.org/images/wallpapers/34-Gothic-1280x1024-81205.jpeg
Depuis le Jura Libertaire le 10 mars

Depuis son incarcération en novembre 2012, Christine proteste régulièrement contre l’arbitraire de la pénitentiaire et pour l’application des droits (théoriques !) des prisonniers et prisonnières. Ce qui lui vaut un enchaînement de conflits avec les surveillants et l’AP, de CRI (compte-rendus d’incidents), placements au mitard et au quartier d’isolement, transferts disciplinaires, et quelques procès…

Tout ceci durcit et rallonge sa peine. L’Envolée et divers sites internet relaient ce qu’elle relate dans ses lettres [Un des épisodes précédents est relaté ici et une autre lettre de Réau est lisible ici].

Dès son arrivée au centre de détention de Réau, mi-octobre 2013, elle a refusé de prendre la carte de circulation nécessaire aux passages des multiples sas de sécurité en détention, ce qui lui a valu d’être directement placée en régime « portes fermées ».

Le 5 mars, elle est passée en procès au TGI de Melun, accusée d’avoir mordu un surveillant au cours d’une prise de bec pour la réouverture de la « salle de convivialité » (voir lettre et compte-rendu ci-dessous).

Elle re-passera bientôt devant le tribunal de Lyon, qui l’avait condamnée en février 2013 à trois mois de prison ferme pour 7 délits, dont : « refus de prélèvement ADN », « outrage et rebellion », « évasion » de garde à vue…

Le parquet, souhaitant une peine plus lourde, avait fait appel. L’audience aura lieu à la cour d’appel de Lyon le 14 avril à 13h30, et la présence d’un public solidaire sera la bienvenue.

Christine a été transférée à nouveau fin janvier 2014, elle est à l’heure actuelle au centre pénitentiaire pour femmes de Rennes.

Son adresse : Christine Ribailly écrou 7993, CPF de Rennes, 18 bis rue de Châtillon, 35031 RENNES Cedex

Bref compte-rendu du procès du 5 mars au TGI de Melun :

Christine était accusée d’avoir mordu le surveillant Ha-o-kwi. Quelques personnes étaient venues la soutenir. Le procureur et les parties civiles réclamaient la peine plancher de un an pour récidive, et un dédommagement de 500 euros pour le doigt du surveillant, insistant sur la nécessité de punir sévèrement cette détenue récalcitrante qui selon eux menaçaient la détention.

Son avocat, Benoît David, de l’association Ban Public, a tout d’abord plaidé la relaxe pour divers vices de procédures. Il a aussi insisté sur le fait que Christine ait été tabassée suite à la prise de bec avec Ha-O-kwi, qui curieusement n’a porté plainte que trois semaines plus tard… quand les images de vidéo-surveillance n’étaient plus visionnables !

Christine a terminé en parlant de la prison : « Je n’ai jamais avoué à ma grand mère que j’étais en prison, elle n’arrêtait pas de demander quand je viendrais la voir. Elle est morte avant que je sorte de prison. Voilà ce que c’est la prison. Je me demande en quoi cela protège votre société ? »

Christine et son avocat ont eu la « bonne » surprise de ne la voir condamnée « que » à un mois de prison supplémentaire et 200 euros d’amende. Une peine qui reste lourde, même si on s’attendait à pire, connaissant les habitudes de la justice dans ce genre d’affaires.

À suivre…

Lettre de Christine au sujet des évènements survenus à Réau :
http://juralib.noblogs.org/2014/03/10/christine-combats-en-detention-et-repression-enieme-episode

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 14:50

 


Le 5 mars

FAITS DIVERS - L'homme, âgé de 65 ans, a reçu plusieurs coups lors d'un contrôle routier...

Un retraité de 65 ans a porté plainte après avoir reçu début février plusieurs coups d’un policier en civil lors d’un contrôle routier à Paris qui a dégénéré, a-t-il annoncé à l’AFP et à BFMTV.

Une dizaine de coups au conducteur

A l’appui de sa plainte déposée le 13 février, Didier Léon a produit une vidéo, filmée d’un étage par un riverain et visionnée par l’AFP. On y voit un homme, penché dans l’habitacle d’une voiture à l’arrêt dans l’est parisien. Il assène une dizaine de coups au conducteur.

Selon un document consulté par l’AFP, cet informaticien retraité de la fonction publique s’est vu délivrer une interruption temporaire totale de travail (ITT) de six jours.

«A l’origine de cette affaire, il y a une infraction routière», commente-t-on à la préfecture de police, qui se refuse à tout commentaire sur les violences, une enquête étant en cours.

«Police. Garez-vous. On va s’expliquer»

Le 7 février, alors qu’il se rend à la maternité voir sa fille qui vient d’accoucher, ce retraité, qui ne conteste pas avoir pu commettre une infraction au code de la route, voit un motard en civil s’arrêter à sa hauteur et lui dire: «Police. Garez-vous. On va s’expliquer», selon sa plainte.

Didier Léon explique n’avoir pas cru, dans un premier temps, que cet homme, «très agressif», selon lui, soit policier, et redémarre. Mais le motard, rejoint par d’autres fonctionnaires, le rattrape, passe le buste par la fenêtre, coupe le contact et saisit les clés.

Didier Léon dit s’être senti «violemment agressé» et avoir cherché à s’enfermer.

C’est à ce moment que, selon la vidéo, celui qui est bien un policier porte ses coups. De son côté, Didier Léon reconnaît avoir cherché à maintenir par la force dans l’habitacle la tête du fonctionnaire, en le saisissant fortement par le cou.

Durant la séquence, le retraité appelle au secours et, selon sa plainte, demande aux témoins d’appeler la police. Le brassard du policier est au sol. Quelques témoins se pressent autour de la voiture d’où est extrait Didier Léon, qui dit avoir alors compris qu’il avait affaire à des policiers avant d’être mis au sol. Un témoin dit : «Vous n’avez pas le droit de le tabasser comme ça!»

Une enquête ouverte

L’avocat du retraité, Me Eric Plouvier, dénonce une «réponse manifestement disproportionnée au désarroi d’un concitoyen», s’indigne d’une «pluie de coups» et relève que la «qualité de policier, cela doit s’exprimer clairement».

Ces faits font l’objet d’une enquête préliminaire confiée par le parquet de Paris à la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), a indiqué une source judiciaire. En revanche, la procédure pour refus d’obtempérer et rébellion qui visait Didier Léon a été classée, selon cette source.

Source :
http://www.20minutes.fr/paris/1315058-paris-frappe-par-un-policier-un-retraite-porte-plainte

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 11:42


http://media.actu.woopic.com/pictures/une/photo_1394530145274-1-0.jpg
Le 11 mars 2014

Des violences urbaines ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi à Behren-lès-Forbach (Moselle), près de Forbach, quelques heures après l'interpellation par les gendarmes d'un jeune meneur d'un quartier sensible de la commune, a-t-on appris mardi de sources concordantes.

Ce jeune homme de la cité a été interpellé lundi vers 16H00, ce qui a entraîné des "échauffourées" entre jeunes du quartier et forces de l'ordre, selon le parquet de Sarreguemines. Cinq gendarmes ont alors été légèrement blessés, selon la même source.

Peu avant 22H00, "probablement pour venger" le meneur interpellé et placé en garde à vue, "une trentaine de jeunes habillés de noir et aux visages dissimulés" ont lancé des cocktails Molotov et des pierres sur la mairie de la commune, cassé la vitrine d'un commerce voisin et brisé les vitres de véhicules en stationnement à coups de battes de baseball, a déclaré à l'AFP un officier de gendarmerie de Forbach.

Interrogé, le parquet de Sarreguemines a évoqué "entre 20 et 30" véhicules vandalisés.

Un véhicule de pompiers qui intervenait pour des feux de poubelles a été également caillassé, ont précisé les pompiers et les gendarmes.

Près d'une centaine de gendarmes et un hélicoptère ont été mobilisés sur place dans la nuit, mais aucune nouvelle interpellation n'a eu lieu et il n'y a pas eu de nouveau blessé.

Forbach et Behren-lès-Forbach ont été classés à l'automne dernier en zone de sécurité prioritaire (ZSP) par le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, qui s'était rendu sur place début octobre.

La sécurité est l'un des enjeux majeurs des municipales à Forbach, ville déshéritée de Moselle-Est convoitée notamment par Florian Philippot, le n°2 du Front national, qui arriverait en tête au premier tour, selon un récent sondage.

M. Philippot a d'ailleurs aussitôt réagi dans un communiqué mardi aux événements survenus dans la commune voisine, qui selon lui "rappellent à chacun l'échec des politiques (de l'UMP et du PS) en matière de sécurité publique", et constituent "une gifle de rappel à des responsables locaux qui nient les problèmes d'insécurité pour ne pas avoir à les traiter".

Interrogé par l'AFP, le maire sans étiquette de Behren-lès-Forbach, Jérôme Dibo, n'a pas souhaité s'exprimer directement sur ces violences, pour "ne pas rajouter de l'huile sur le feu" sur une "situation beaucoup plus complexe" qu'il y paraît, et sur fond d'un "contexte suffisamment tendu comme ça" avant les municipales, a-t-il dit.

Source et plus d'infos :
http://berthoalain.com/2014/03/12/emeute-a-behren-les-forbach-apres-une-arrestation-10-mars-2014/

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 14:36


http://libertyvox.unblog.fr/files/2014/01/wissam-el-yamni.jpg
Le 7 mars 2014

Un policier, soupçonné de s'être assis sur un homme dans une voiture après l'avoir interpellé dans des conditions controversées, a été mis en examen le 24 février, a annoncé ce vendredi une source proche du dossier.

Cette mise en examen a été prononcée pour "coups mortels par personne ayant autorité", selon cette source, confirmant une information de France Bleu Pays d'Auvergne et de La Montagne.

Wissam El-Yamni, 30 ans, avait été interpellé la nuit de la Saint-Sylvestre 2011. Il est décédé 9 jours plus tard, après être tombé dans le coma le soir de son arrestation.

Selon sa famille, il aurait été victime d'une pratique policière appelée "le pliage", qui consiste à maintenir la tête appuyée sur les genoux lors de son transport en voiture. "C'est la première fois que la famille a le sentiment que la justice se penche sur le dossier, c'est une lueur d'espoir dans la recherche de la vérité", a réagi Me Jean-Louis Borie, l'un des deux avocats de la famille El-Yamni.

Selon Me Borie, la décision de mise en examen a été prise collégialement par les deux juges d'instruction en charge du dossier. Le policier mis en examen est celui qui a reconnu s'être assis sur le dos de la victime ce soir-là, à l'arrière de la voiture de police, a précisé l'avocat.

Le procureur a envisagé la piste d'une mort consécutive à une "compression des artères carotides internes" lors de ce transport, après l'interpellation. Un rapport d'experts a également pointé l'hypothèse du "pliage", avec compression de la carotide comme cause du décès. Un second rapport a toutefois dit que "cela n'expliquait pas tout".

L'affaire avait provoqué plusieurs nuits de tension dans les rues de Clermont-Ferrand et une forte colère contre la police. Le corps de Wissam El-Yamni n'avait été restitué à sa famille que six mois après son décès. Il a été inhumé au Maroc.

Il y a quelques mois, les avocats de la famille avaient demandé, en vain, l'audition de témoins qui avaient assité à l'interpellation depuis leur fenêtres. "On est plus intéressés par la vérité que par la condamnation des gens", a réagi Farid El-Yamni, frère de la victime, sur France Bleu Pays d'Auvergne, se réjouissant toutefois que "les choses deviennent normales, c'est peut être un commencement".

Source :
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/07/1834283-clermont-ferrand-policier-mis-examen-coups-mortels-apres-deces-homme.html

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:51


http://static.votreargent.fr/medias_9403/w_2048,h_890,c_crop,x_0,y_195/w_605,h_270,c_fill,g_north/radar-4_4814722.jpg
Le 4 mars 2014

C'est confirmé ! Pour la première fois en dix ans, les radars automatiques ont globalement moins flashé en 2013. Il n'empêche que 19 millions d'infractions ont été constatées et que plus de 11 millions de PV ont été envoyés. Découvrez en exclusivité notre classement des 100 radars les plus actifs dans le pays.

C'est à Clarafond, en Haute-Savoie (74), sur l'autoroute A40, et sur une portion limitée à 110 km/h en direction de Lyon, que le radar le plus flasheur de 2013 est installé, selon les statistiques du ministère de l'Intérieur que nous publions en exclusivité.

Ce radar discriminant - capable notamment de différencier les véhicules légers des poids-lourds - prend ainsi la tête du top 100 des radars fixes (à découvrir ci-dessous), avec près de 137 700 déclenchements annuels, soit 377 excès de vitesse relevés au quotidien.

Il détrône la cabine implantée vers Tours (37) sur l'autoroute A10 en allant sur Paris, laquelle avait décroché la palme 2012, avec tout de même un rythme plus soutenu de 444 flashs par jour.

8,4% de PV en moins

C'est d'ailleurs un véritable tournant dans l'histoire des radars automatiques. Si, d'année en année, le bilan par appareil avait déjà bien tendance à décliner, il n'en était rien des statistiques globales, toujours en hausse à mesure que le parc s'agrandissait. Or, comme annoncé par L'Express dès décembre, les chiffres totaux des radars automatiques sont, pour la première fois depuis leur apparition en 2003, en baisse par rapport à l'année précédente. 

Lire la suite :
http://votreargent.lexpress.fr/auto/exclusif-les-100-radars-qui-flashent-le-plus-en-france_360988.html

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:54


http://img.over-blog-kiwi.com/0/66/42/42/20140308/ob_1f3f47_wp-freeparty-nocrime-b-big0.jpg
Transmis par Tecno+ le 7 mars

Abrogation de la loi sur les free parties - Il n'en est rien !

La loi reste la même et a juste été recodifiée au 1er janvier 2014. Les articles ont été répartis différemment dans le code de la Sécurité Intérieur, dans 3 sections : le principe de la loi, son application et les sanctions pénales.

Pour y voir plus clair Techno+ a mis à jour la rubrique loi avec ces nouveaux textes afin que les organisateurs de soirées puissent plus facilement mettre à jour les dossiers qu'ils présentent aux pouvoirs publics lors des interventions policières ou des déclarations de soirées.
Lire ici :
http://www.technoplus.org/t,1/2723/loi-free-party-en-vigueur

Les revendications portées au Ministère de l'Intérieur le 5 février 2014 sont donc toujours d'actualité :

- La hausse du nombre prévisible de participants à 1500 au lieu de 500

- Abrogation définitive des sanctions contre les organisateurs :  saisies, suspensions de permis...
Lire ici :
http://www.technoplus.org/t,1/2722/Communique-suite-a-la-reunion-du-5-fevrier-2014-au-ministere-de-l?interieur--avec-le-ministere-de-la-Jeunesse-et-des-sports

Le combat en cours contre la répression continue d'autant que de nouvelles saisies, amendes et sanctions ont eu lieu depuis la dernière rencontre avec l’État malgré la volonté de dialogue affichée des 2 côtés. L'unité du mouvement et sa mobilisation reste indispensable. Vos témoignages sont toujours utiles.
Lire ici :
http://www.technoplus.org/t,1/2677/Contre-la-repression-en-Teuf-:-Temoignons

La prochaine date de rencontre plénière avec l’État n'est pas encore fixée mais de gros évènements revendicatifs pour mieux se faire entendre sont prévus pour bientôt tandis des groupes de travail sont prêts à travailler. Nous vous tiendrons informés d'ici peu.

Faites tourner, faites valoir vos droits et agissez pour en obtenir davantage !

Source :
http://www.technoplus.org/t,1/2725/-rumeur-:-abrogation-de-la-loi-sur-les-free-parties

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9 mars 2014 7 09 /03 /mars /2014 09:09


http://www.lopinion.fr/sites/nb.com/files/styles/article/public/cms/edito/201310/patrick_pailloux_pays_sipa.jpg?itok=FYQ4pKFb
Janvier 2014

Le directeur de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) devrait passer à la direction technique de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).

Il y a quelques jours, la SSII Sogeti annonçait avoir recruté Bernard Barbier, alors directeur technique de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).

Selon le Monde, c'est Patrick Pailloux qui devrait le remplacer à ce poste stratégique. Sa nomination devrait être imminente. Il aurait été préféré à Philippe Duluc, le directeur de la sécurité de Bull ou à des candidatures internes à la DGSE.

Patrick Pailloux est aujourd'hui à directeur de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi).

Au sein de cette structure créée en 2009 notamment pour assurer la défense des systèmes d'information de l'Etat, il aura réussi à se faire entendre.

Ses discours auront marqué les professionnels de la sécurité informatique, et ont même pu se frayer un chemin dans les médias généralistes.

Patrick Pailloux avait en effet choisi Paris Match pour annoncer que Bercy avait été victime d'un gros piratage en 2011.

Depuis sa nomination à la tête de l'Anssi, cette agence aura vu son budget presque doubler et son effectif tripler.

Source :
http://www.journaldunet.com/solutions/emploi-rh/patrick-paillou-de-l-anssi-a-la-dgse-0114.shtml

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:07


http://www.saphirnews.com/photo/art/default/3655062-5352644.jpg?v=1326467168
Transmis par Elise le 19 février 2014

La Cour de cassation a annulé, le 18 février 2014, une décision de la Cour d'appel de Versailles confirmant le non-lieu dans cette affaire de violences policières. Ali Ziri, 69 ans, était décédé, asphyxié, le 11 juin 2009, deux jours après son interpellation par la police à Argenteuil.

Même ténue, c’est une victoire pour la famille d’Ali Ziri qui, depuis le 11 juin 2009, se bat pour savoir pourquoi ce retraité algérien de 69 ans est décédé, asphyxié, suite à son interpellation par la police d’Argenteuil. Mardi 18 février 2014, La chambre criminelle de la Cour de cassation a annulé l’arrêt de la Cour d’appel de Versailles qui confirmait le non-lieu prononcé le 15 octobre 2012 par un juge d’instruction de Pontoise

Pour Me Paul Mathonnet, qui a plaidé devant la Cour de cassation, «cette affaire est très révélatrice non tant des problèmes d'usage de la force publique, mais des difficultés de l'autorité judiciaire à gérer ce genre d'affaires en toute impartialité».

Y aura-t-il un jour un procès dans l’affaire Ali Ziri ? C’est désormais à la Cour d’appel de Rennes, désignée par la Cour de cassation, de trancher. Elle peut soit à nouveau confirmer le non-lieu, soit l'infirmer, soit demander des mesures d'instructions complémentaires.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 17:09


http://img.over-blog-kiwi.com/0/66/42/42/20140207/ob_7c56c2_flashball.JPG
Le 7 février 2014

Un jeune de 17 ans a perdu un oeil le 1er février après avoir été touché par un tir de flash-ball lors des émeutes qui ont touché l'île de La Réunion. Il était pourtant présent sur les lieux en simple spectateur.

Une information judiciaire pour violences volontaires a été ouverte, vendredi, par le procureur de la République de Saint-Denis de La Réunion contre un policier. Un adolescent a perdu un oeil lors de violences urbaines le 1er février à la suite d'un tir de flash-ball.

Philippe Muller a annoncé avoir ouvert une information judiciaire pour "violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une infirmité" et saisi l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) de Paris. "Le fonctionnaire n'a pas utilisé son arme à bon escient selon les premiers éléments de l'enquête", a déclaré à l'AFP le magistrat, confirmant une information du Journal de l'Ile de la Réunion.

L'IGPN est chargée de veiller au respect des lois et règlements par les policiers d'où son appellation de "police des polices". Elle ne peut être saisie que par les autorités administratives et judiciaires.

L'adolescent ne faisait pas partie des casseurs

Les faits se sont produits dans la nuit du 1er au 2 février au Port (ouest de l'île) où des affrontements se déroulaient depuis plusieurs nuits entre des jeunes casseurs et les forces de l'ordre. Selon les premiers éléments de l'enquête, les policiers sont intervenus aux côtés des pompiers pour éteindre un feu de voiture près d'une station-service. L'un d'eux a fait usage de Flash-ball blessant grièvement au visage un jeune de 17 ans, le touchant au nez et à l'arcade. Le jeune homme prénommé Steve a été transporté à l'hôpital où il a été opéré le lendemain, mais a perdu l'usage d'un oeil.

Sa famille a décidé de porter plainte en assurant qu'il ne faisait pas partie des casseurs. "Il était juste en train de regarder lorsqu'il a reçu un coup de Flash-ball", a déclaré un de ses proches au site Imaz press Réunion qui a révélé l'affaire en début de semaine.

La police n'a pas donné sa version

Le policier n'a pas été identifié, pas plus que l'unité à laquelle il appartient, selon le parquet de Saint-Denis. "On n'a pas la version de la police. On a mené des auditions uniquement du côté de la victime. C'est l'IGPN qui entendra les policiers", a dit le procureur. "J'ai ouvert (l'information judiciaire) au plus grave pour pouvoir saisir l'IGPN. Peut-être qu'on se retrouvera sur un tir accidentel lorsque l'enquête sera terminée", a-t-il ajouté.

Muller a jugé toutefois "crédibles les propos de la victime". "Ses auditions ont été corroborées pour partie par d'autres témoignages sur ce qui s'est passé avant et après les faits. La nature du tir permet de suspecter la présence des policiers sur les lieux", a-t-il ajouté. Selon le procureur, le jeune homme n'a pas d'antécédents judiciaires. Il est en 1ère S et "est bien intégré socialement".

Source :
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/la-reunion-un-adolescent-perd-un-oeil-apres-un-tir-de-flash-ball-8361631.html

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 11:43


http://i46.servimg.com/u/f46/11/96/27/04/images13.jpg


Novembre 2013

Nous, amateurs de fêtes techno, en avons assez que les pouvoirs publics répriment la culture qui nous est chère.

« You might stop the party but you can't stop the future » disaient les Spiral Tribe. C'est l'inverse qui s'est produit. Les fêtes ne se sont pas arrêtées bien au contraire mais l'avènement d'un futur où la fête libre s'imposerait a volé en éclat.

La musique techno a conquis le monde mais ceux qui la vivent dans ses formes originelles et originales demeurent des indésirables.

Ce n'est pas la musique qui est réprimée, c'est nous.

Nous fréquentons les divers lieux où s'expriment la techno : raves, free-parties, salles, clubs, squats, festivals, teknivals... Nous sommes multiples comme la techno est plurielle.

Partout, oui partout, la répression nous poursuit ou plutôt elle nous attend. Elle nous cible.

Pour Vous, vous les gens bien comme il faut, nous sommes des nuisances. Des nuit-sibles pour votre sommeil, votre morale et votre certitude d’avoir fait les bons choix de vie.

 

Avec les lois et les flics en guise d'insecticide.

Vous qui faites fermer le club ou le bar dans lequel j'aime aller.
Vous qui servez à justifier les interdictions municipales ou préfectorales à chaque déclaration de soirée.
Vous encore qui dénoncez à la police ce défilé de jeunes en camions en pleine campagne au beau milieu de la nuit.
Vous rêvez de liberté mais vous ne supportez pas de voir des gens libres.

Trompée par les Médias anxiogènes, l'Opinion désireuse de sécurité fait triompher les Politiques avides de contrôle facile.

Car il est plus facile de s'attaquer au"dossier des raves et free-parties" que celui de "l'évasion fiscale" ou de "la délinquance".

Lire la suite et signer le manifeste :
http://www.technoplus.org/t,1/2692/manifeste-contre-la-repression-des-amateurs-de-techno

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 11:26


http://s1.lemde.fr/image/2012/11/16/534x267/1792012_3_3088_un-magasin-ikea-en-allemagne_1910610fe496c2f8c4cd6ec30c2595a8.jpg
Le 18 novembre 2013

Le directeur général d'Ikea France, Stefan Vanoverbeke, son prédécesseur, Jean-Louis Baillot, et le directeur financier de l'enseigne, Dariusz Rychert, sont placés en garde à vue, depuis le début de la matinée, lundi 18 novembre, dans les locaux de la direction de la police judiciaire de Versailles.

Leur audition s'inscrit dans le cadre de l'enquête ouverte début mars 2012 contre le distributeur de meubles, accusé de s'être renseigné illégalement sur les éventuels antécédents judiciaires de ses salariés.

SYSTÈME À GRANDE ÉCHELLE

Depuis le début de l'affaire, une dizaine de mises en examen ont été prononcées par le juge d'instruction Alain Gallaire : après celles, le 22 janvier, de l'ancien responsable sécurité de l'enseigne, Jean-François Paris, et de son ex-adjointe, huit autres personnes ont subi le même sort. Parmi elles figurent quatre policiers.

Selon les procès-verbaux d'audition révélés par Le Canard enchaîné et que Le Monde a pu consulter, il semble qu'un vaste système de contrôle illégal avait été mis en place par la direction.

La déposition de M. Paris, recueillie le 9 avril par le juge Gallaire, a montré que ce filtrage à grande échelle s'est produit dans un grand nombre établissements : Avignon, Brest, Grenoble, Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Reims, Rennes, Rouen, Thiais (Val-de-Marne) et Tours.

"C'est quelque chose qui fonctionnait comme ça chez Ikea, en collaboration avec le responsable sécurité, a expliqué l'ex-directeur du magasin d'Avignon durant sa garde à vue. J'ai suivi les pratiques qui étaient en place (...). C'était informel."

Source :
http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/11/18/le-directeur-general-et-le-directeur-financier-d-ikea-en-garde-a-vue_3515814_3234.html

Complément d'info :
http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/01/23/l-ancien-m-securite-d-ikea-france-assure-avoir-agi-sous-ordre_1821001_3234.html

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 09:39


http://media.actu.woopic.com/pictures/une/photo_1384531963891-1-0.jpg
Le 15 novembre 2013

Un CRS mis en examen pour le viol de plusieurs femmes

Un CRS a été mis en examen à Versailles (Yvelines) la semaine dernière pour le viol « de plusieurs femmes », deux mois après avoir été écroué pour avoir réclamé des faveurs sexuelles contre la promesse d’effacer des procès-verbaux, a-t-on appris vendredi de source proche de l’enquête.

La justice le soupçonne du viol de « jeunes femmes », entre 2011 et 2013 à Morainvilliers et à Louveciennes, dans les Yvelines, selon Le Parisien.

En septembre, il avait été écroué sous les chefs d'« exhibition sexuelle » et «  corruption passive », à la suite d’une plainte d’une jeune femme.

Le 19 août dernier, sur l’A13, au niveau de Morainvilliers (Yvelines), ce policier de la compagnie autoroutière Ouest-Ile de France avait proposé à une mère de famille de 35 ans de faire annuler des procès-verbaux d’infractions routières en échange de faveurs sexuelles, avait révélé Le Parisien.

L’enquête avait été confiée à l’IGPN, « la police des polices », et le policier était passé aux aveux, selon le quotidien.

Source :
http://www.liberation.fr/societe/2013/11/15/un-crs-mis-en-examen-pour-le-viol-de-plusieurs-femmes_947272

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