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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 07:56


http://www.islamophobie.net/sites/default/files/imagecache/image_scale_632/police-france.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 20 juillet 2013.

La déferlante islamophobe s’accentue : le CCIF a été saisi par Hajar, la jeune femme victime d’un contrôle d’identité musclé par la police nationale à Trappes. A la suite de ce contrôle, son mari a été mis en garde à vue pour avoir osé s’opposer à la violence et aux provocations des policiers.

Voici son récit :

"Je fais appel à vous car j'ai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrôler à cause de mon voile intégral. Comme d'habitude, j’ai coopéré. J’allais lever mon voile lorsque j’ai vu l’un des agents pousser violemment ma mère.

J'ai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derrière, que ça n'allait pas se passer comme ça, qu’il ne fallait pas toucher à ma mère qui n’a rien a voir avec le contrôle, sachant que elle était devant nous.

L’un des agents s’est alors énervé sur mon mari, juste parce qu'il a dit, à propos de ma maman :

 "Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors qu’elle n’a rien à voir avec le contrôle ?"

 Le policier a alors dit a mon mari, de manière très agressive et en bombant le torse : « Tu vas faire quoi ? ».  Je me suis interposée entre eux pour ne pas que ça dégénère.

Une fois que le policier en a fini avec ma mère, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. Apeurée, je lui ai demandé de se taire. Il m’a alors attrapée par le voile au niveau de la tête et traînée avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant : "C'est à moi que tu parles ?? C'est à moi que tu parles, hein ? »

Je me suis retournée puis j’ai aperçu mon mari maintenu à terre par deux policiers qui le menottaient.

[...]"

Lire la suite :
http://www.islamophobie.net/articles/2013/07/20/femme-voilee-trappes-police-violence?&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=Violences_polici%C3%A8res_%C3%A0_Trappes

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23 juillet 2013 2 23 /07 /juillet /2013 16:07


http://rebellyon.info/local/cache-vignettes/L450xH450/sous-surveillance_vautour-b0373.jpg
Depuis Rebellyon, le 12 juillet 2013.

Le 14 juillet dernier, lors de la fête annuelle de Rebellyon, un site lyonnais de cartographie participative et de ressources contre la vidéosurveillance était lancé ! Notre manière à nous de fêter les 10 ans de flicage des voies publiques lyonnaises. Et on n’a pas chômé pendant l’année, avec plein de complices qui n’aiment pas non plus être filmés : sur Lyon plus de 1500 caméras ont été recensées dans l’agglomération, signalements qui permettent de mieux se protéger de la vidéosurveillance tout en informant sur la prolifération inquiétante et les évolutions technologiques. Et le projet a depuis été lancé dans 25 autres villes.

Septembre 2011 : le maire de Lyon fête tranquillement l’anniversaire des dix ans de la vidéosurveillance à Lyon, en compagnie de journalistes complaisants, dans un QG tenu secret. En 2001, lors de l’installation des premières caméras, Collomb avait pourtant essuyé un feu nourri d’oppositions.

Une décennie plus tard, plus aucune voix ne se fait entendre localement contre le déploiement et le renforcement de la surveillance à distance. Pire : les médias locaux clament que tout le monde est désor­mais d’accord et que le dispositif est utile. Le collectif de Rebellyon, un site d’infos alternatives lyonnais, lance alors un appel pour la mise en place d’une cartographie participative des caméras de l’agglomération, histoire de remettre un peu de piquant dans cette affaire.

En juillet 2012, grâce à l’aide de quelques complices, un site lyonnais est lancé, augmenté d’une revue de presse régulièrement mise à jour sur le sujet. Il permet à n’importe qui de signaler facilement l’emplacement d’une caméra, son orientation, sa photo, et qui en est l’opérateur (les caméras privées sont, pour la première fois, également repérées).

Lire la suite :
http://rebellyon.info/Sous-surveillance-net-un-an-et.html

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22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 19:37


http://www.notav.info/wp-content/uploads/2013/07/FIACCOLATA-1.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 22 juillet 2013.

Le 20 juillet 2013 -Communiqué No TAV : Liberté pour les arreté.e.s No TAV !

La marche nocture de vendredi 19 juillet  2013 au chantier de la TAV [voir le direct] en Val Clarea a regroupé 500 personnes. Les charges policières ont provoqué 9 arrestations et de très nombreux blessés NoTav.

 Le comportement de la police italienne hier soir n’était autre que violence pré-annoncée. A peine la marche Notav a-t-elle quitté Giaglione que déjà la préfecture publiait des communiqués délirants au sujet de l’épouvantail black block infiltré dans le rang des valsusins.

Violence pré-ordonnée donc, lorsque la police charge à froid les NoTav encore loin des barbelés. Lorsqu’elle le fait le long des sentiers sinueux et dangereux où les personnes tombent, sont piétinées, matraquées. Lorsqu’elle les poursuit même dans la forêt, déjà intoxiquée par les gaz lacrymogène illégalement tirés par ces mêmes policiers. A signaler, la présence des deux serfs de la préfecture qui ont l’obsession du NoTav, les  procureurs Padalino et Rinaudo. Etaient-ils là par hasard ou sont-ils venus pour les arrestations prévues d’avance?

Il y a beaucoup de personnes âgées parmi les 500 manifestants, ce sont les premiers à ne pas arriver à s’échapper. Des groupes de plus jeunes tentent de s’interposer : parmi eux les 7 personnes arrêtés, dont le préfecture de Turin à travers la plume du vindicatif Petronzi se vante tant.

Ennio, Luke, Matthias, Piero, Marcello, Gabriele et Alberto sont les sept arrêtés de cette nuit de violence, nuit durant laquelle le mouvement NoTav a démontré une fois de plus ce que signifie lutter et résister ensemble, même dans les moments difficiles.

Lire la suite :
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/07/20/communique-no-tav-liberte-pour-les-arrete-e-s-no-tav/

***

Le 22 juillet 2013 - Marche aux flambeaux en solidarité aux personnes arrêtées et blessées par la violence de la police

Le mouvement No TAV a organisé pour mardi 23 juillet 2013 une marche aux flabeaux en solidarité avec toutes les personnes arrêtées et blessées par la violence de la police vendredi dernier.

Rendez-vous à 21h30 en Piazza d’Armi à Suse (Val de Suse, Turin). Apportez des drapeaux No Tav !

Source :
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/07/22/no-tav-suse-marche-aux-flambeaux-en-solidarite-aux-personnes-arretees-et-blessees-par-la-violence-de-la-police/

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 10:31


http://www.dreuz.info/wp-content/uploads/Alliance-police-nationale.png
Le 15 juillet 2013.

Alliance Police Nationale, second syndicat des gardiens de la paix a refait parler de lui en ce week-end du 14 Juillet 2013.

Cette semaine une première affaire est venue secouer l’actualité, celle d’un jeune, un de plus, passé à tabac dans une cellule du commissariat du 19è arrondissement. Alors qu’il fumait un joint à la sortie de son collège, ce jeune âgé de 15 ans fut interpellé et placé 24 h en garde à vue. Un véritable enfer s’abattit sur lui. Résultat : ce jeune s’est vu prescrire 45 jours d’ITT avec une fracture du coude.

Rappel des faits :

http://clap33.over-blog.com/article-actu-collegien-tabasse-par-les-flics-l-igs-ouvre-une-enquete-119054563.html

Comme à son habitude, le syndicat Alliance n’a pas tardé à réagir en protégeant les fonctionnaires incriminés. Mais cette fois-ci, les principes de la défense vont jusqu’à l’absurde.

Dans le 19/20 de France 3 en date du vendredi 12 juillet 2013, c’est le responsable zonal Paris d’Alliance, Pascal Disant qui s’est attelé à la tâche. Voici son récit mot pour mot lors de son interview.

" Curieusement, 48h après, une fracture apparait. Ayant quitté la garde à vue, on peut se poser plein de questions.....Le bras cassé, est ce qu’il a été cassé pendant la garde à vue ou après la garde à vue, entre le moment où il quitte la garde à vue et le moment où il consulte à nouveau un médecin ? "

 Au vu de ces déclarations hallucinantes, et sachant que des faits encore plus grave se déroulent au sein des commissariats, ce type de défense est tout simplement innaceptable par rapport à la victime, à sa dignité et à celle de sa famille.

Pascal Disant est donc placé à la BNPVZ pour mensonge, mise en doute de la parole des victimes de la police et soutien abusif de fonctionnaires violents.

***

La seconde affaire est survenue au cours de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge. Alors que des peronnes étaient secourues, une syndicaliste d’Alliance à savoir Nathalie Michel a lâché auprès de certains médias que des jeunes du quartier s’étaient livrés à des pillages sur les cadavres, des vols de téléphones portables auprès des secouristes et des caillassages auprès des pompiers.

Suite à cette information reprise en masse par les médias et non verifiée, les secouristes ont démenti toutes ces accusations justifiant que leur condition de travail était bonne.

Lire la suite :
http://paris.indymedia.org/spip.php?article13915

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 07:22


http://www.bfmtv.com/i/580/290/643938.jpg
Le 15 juillet 2013.

Une jeune fille de 15 ans a été renvoyée d'un collège catholique de Thionville, en Moselle, après avoir été agressée sexuellement lors d'un voyage scolaire.

Une jeune fille de Thionville a été exclue de son établissement, un collège privé catholique, après avoir été sexuellement agressée lors d'un voyage scolaire. La décision est contestée par la victime et sa famille, a indiqué leur avocat.

"Ma cliente et sa famille ne comprennent pas ce qui leur arrive", a déclaré Me Frédéric Richard-Maupillier. La jeune fille "est victime de quelque chose qui va la perturber, la traumatiser relativement longtemps".

"En plus, elle a un sentiment de culpabilité parce qu'inconsciemment, si elle est exclue c'est qu'elle a fait quelque chose de mal", a-t-il dénoncé. Elle est suivie aujourd'hui par un psychologue.

Fin mai, sa classe de troisième de l'établissement privé et catholique Notre Dame de la Providence de Thionville est en voyage scolaire à Berlin. Les élèves sont répartis dans une grande auberge de jeunesse. Quelques filles décident de braver l'interdiction des enseignants de sortir des chambres après 22h00 et sympathisent avec un groupe voisin de garçons polonais, qui les invitent dans leur chambre.

 Une décision dans le "cadre strict des règles applicables"

Puis la soirée tourne mal : au moins l'une des jeunes filles est agressée sexuellement. Sa famille a porté plainte en Allemagne, avec l'appui de l'établissement. Mais au retour du voyage, l'établissement convoque un conseil de discipline. En juin, celui-ci prononce l'exclusion définitive de trois adolescentes, dont la victime, la seule qui conteste son renvoi.

"Ces exclusions ont porté sur la consommation d'alcool" a réagi Me Hervé Renoux, l'avocat de l'établissement. "Il y a eu consommation d'alcool excessive qui a conduit à un comportement inadapté", alors même que tous les élèves et leurs familles avaient signé avant leur départ une charte dans laquelle ils s'engageaient à ne pas boire, a souligné l'avocat.

La décision a été prise "en âme et conscience", dans le "cadre strict des règles applicables" de l'institution, a-t-il ajouté.

Lire la suite :
http://www.bfmtv.com/societe/moselle-une-eleve-exclue-college-apres-avoir-ete-violee-560150.html

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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 10:14


http://www.marsactu.fr/sites/default/files/imagecache/article/images/requisition_batiment.jpg
Le 10 juillet 2013.

Cinq sites de vidéo-surveillance prévus par la mairie de Marseille affichent comme objectif les Roms et gens du voyage. L'association Rencontres Tsiganes est choquée par cette "discrimination ethnique dans un document officiel". De son côté, la commission nationale informatique et liberté (Cnil) évoque "une stigmatisation".

Risques de braquage, axes routiers facilitant la fuite, lieux touristiques ou équipements publics où des actes de délinquance ont été recensés... Chacune des 407 caméras que la mairie va installer dans tout Marseille dispose d'une fiche précisant quelques "objectifs du site".

Que la collectivité ait réfléchi au choix de sites pertinents, en s'appuyant principalement sur les statistiques et les demandes de la police nationale, c'est rassurant. Ce document qui figure dans les annexes de l'appel d'offres clôturé le 28 juin - c'est-à-dire le dossier technique communiqué aux entreprises candidates - réserve toutefois une surprise : parmi les objectifs assignés aux caméras figurent à cinq reprises les mentions "Roms" et "gens du voyage".

"De la discrimination ethnique dans un document officiel, résume Jean-Paul Kopp, président de Rencontres Tsiganes. C'est consternant. On va exiger une modification de ces fiches." Contacté, le service juridique de la commission nationale informatique et libertés (Cnil) met en garde contre "une stigmatisation ciblant des catégories, notamment raciales ou ethniques".

L'organisme, qui a publié l'année dernière un guide de bonnes pratiques sur la vidéo-protection avec l'association des maires de France, rappelle que la loi informatique et liberté interdit de recueillir et traiter ce genre de données qui "vise un type de population".

Lire la suite :
http://www.marsactu.fr/societe/a-marseille-des-cameras-ciblent-roms-et-gens-du-voyage-31653.html

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 13:05


http://www.lyonmag.com/medias/images/police-une-bis9.jpg
Transmis par Janos, le 14 juillet 2013.

Violences urbaines. Pour la deuxième nuit consécutive, les forces de l’ordre, déployées massivement dans le quartier du Mas-du-Taureau, ont essuyé des tirs de mortier.

Dès vendredi, après les incidents sérieux enregistrés ces dernières nuits, tant à Vénissieux, Vaulx-en-Velin que Villeurbanne, Albert Doutre, le patron des policiers du Rhône, annonçait la couleur : « Si certains ont une volonté de bras de fer, ils auront connaissance de la riposte des forces de l’ordre. »

Un avertissement qui n’avait rien de paroles en l’air. Compagnies mobiles, CRS, Brigade anticriminalité, brigade canine, le dispositif était massif. Et plusieurs centaines de policiers ont été mobilisées dans la nuit de vendredi à samedi pour assurer le calme dans ces secteurs réputés chauds.

Pour disperser la foule : gaz lacrymogène et titrs de balles en caoutchouc

Et c’est à Vaulx-en-Velin, vers 1 heure du matin, que les forces de l’ordre ont essuyé des tirs de mortiers nourris et ont été confrontées à plusieurs dizaines d’excités. Une violence dont ont été témoins des habitants qui évoquaient samedi « des scènes de guérilla » et « deux équipages de police attaqués au mortier laissant sur place leur véhicule ».

La riposte toutefois a été à hauteur de l’attaque. Comme la nuit précédente, les policiers ont tiré des balles en caoutchouc et fait usage de lacrymogènes pour disperser les groupes hostiles. Un homme âgé de 20 ans a été interpellé rue Robert-Desnos. Conduit à l’hôtel de police, il était toujours dans les murs, samedi soir, s’apprêtant à passer une nuit en garde à vue. Le dispositif policier a été maintenu dans la nuit de samedi à dimanche, Albert Doutre affichant, comme à l’accoutumée, une tolérance zéro.

Mercredi soir, un contrôle d’identité à Vénissieux avait mis le feu aux poudres. Le lendemain, à Villeurbanne, les policiers avaient essuyé une pluie de projectiles après une interpellation qui faisait suite à un différend conjugal.

CH. M.

Source :
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/07/14/nouvelle-nuit-agitee-a-vaulx-en-velin-un-homme-interpelle

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 07:06


http://media.rtl.fr/online/image/2010/0113/5931996148_Des-policiers-sous-la-Tour-Eiffel.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 9 juillet 2013


Le procès de huit policiers appartenant à la BAC (brigade anti-criminalité) du VIIème arrondissement de Paris s'est clos aujourd'hui. Les peines vont de un à dix mois de prison avec sursis. Les fonctionnaires étaient accusés de violences et d'atteinte arbitraire à la liberté à l'encontre de deux vendeurs à la sauvette Les faits remontent au 3 janvier 2010 et se sont déroulés au pied de la Tour Eiffel.

Le 2 janvier, un policier avait été blessé par une petite Tour Eiffel au cours d'une opération visant la vente illégale de souvenirs. Le lendemain, les membres de la BAC auraient menotté deux vendeurs à la sauvette à une barrière servant à canaliser les touristes avant de les relâcher.

Aucun d'eux ne correspondait au signalement du suspect recherché dans l'affaire de la veille. Les deux vendeurs se sont par la suite plaint de violence. L'un deux s'était rendu à la « vigie police » du monument pour se plaindre avant d'être pris en charge par les pompiers. Il présentait une plaie ouverte à la tête. Une incapacité totale de travail de 7 jours lui a été reconnue.

Trois policiers sur huit condamnés

Le parquet avait requis des peines allant de trois à dix mois de prison avec sursis et la relaxe de deux prévenus. Les débats n'ont pas permis de confirmer la thèse de « l'opération punitive ». Finalement, c'est deux des huit fonctionnaires qui ont été reconnus coupable d'atteinte arbitraire à la liberté et qui ont écopé d'un mois de prison avec sursis. Les faits de violence ne concernent qu'un policier et il a été condamné lui à dix mois de prison avec sursis. Le reste des prévenus ont été relaxés.

Un peu plus tôt, au cours de cette journée du 3 janvier, un adolescent d'origine indienne avait été interpellé par trois policiers de la BAC avant d'être relâché. Le jeune homme s'était plaint de violences policières auprès des gendarmes assurant la sécurité aux abords de l'Assemblée nationale avant de se rétracter.

Source :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/vendeurs-a-la-sauvette-brutalises-prison-avec-sursis-pour-un-policier-parisien-09-07-2013-2968365.php
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13 juillet 2013 6 13 /07 /juillet /2013 16:29


http://s2.lemde.fr/image/2012/02/27/534x267/1649009_3_0857_photo-prise-le-17-octobre-2011-au-palais-de_addfaf61458e61ad5e75daf3d8839604.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 12 juillet 2013.

L'Etat a été condamné, mercredi 12 juillet, pour faute lourde à verser 70 000 euros de dommages et intérêts à la famille d'un homme qui s'était suicidé en 2006 dans sa cellule au palais de justice de Paris en 2006.

Interpellé le 6 février 2006 par la police, appelée par sa compagne en raison de son comportement envers elle et leur petite fille de 3 ans, il avait été placé en garde à vue dans un commissariat du 12e arrondissement. Dans sa cellule, il avait porté des coups de poing sur le mur, se fracturant un doigt et avait tenté de mettre fin à ses jours avec son tee-shirt. Sa compagne avait fait part au commissariat de ses craintes, car il avait consommé médicaments et alcool la nuit précédente.

En attendant son défèrement, le gardé à vue avait ensuite été transféré au dépôt du palais de justice de Paris, dont les fonctionnaires n'avaient pas été avertis des événements de la journée et de son état de santé. Sans consigne de vigilance particulière, l'agente chargée d'enregistrer les personnes transférées l'avait d'abord placé dans une cellule destinée aux personnes ne présentant pas de difficulté particulière.

SIGNALÉ COMME PERSONNE À SURVEILLER

Puis le fonctionnaire de ronde, à qui l'homme avait indiqué qu'il était claustrophobe et fragile psychologiquement, l'avait fait placer dans une cellule dont la porte est vitrée. Il avait été signalé sur le registre comme personne à surveiller, claustrophobe et éventuellement suicidaire. Après la fouille, on l'avait cependant laissé avec sa parka. Dans la nuit, l'homme a été découvert pendu avec la ceinture de ce vêtement.

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/07/12/l-etat-condamne-pour-le-suicide-d-un-detenu-dans-une-cellule-du-palais-de-justice-de-paris_3447091_3224.html

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 11:49


http://www.lefigaro.fr/medias/2013/07/07/PHO37b29870-e70f-11e2-8e8a-9311079a0965-805x453.jpg
Le 7 juillet 2013

Christian Estrosi a « un mode d'emploi » pour expulser les gens du voyage.

Christian Estrosi a mené une violente charge dimanche matin contre les gens du voyage. Au Grand Rendez-vous Europe 1/Le Parisien-Aujourd'hui en France/iTélé, le député-maire de Nice a appelé les maires de France à « la révolte » contre les roms et les gens du voyage. Il conseille aux édiles d'appliquer son « mode d'emploi» , pour les aider « face à un pouvoir socialiste qui ne les accompagne pas.»

« Les choses sont très claires, il y a une loi qui dit qu'il faut avoir des terrains d'accueil avec une certaine capacité, j'en ai pour Nice », a-t-il dit expliqué alors qu'il était interrogé sur la présence de plusieurs centaines de caravanes récemment à Nice.

Dès lors que des terrains sont occupés « sans droit ni titre », dans certains cas après effraction, la loi doit permettre d'« expulser », a-t-il estimé, regrettant qu'une « circulaire Valls » de l'été dernier ne le permette plus, laissant les maires « livrés à eux-mêmes ».

Lire la suite :
http://www.leparisien.fr/societe/christian-estrosi-a-un-mode-d-emploi-pour-expulser-les-gens-du-voyage-07-07-2013-2962079.php

***


Estrosi promet de « mater » les gens du voyage

Le maire UMP de Nice a appelé dimanche les maires de France « à la révolte ». Le PS estime que l'élu cherche «à faire plus dur que le FN» en vue des prochaines municipales.

Le maire de Nice s'est livré dimanche, au cours du « Grand Rendez-Vous Europe1/i-Télé/Le Parisien », à un pilonnage des gens du voyage, estimant qu'il s'agissait de « délinquants » et appelant les maires de France à se lever contre eux. « J'appelle les maires de France à la révolte et à utiliser le mode d'emploi qui est le mien. »

Christian Estrosi fait ici référence notamment à un groupe d'une centaine de caravanes qu'il a réussi à faire quitter la semaine dernière d'un terrain de rugby qu'il occupait sans autorisation.

Il a également cité l'exemple d'autres gens du voyage installés illégalement sur un terrain de football à Nice et qui auraient déclaré qu'ils y resteraient trois semaines. Christian Estrosi a affirmé leur avoir dit: « J'en ai maté d'autres, je vous materai. »

Lire la suite :
http://www.lefigaro.fr/politique/2013/07/07/01002-20130707ARTFIG00087-estrosi-promet-de-mater-les-gens-du-voyage.php

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 07:04


http://www.politis.fr/local/cache-vignettes/L650xH260/arton22995-5b834.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 5 juillet 2013.

Le militant devait comparaître pour avoir « résisté avec violence » à son interpellation lors des commémorations de l’esclavage. Les poursuites ont été cassées par un vice de procédure.

« Soulagé, mais en colère ». Almamy Kanouté, éducateur spécialisé et élu local à Fresnes (Val-de-Marne) sur une liste autonome, devait être jugé pour avoir « résisté avec violence à son interpellation (…) en poussant un fonctionnaire [de police] ». Au cours d’une audience éclaire, la nullité de la procédure a été prononcée, vendredi matin. Les agents de police ne lui avaient pas notifié ses droits lors du prolongement de sa garde à vue.

Des consignes de la préfecture de Police

Le 10 mai, Almamy Kanouté se rendait aux commémorations de l’abolition de l’esclavage présidées par François Hollande dans les jardins du Luxembourg. Il présente une convocation en bonne et due forme, mais se voit refuser l’entrée avec une poignée de militants de la Brigade anti-négrophobie, dont certains arborent des tee-shirts floqués du nom de l’association.

Une consigne a été diffusée aux agents de police pour qu’ils refusent l’accès aux militants du mouvement d’extrême droite Printemps français, de l’association Alliance noire citoyenne et de la Brigade anti-négrophobie en raison d’un « risque d’action », selon une note de la préfecture de Police que l’avocat d’Almamy Kanouté, maître Hosni Maati, s’est procurée.

Le face-à-face s’électrise rapidement entre les militants scandalisés et les forces de l’ordre, devant les grilles du jardin. Une bousculade conduit à l’interpellation, musclée, d’Almamy Kanouté par 8 gardiens de la paix. Faisant valoir une interruption temporaire de travail (ITT) de quatre jours, l’un d’entre eux poursuit le militant en justice.

La scène filmée par des militants :


« Je répondais à une invitation officielle en tant qu’élu de la République, nous étions censés passer un moment d’émotion et nous nous sommes retrouvés bloqués, s’attriste encore Almamy Kanouté à la sortie du tribunal. J’ai été sali dans cette affaire, et présenté comme un délinquant dans la presse, pour des faits qui ne tiennent pas la route », ajoute-t-il.

Lire la suite :
http://www.politis.fr/Les-poursuites-contre-Almamy,22995.html

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 15:53


http://www.islamophobie.net/sites/default/files/imagecache/image_scale_632/femme-voile-agression-bus-paris.png
Le 4 juillet 2013.

Auxiliaire de vie, Mlle G s’occupe de personnes âgées au quotidien. Le 30 juin 2013, vers 18 heures, G prend le bus comme tous les autres soirs pour se rendre à son travail.

Quand une dame âgée monte dans le bus, Mlle G lui cède naturellement sa place, mais la dame refuse et l’invective de manière virulente à propos du foulard qu’elle porte. S’ensuit une discussion houleuse : « Sale arabe, retourne dans ton pays, tu devrais relire le Coran… », lui assène la dame. Au moment de descendre à l’arrêt de son travail, Mlle G doit une nouvelle fois faire face à l’agressivité de la dame âgée. Cette dernière, se croyant suivie, bouscule Mlle G, qui cette fois ci lui répond.

A ce moment, un homme de grande taille arrive vers Mlle G et la gifle violemment. Elle s’accroche à lui pour le retenir en appelant au secours. Il a fallu que des personnes s’interposent pour éviter qu’il ne continue.

Alertée à la demande de Mlle G, la police arrive sur les lieux et, plutôt que d’arrêter l’agresseur, décident de placer Mlle G en garde à vue.

Comme dans les affaires récentes à Argenteuil, la victime se retrouve suspectée et, dans ce cas, arrêtée. Dès lors qu’il s’agit d’une femme voilée, le traitement et les investigations prennent une tournure spécifique.

Mlle G se retrouve en garde à vue jusqu’au lendemain … pour avoir été courtoise en proposant son siège à une personne âgée, tandis que son agresseur est laissé en liberté.

C’est à ce moment que le CCIF est alerté par la famille de la victime, ainsi qu’un avocat. Les bandes vidéos du bus sont alors saisies, le commissariat est alerté du suivi de la victime, tandis qu’une dizaine de policiers se rendent au domicile de Mlle G pour l’arrêter à nouveau.

Pendant sa déposition comme pendant sa garde à vue, Mlle G fait l’objet de tentatives d’intimidation de la part de la police, qui fait un usage disproportionné de ses moyens contre une jeune femme qui est, comme le montrent de manière éclatante les vidéos, la victime dans cette affaire.

Lire la suite :
http://www.islamophobie.net/articles/2013/07/04/femme-voile-agression-victime-bus-ratp-paris-police

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 13:43


http://blog.slate.fr/chasseur-d-etrange/files/2010/11/Prison_Punishment.jpg
Le 3 juillet 2013.

Un détenu de la maison d'arrêt de Lyon-Corbas (Rhône) a été retrouvé mort mardi dans sa cellule où il était seul, a-t-on appris mercredi de source syndicale.

La cause du décès et l'hypothèse d'un éventuel suicide sont encore incertaines. Des emballages de médicaments ont été retrouvés sur les lieux.

"C'était quelqu'un de fragile, placé au service médico-psychiatrique régional, qui avait des troubles du comportement relativement importants", a précisé la même source.

Selon Le Progrès, ce détenu avait 27 ans et était incarcéré dans le cadre d'une affaire de viol.

Source :
http://fr.news.yahoo.com/lyon-mort-dun-d%C3%A9tenu-%C3%A0-maison-darr%C3%AAt-corbas-082150680.html

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