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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 13:13


http://www.etatdexception.net/wp-content/uploads/2013/02/Comit%C3%A9-V%C3%A9rit%C3%A9-Justice-pour-Abdelhakim-Ajimi.jpg
Le 3 mai 2013.

Suite à la mort d'Abdelhakim Ajimi lors d'une violente interpellation policière à Grasse le 9 mai 2008, la famille Ajimi a bravé pendant cinq ans la loi du silence et de l'intimidation policière. Elle a obtenu en février 2013 la confirmation de la condamnation judiciaire de trois policiers reconnus coupables de la mort d'Abdelhakim Ajimi.

La famille Ajimi et le comité Vérité et Justice pour Abdelhakim Ajimi demandent au ministre de l’Intérieur, employeur des policiers, de tirer la conséquence de cette décision judiciaire et de prononcer la révocation de ces trois agents de police, aujourd’hui toujours en poste au sein du commissariat de Grasse.

Les abus de pouvoir exercés par des policiers sur des personnes abiment et prennent des vies.
Ils sont parfois sanctionnés par la Justice. Celle-ci peut notamment exiger l'interdiction d'exercer ses fonctions pour un policier reconnu coupable.

Le 24 avril 2013, le policier de la Brigade Anti-Criminalité qui avait, en mai 2008 dans le Xe arrondissement de Paris, blessait trois jeunes personnes (dont une grièvement) avec son arme de service alors qu’il n’était pas en poste et était sous l’emprise de l’alcool a ainsi été condamné par le Tribunal correctionnel de Paris à trois ans de prison dont un an ferme avec obligation de soins, interdiction du port d’arme pendant cinq ans et interdiction d’exercer sa profession.

Mais l’administration peut elle-même prendre les mesures qui lui paraissent nécessaires, notamment lorsqu’un policier est judiciairement condamné. Dans ce cas, le ministre de l’Intérieur, sur avis du conseil de discipline, prend la décision qui lui semble appropriée, de l’avertissement ou du blâme à la révocation ou la mise
à la retraite d’office.

Ainsi, suite à des décisions judiciaires ou de leur propre initiative, les ministres de l'Intérieur ont pris une centaine de décisions de révocation de policiers de 1993 à 1999.

L’un des deux voltigeurs reconnus coupables de la mort de Malik Oussekine (6 décembre 1986) s’est vu infliger une mise à la retraite d'office, sanction la plus élevée. Les deux policiers avaient été jugés par le Tribunal correctionnel de Paris pour «coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner» et condamnés le 28 janvier 1990 à deux et cinq ans de prison avec sursis.

Le CRS Gilles Burgos, condamné à 5 ans de prison dont 3 avec sursis pour avoir tué Loïc Lefèvre à Paris dans la nuit du 5 au 6 juillet 1986, a été suspendu par le ministre Charles Pasqua pour des violences racistes commises à sa libération. Le ministre Pierre Joxe l’a ensuite révoqué, en août 1988.

Le policier Jean Carvalho, pour avoir tué Fabrice Fernandez le 18 décembre 1997 à bout portant dans un commissariat de Lyon, a été condamné en 1999 à 12 ans de prison ferme. Le ministre Jean-Pierre Chevènement l’a révoqué.
Suivant ces exemples, la famille Ajimi et le comité Vérité et Justice pour Abdelhakim Ajimi demandent la révocation des trois policiers jugés coupables de la mort d'Abdelhakim.

Le Défenseur des droits M. Baudis avait annoncé en février 2012 sur France 2 qu’il utiliserait son pouvoir d’injonction pour demander au Ministre de l’intérieur de prendre des sanctions à l’encontre des policiers jugés coupables.

Les parents d’Abdelhakim Ajimi l’ont interpellé par deux courriers en mars 2012 et en mars 2013. Ils ont également adressé un courrier au Ministre de l'intérieur en mars dernier pour demander la révocation des policiers condamnés pour la mort de leur fils.

À ce jour, ces trois courriers sont restés sans réponse. Mais la famille Ajimi, soutenue par le comité Vérité et Justice pour Abdelhakim Ajimi, ne se satisfera pas de ce silence.

Contact :
comite_hakim_ajimi@riseup.net

Source :
http://juralib.noblogs.org/2013/05/03/affaire-abdelhakim-ajimi-revocation-des-trois-policiers-reconnus-coupables-de-la-mort-dabdelhakim-ajimi/

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 07:36


http://images.midilibre.fr/images/2013/05/01/une-bagarre-avait-eclate-vers-5-h-sur-le-parking-d-une_572568_510x255.jpg
Depuis MidiLibre, le 2 mai 2013.

Un militaire du 3e RPIMa de Carcassonne a tiré, mercredi, au pistolet de défense lors d’une rixe.

Deux militaires du 3e Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) de Carcassonne ont été placés en garde à vue au commissariat de Narbonne, mercredi matin. Et ceci à la suite d’une bagarre à laquelle ils avaient participé sur le parking d’une discothèque de la ville. Au cours de laquelle l’un des deux paras avait tiré, à deux reprises au moins, sur un client avec une arme à feu. Plus précisément, un pistolet de défense tirant des balles en caoutchouc, type gomme-cogne.

La victime n'a pas voulu déposer plainte

La victime, originaire de Béziers, a été atteinte au bas ventre. Apparemment sans séquelle important. Car ce jeune homme n’a pas souhaité déposer plainte. C’était toujours le cas, mercredi soir, à l’heure où nous écrivons ces lignes.

L’altercation a éclaté sur le parking de l’établissement de nuit, au moment de la fermeture vers 5 h. Les circonstances et les raisons de la bagarre sont assez confuses. D’autant que l’alcool, bu en excès, a échauffé les esprits.

Une rivalité entre les deux hommes

"Le tireur affirme qu’il a tiré pour protéger son camarade qui était pris à partie, explique le procureur David Charmatz. Il n’avait évidemment pas à porter hors de son domicile et encore moins à utiliser ce qui est une arme de défense. Toutefois, en l’absence de plainte de la victime et l’auteur ayant un casier judiciaire vierge, il fera l’objet d’une prochaine composition pénale". Quant à l’autre militaire qui a été placé en garde à vue, il ne fera pas l’objet de poursuites judiciaires.

Le responsable de la sécurité de la discothèque croit savoir qu’une rivalité à propos d’une jeune femme aurait mis le feu aux poudres...

Après avoir utilisé le gomme-cogne contre un homme à la constitution très robuste selon les témoignages, le tireur s’est réfugié à l’intérieur de la discothèque. L’établissement a alors alerté la police. La brigade anticriminalité s’est immédiatement rendue sur les lieux. On connaît la suite...

Source :
http://www.midilibre.fr/2013/05/01/deux-paras-du-3-arretes-apres-des-coups-de-feu,689327.php

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 14:37


http://images.telerama.fr/medias/2011/10/media_74048/le-copwatching-sous-surveillance,M61056.gif
Transmis par Céline le 2 mai 2013

Amis désobéissants,

Nous cherchons unE chargéE de mission (activiste) COPWATCH (voir notre site) sur Paris pour les désobéissants.

L'idée est de mener notre campagne contre les violences policières et l'instrumentalisation néfaste dont font l'objet les forces de l'ordre de la part du politique. On peut indemniser voire tenter de financer via un Contrat d'Aide à l'Emploi.

C'est un gros boulot de veille internet mais aussi de terrain, avec des risques physiques modérés (on peut être l'objet d'attitudes abusives de la part de policiers), et en contact avec les quartiers populaires de Paris et sa proche banlieue. A mi-temps ou plein temps.

Ca demande donc de la motivation, et une prise de risque (procès voire violences policières), ainsi qu'un certain sens politique et bien sûr une stricte approche non violente conforme à l'esprit des désobéissants.

Ca intéresse des gens ???

Contact - Mention COPWATCH dans l'objet du mail.
xavier@desobeir.net

http://www.desobeir.net/

http://www.copwatch.fr/

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 15:21


http://puydedome.eelv.fr/files/2013/03/StopAuxExpulsions.jpg
Le 6 mai 2013.

Ce matin, les migrants de la rue Bara qui occupaient un bâtiment vide appartenant au conseil général rue Rapatel ont été violemment expulsés par la police mais aussi les ASVP de la mairie de Montreuil.

L’expulsion fut très violente. Les expulsés restés devant pour récupérer leurs affaires et attendre leurs camarades encore à l’intérieur ont été gazés à de nombreuses reprises. Les policiers ont aussi sorti leurs flash-balls. Ils ont gazé les personnes venues les soutenir. Quatre personnes semblent avoir été arrêtés.

Rappelons la demande des occupants de la rue Rapatel :

Nous, les migrants de la rue Bara qui dorment dans la rue depuis plus de deux mois, occupons depuis le 30 avril 2013 un bâtiment vide appartenant au Conseil général de la Seine Saint Denis (61 rue Rapatel à Montreuil).

Nous souhaitons que les institutions acceptent notre présence temporaire dans ce lieu et notamment les conseillers généraux de Montreuil, Frédéric Molossi et Jean Charles Nègre et Belaïde Bedreddine.
Après avoir sollicité le 115, la Croix rouge, Médecins du monde... mais en vain, nous avons trouvé cette seule solution pour répondre à l’urgence de nous abriter. Nous demandons à toutes les personnes, les associations et les élus de nous soutenir et venir nous rencontrer.

Toutes les solidarités sont bienvenues !

lesbarasmontreuil93@gmail.com

Rappelons pour mémoire que Frédéric Molossi est PS, Jean Charles Nègres est PC et Belaïde Bedreddine est Front de gauche…

Venez soutenir les migrants de la rue Rapatel, devant la mairie sinon devant le foyer Bara.

Source :
http://www.ministere-de-la-regularisation-de-tous-les-sans-papiers.net/joomla1.5/index.php?option=com_content&view=article&id=1109:occupation-expulsion-violente-par-la-police-contre-les-migrants-a-montreuil-93&catid=15:actualites

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4 mai 2013 6 04 /05 /mai /2013 10:53


http://dailytrojan.com/wp-content/uploads/2012/12/book2_web.jpg
Transmis par Céline le 26 avril 2013

Un dispositif unique en France, qui sera testé dans un premier temps à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), la plus grande prison d’Europe avec 2 800 places...

Le conseil régional d’Ile-de-France a voté en séance plénière, jeudi soir, un plan d’aide qui bénéficiera dans un premier temps à une petite centaine d’étudiants incarcérés. Ils toucheront chacun une bourse d’études de 200 € pour l’année universitaire 2013-14.

Parmi les autres mesures décidées : la gratuité des frais d’inscription avec les universités partenaires (Paris-Est Marne-la-Vallée, Paris-Diderot) et une aide à l’acquisition de livres.

Cette expérimentation fera ensuite l’objet d’une évaluation non seulement sur le taux de réussite des étudiants, mais aussi sur leur insertion professionnelle et leur taux de récidive.

La Région avait déjà apporté un soutien financier de 40 000 € pour la «section des étudiants empêchés» de l’université Paris 7 - Diderot (155 étudiants), unique filière d’enseignement supérieur intramuros.

Source :
http://www.leparisien.fr/essonne-91/la-region-ile-de-france-veut-eduquer-les-detenus-26-04-2013-2760925.php

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 15:57


http://media.rtl.fr/online/image/2013/0307/7759224652_les-salaries-de-chez-goodyear-ont-affronte-les-forces-de-l-ordre-jeudi-7-mars-2013-a-rueil-malmaison.jpg
Le 23 avril 2013.

France : Six salariés de Goodyear en garde à vue

Début mars, de violents affrontements avaient opposé des salariés de Goodyear et les forces de l’ordre lors d’un rassemblement devant le siège social de la société.

Les manifestants s’étaient réunis pour dénoncer la fermeture prochaine de leur usine. Les policiers avaient tiré des gaz lacrymogène pour les empêcher de s’approcher du bâtiment, entraînant la réplique immédiate des manifestants.

Des membres des deux camps avaient été blessés et quatre policiers avaient décidé de porter plainte. Chargée de l’enquête, la sûreté territoriale des Hauts-de-Seine avait convoqué six ouvriers ce mardi matin à Nanterre. Les accusant de violences à l’encontre des policiers, elle a décidé de les placer tous les six en garde à vue.

Source :
http://www.secoursrouge.org/France-Six-salaries-de-Goodyear-en

***

Le 24 avril 2013.

France : Quatre des six salariés Goodyear poursuivis

Hier, nous vous annoncions le placement en garde à vue de six ouvriers de chez Goodyear dans le cadre d’une enquête relative à la manifestation du 7 mars dernier devant le siège de la société.

Parmi les six, quatre ont été finalement convoqués devant le tribunal correctionnel de Nanterre le 16 septembre prochain tandis que les deux autres ont été mis hors de cause.

Tous ont été remis en liberté. Deux sont accusés d’avoir lancé des morceaux de grille sur les forces de l’ordre, un troisième d’avoir donné un coup de poing à un policier et le dernier d’avoir lancé de l’essence en direction des policiers.

Source :
http://www.secoursrouge.org/France-Quatre-des-six-salaries

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 10:46


http://www.france-palestine.org/local/cache-vignettes/L580xH387/meeting-898f4.jpg
Depuis Association France Palestine Solidarité

Le 18 avril 2013

Le meeting, à l’initiative du CNPJDPI, consacré à la question des pri­son­niers poli­tiques pales­ti­niens, avait bien com­mencé à la Bourse du Travail de Saint Denis, en pré­sence de 200 per­sonnes Alors que se déroulait une interview via Skype avec un ancien détenu depuis Gaza, … la police a demandé d’évacuer la salle, à la suite de plu­sieurs mes­sages déclarant qu’une bombe avait été déposée dans le bâtiment.

Après une heure passée sur le parking voisin, une salle de rem­pla­cement à proximité a été mise à notre dis­po­sition par la Mairie de St Denis, pour ne pas céder à l’intimidation et tenir le meeting.

Le meeting s’est donc pour­suivi avec les deux inter­ven­tions fortes de Mahmoud Zawahre et Salah Hamouri.

Mahmoud a mis l’accent sur les arres­ta­tions des mili­tants de la résis­tance popu­laire, avec de plus en plus l’arrestation d’enfants, dans l’objectif de les inti­mider et de leur extorquer des aveux.

Salah de son côté, a d’abord salué le Maire de Bezons pour son ini­tiative cou­ra­geuse, puis Georges Ibrahim Abdallah maintenu en prison de façon injuste. Il a ensuite rappelé l’importance de la cam­pagne de par­rai­nages des pri­son­niers, « un acte hau­tement politique ».

En conclusion les deux mili­tants ont affirmé qu’il n’y avait d’autre choix que la résis­tance, jusqu’à la victoire.

Malgré toutes les manœuvres de dis­suasion, nous pour­sui­vrons notre action pour le droit et la justice.

Source :
http://www.france-palestine.org/Meeting-sur-les-prisonniers-tenu

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 08:00


http://www.letelegramme.com/ar/imgproxy.php/PhotoIntuitions/2012/04/04/1658087_avocat.jpg?article=20120404-1001658087&aaaammjj=20120404
Le 17 avril 2013

Le décret facilitant l'accès des parlementaires et anciens ministres à la profession d'avocat a été abrogé par un décret publié mercredi au Journal officiel. Christiane Taubira, la garde des sceaux, avait annoncé le 25 janvier l'abrogation de ce décret, répondant à la demande des avocats.

Pris en avril 2012 peu avant l'élection présidentielle, ce texte avait provoqué un tollé chez les avocats, qui l'avaient jugé taillé sur mesure pour les ex-ministres et parlementaires devant se reconvertir après les élections. Il permettait aux députés, sénateurs et anciens ministres de devenir avocats sans formation ni examen spécifiques, sous réserve d'être titulaires d'une maîtrise en droit et de justifier de huit ans d'exercice de responsabilités publiques.

La ministre de la justice, Christiane Taubira, avait dans un premier temps présenté aux avocats un projet de texte pour le remplacer, prévoyant pour les impétrants une "formation et un examen de déontologie". Mais les instances de la profession d'avocat avaient rejeté cette proposition et demandé l'abrogation pure et simple du décret d'avril 2012.

LES CAS DES ASSISTANTS PARLEMENTAIRES

Intervenant le 11 avril devant le Cercle Dalloz, la garde des sceaux avait estimé qu'il subsisterait cependant "une anomalie, une contradiction". Les avocats "refusent que d'anciens parlementaires ou ministres puissent accéder à la profession d'avocat malgré les conditions que j'avais introduites", alors que les assistants des parlementaires peuvent y accéder, avait-elle souligné. "Donc, moi je considère que c'est inachevé". "Il faut peut-être revoir en profondeur les conditions d'accès à la profession d'avocat", avait-elle suggéré.

Source :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/04/17/les-parlementaires-et-anciens-ministres-ne-pourront-plus-devenir-avocats_3161198_3224.html

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 16:10


http://img.scoop.it/buLuiWixSv8f8q_jiFElJzl72eJkfbmt4t8yenImKBVaiQDB_Rd1H6kmuBWtceBJ
Le 19 avril 2013.

Chez Orange, les syndicats dénoncent la mise en place d’un mouchard dans les voitures de service.

L’opérateur a décidé d’équiper toutes ses voitures de fonction d’un boitier électronique qui permet de connaître le kilométrage du véhicule. Les syndicats pensent que c’est un moyen pour surveiller les salariés, ils dénoncent même un flicage. Orange se défend et affirme qu’il veut tout simplement être plus efficace dans la gestion de son parc automobile.

L’opérateur assure que tout a été fait en accord avec la CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés). Il indique que connaître le kilométrage en temps réel et l’usure du véhicule permet de faire un travail sur la consommation d’essence. Les conducteurs qui auront une conduite trop gourmande en carburant pourraient se voir proposer, par exemple, un stage d’éco-conduite. Pour Orange qui possède 23.000 voitures, c’est un vrai enjeu financier.

Les syndicats ne sont pas convaincus par ces arguments. Selon eux, ce système va encore provoquer d’avantage de stress chez les salariés.

Source + reportage d'O. Boye sur France Bleu :
http://www.francebleu.fr/infos/orange/chez-orange-les-syndicats-denoncent-la-mise-ne-place-d%E2%80%99un-mouchard-dans-les-voitures-de-service-497718

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 14:00


http://resize.over-blog.com/900x598-ct.jpg?http://img.over-blog-kiwi.com/0/43/42/76/201302/1360981443.1053.jpeg
Le 29 avril 2013

Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a indiqué dimanche soir vouloir "normaliser" les relations entre la police et les Français.

Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls affiche la politique de transparence et de moralisation de la vie publique souhaitée par François Hollande.

Dernier exemple en date, dimanche soir  sur M6, dans l'émission "Zone interdite". En cas de dérapages policiers, les citoyens pourront saisir directement la "police des polices" sur tout le territoire. Réforme effective à partir du 1er septembre.

Qu'est ce que "police des polices" ?

La "police des polices", communément appelée dans le jargon policier "bœufs-carottes" est répartie en deux services : l'IGS (inspection générale des services) et l'IGPN (inspection générale de la police nationale).

SI le rôle de ces inspections comporte une finalité identique -contrôle interne de la police-, leur zone d'intervention diffère.

L'IGS, qui dépend de la préfecture de police de Paris, est compétente sur Paris et les trois départements de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne). Ses missions ?  Contrôler l'action des personnels, instruire les affaires disciplinaires ou pénales visant les personnels administratifs de Paris et les policiers. L'inspection peut être saisie soit à la demande des autorités, soit sur la plainte directe d'un particulier.

L'IGPN par contre, opère sur le reste du territoire, au niveau national. Ses domaines de compétence sont les audits et le contrôle de l'action des policiers. L'inspection est saisie par les autorités.

Les raisons de la réforme

Annoncée en novembre dernier dans les colonnes du Monde, la réforme au sommet de la hiérarchie policière se précise.

Elle prend même un coup d'accélérateur quelques mois après l'affaire Neyret, ex-commissaire lyonnais mis en examen pour corruption, et les dérives de la BAC de Marseille. Objectif : effacer le discrédit qui pèse sur la profession.

Depuis son arrivée place Beauvau, Manuel Valls insiste également sur le respect de la déontologie par les policiers.

Quels changements ?

Selon des propos tenus hier sur M6 dans l'émission "Zone interdite", Manuel Valls confirme que "chaque citoyen pourra saisir cette inspection pour faire en sorte que la déontologie et les valeurs qui sont celles de la police s'appliquent, afin d'attendre des policiers un comportement exemplaire."

Ce meilleur contrôle des services passera par l'étendue géographique du dépôt de plainte. En cas de dérapages policiers, le citoyen pourra s'adresser à l'inspection générale de la police nationale sur l'ensemble du territoire. Une saisie jusque-là réservée au secteur de la préfecture de Paris.

Pour les citoyens désireux de saisir l'IGPN, une plateforme internet sera mise en ligne. A condition de s'identifier, sujet qui froisse les syndicats détaille Le Monde.

Source :
http://www.sudouest.fr/2013/04/29/valls-chaque-citoyen-pourra-saisir-la-police-des-polices-1039473-710.php

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 08:04


http://vraiplan.fr/wp-content/uploads/2011/10/Fourriere-300x210.jpg
Le 27 avril 2013

A Paris, dans la même journée, deux enfants qui attendaient leurs parents dans la voiture ont été embarqués à la fourrière. Les employés ne les avaient semble-t-il pas vus.

Gros choc pour une maman qui accompagnait ses enfants à l'école vendredi matin. A son retour, sa voiture avait disparu. Avec son petit dernier, âgé de trois semaines, à l'intérieur. La Renault Scénic a été embarquée à la fourrière de l’avenue Foch (XVIe arrondissement), comme plusieurs autres voitures mal garées, raconte Le Parisien.

Et dans la même journée, un enfant de 9 ans a également été emmené dans cette même fourrière. Le quotidien relate que les employés n’ont pas vu l’enfant qui dormait dans le véhicule aux vitres fumées.

Une enquête administrative est ouverte.

Source :
http://www.sudouest.fr/2013/04/27/un-nourrisson-de-3-semaines-embarque-a-la-fourriere-1038118-7.php

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 14:59


http://www.varmatin.com/media_varmatin/imagecache/article-taille-normale-nm/Image_VAR24Q900_DELIGNE_JURY__Small___Small_.jpg
Le 27 avril 2013

Les jurés populaires ont siégé pour la dernière fois dans les tribunaux des ressorts de Dijon et Toulouse, où l'expérimentation controversée des citoyens assesseurs dans les tribunaux correctionnels a été écourtée pour prendre fin le 30 avril. Mardi, à Dijon, était examiné le dernier dossier avec citoyens assesseurs, dont l'anonymat a été requis par l'administration judiciaire.

C. B., une jeune femme militaire de 30 ans, a participé comme juré populaire à trois procès, durant lesquels elle a été "touchée par le facteur humain, notamment le fait que la personne puisse perdre son travail". Durant le délibéré, les magistrats professionnels "expliquent ce qui pourrait être proposé [comme peine] et ils prennent en compte notre avis", a-t-elle raconté à l'issue de l'audience, relevant que ce n'est pas son "métier" de juger. Même si son expérience a été "très intéressante", "ça ne me fait ni chaud ni froid que ça s'arrête", a concédé la jeune femme.

J. C., retraité de la SNCF âgé de 68 ans, aura lui siégé deux fois comme titulaire. "La première fois, le soir, j'y ai repensé. Je me disais qu'on aurait peut-être pu être plus cléments, qu'on aurait pu prendre en compte des circonstances atténuantes", a-t-il déclaré. Une autre jurée, M. B., comptable à la retraite de 70 ans, s'est dite "remuée" d'avoir vu à la barre "des gens à qui on donnait le bon dieu sans confession". "Et on se demande comment on arrive à juger", a soupiré la retraitée, relevant les sourcils en signe d'inquiétude.

"Le citoyen lambda peut avoir un avis mais trouver la juste peine demande des acquis", a estimé le vice-président du tribunal de grande instance (TGI) de Dijon, Jean-François Devalloir. Selon lui, cette expérience était surtout "lourde en terme de flux", estimant que sans citoyen assesseur "un tiers ou un quart de dossier en plus" pouvait être examiné au cours d'une audience.

Le magistrat a également précisé que le coût de cette expérimentation pour le TGI s'était élevé à "36 000 euros, soit 3 % des frais de justice".

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/04/27/clap-de-fin-pour-les-jures-populaires-en-correctionnelle_3167750_3224.html

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 10:43


http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/diaporama/jeu-igs-p01-chaunu-de-jeudi-550744.jpg
Le 27 avril 2013

L’ancien directeur et l’actuel responsable sécurité du magasin d’Avignon-Vedène ont été mis en examen vendredi.

L’enquête sur les soupçons de surveillance de salariés et de clients d’Ikea a pris une nouvelle tournure avec les mises en examen vendredi de l’ancien directeur et de l’actuel responsable sécurité d’un magasin du sud de la France. Avant les opérations menées dans le magasin d’Avignon-Vedène (Vaucluse), l’enquête s’était orientée sur des commerces franciliens et brestois du géant suédois de l’ameublement.

Placés sous contrôle judiciaire et laissés libres à l’issue de leur présentation au juge d’instruction, les deux hommes de l’enseigne vauclusienne ont été mis en examen pour « infractions à la législation informatique et libertés », selon des sources proches du dossier. Rencontrés par un journaliste de l’AFP à l’issue de leur audition, ils n’ont pas souhaité réagir. Contacté, le parquet de Versailles n’a pas souhaité faire de commentaire. Sollicitée également, la direction d’Ikea France a dit « prendre acte » des deux nouvelles inculpations sans pour autant se prononcer davantage sur l’instruction, n’ayant « pas accès au dossier ».

Les deux hommes avaient été placés en garde à vue mardi, par la police judiciaire de Versailles en charge de l’enquête, puis détenus à la maison d’arrêt du Pontet (Vaucluse) dans l’attente de leur transfèrement dans les Yvelines. Les opérations avaient également conduit à la garde à vue de l’actuel directeur et d’un cadre du magasin, par ailleurs délégué central CFTC. Ils ont été laissés libres à l’issue de leurs auditions à Avignon.

Lire la suite :
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/service-distribution/actu/0202734746309-nouveau-rebondissement-dans-l-affaire-d-espionnage-chez-ikea-562538.php


Rappel des faits :
http://clap33.over-blog.com/article-actu-ikea-espionnage-premieres-mises-en-examen-114667358.html

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Guides juridiques - C.L.A.P33
Porter plainte contre la police
Garde A Vue, manifs - Conseils

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Soutien à m.
Nous n'oublierons pas
le 19 Mars 2009 à Bordeaux !

Infos : klik !

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Violences Policières

France - Quatre rapports
ACAT : klik !

Amnesty International : klik !
Paris Luttes Infos : klik !
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L'impact disproportionné
de l'état d'urgence

Un rapport d'Amnesty  : klik !

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Retrouvez toutes nos vidéos

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Hommage aux victimes

21 Mars 2015

 
15 mars 2014
 

19 mars 2011
 

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" Vétérante "

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