Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog du C.L.A.P33
  • : Collectif bordelais Contre les Abus Policiers
  • Contact

Recherche

LOIS LIBERTICIDES

Contester une amende
pour manif interdite

Juin 2019 : klik !

******

La censure
sur Internet

Avril 2019 : klik !

******
Etat d'urgence


Le cadre légal : klik


****
Kezaco la loi
"Etat d'urgence"



C'est par là : klik !

*****
Notre Facebook

 

C'est par là :
facebook.com/clap33

*****

Agenda des luttes

 En ligne ici : klik !

Et encore...

 



https://a2-images.myspacecdn.com/images04/2/8050b970040d479da3e063184a2bbb9c/full.jpg

 


 

 

https://a4-images.myspacecdn.com/images04/10/085780129eb0413dbdf3961ab6da8567/full.jpg

 

 

5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 08:21


http://socialmediaraw.com/wp-content/uploads/2012/05/UK-Government-Online-Surveillance.jpg
Le 31 juillet 2013

L'outil qui permet à la NSA d'examiner "quasiment tout ce que fait un individu sur Internet".

L'agence de sécurité nationale américaine (NSA) dispose d'un outil, appelé XKeyscore, qui permet aux agents du renseignement américains d'accéder à l'historique de navigation et de recherche, aux contenus des e-mails, et aux conversations privées sur Facebook, selon des documents publiés le 31 juillet par le Guardian.

Si l'existence de XKeyscore était déjà connue, ces documents en détaillent le fonctionnement et les capacités. On apprend ainsi que la NSA le considère comme son outil dotée de la "portée la plus grande" permettant d'examiner "quasiment tout ce que fait un individu sur Internet". "Qu'est-ce qui peut être stocké ? Tout ce que vous voulez extraire" se félicite ainsi l'une des pages du document.

Et pour cause : XKeyscore ressemble à un véritable Google pour espions. A l'aide d'une interface très simple d'utilisation, les personnes habilitées peuvent rechercher dans le corpus de données amassé par la NSA le contenu des e-mail, des numéros de téléphone ou encore des messages privés échangés sur Facebook et croiser les informations obtenues avec la langue ou le type de logiciel utilisé ou le pays dans lequel l'internaute ciblé se trouve. Le tout en ne justifiant que "vaguement" leur recherche, selon le Guardian.

- Contenu et destinataires des e-mails
XKeyscore permet par exemple de chercher sur les pages web indexées par la NSA, mais également dans les champs "destinataire", "copie carbone" ("CC") et "copie carbone invisible" ("CCI") de lire les e-mails ou de trouver une adresse e-mail à partir d'un nom ou d'un pseudo.

- Facebook et messageries instantanées
Combiné à un outil appelé DNI Presenter, les analystes de la NSA sont en mesure de lire les messages privés échangés sur Facebook par un internaute donné, à partir d'un simple nom d'utilisateur.

- La navigation et les recherches sur Internet
C'est un des aspects les plus surprenants de ces nouvelles révélations. En scrutant l'activité HTTP, la NSA est capable de retrouver l'historique de navigation d'un utilisateur, des sites visités ou recherches effectuées, toujours selon les documents publiés par le Guardian. L'agence est également capable d'obtenir les adresses IP de toute personne qui visite un site défini par l'analyste.

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/07/31/l-outil-qui-permet-a-la-nsa-d-examiner-quasiment-tout-ce-que-fait-un-individu-sur-internet_3455916_651865.html

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 13:02

http://medias.lepost.fr/ill/2008/09/08/h-4-1260510-1220887964.jpg
Le 9 juillet 2013.

Que contiennent les métadonnées transmises par Google à la National Security Agency (NSA) américaine ou celles qu'observe en France la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) ?

Les métadonnées sont l'enveloppe d'une donnée, son contenant. Dans le cadre d'une conversation téléphonique, ce seront par exemple les fadettes, les factures détaillées des appels émis et reçus et les numéros contactés, mais pas le contenu de la conversation. Dans le cas d'un courrier électronique, ce sera le nom et l'adresse de la personne à qui l'on écrit, le volume de courriers envoyés et reçus, etc.

L'accès à ces données techniques constitue-t-il de l'espionnage ? C'est tout le débat depuis que l'ampleur de la collecte de données par les autorités américaines a été révélé, il y a quelques semaines, par l'ancien consultant de la NSA Edward Snowden.

Le tout nouvel outil Immersion, développé au Massachusetts Institute of Technology (MIT) par le professeur César Hidalgo et ses étudiants, apporte d'intéressants éléments de réponse à cette question, et montre qu'avec les seules métadonnées, on peut en savoir beaucoup sur une personne, ses fréquentations et ses réseaux.

Pour en faire l'expérience, il suffit d'autoriser l'application à accéder à son compte Gmail (une option permet de se déconnecter à la fin du test et d'effacer toutes ses données). Après un temps de collecte des données qui peut prendre de quelques minutes à plus d'une demi-heure, selon la taille de sa boîte email, Immersion traduit les informations recueillies en un graphique dynamique de bulles évolutives.

Tous les contacts sont regroupés en réseaux. En cliquant sur un nom, on peut voir depuis quand on est en relation avec ce correspondant, par quel biais on a été introduit l'un à l'autre, à quels autres contacts cette personne nous a introduit, etc. Sans même connaître les contenus de nos messages, Immersion est capable de distinguer les différentes sphères avec lesquelles nous communiquons.

Lire la suite :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/07/09/matrix-ce-que-nos-donnees-gmail-revelent-de-notre-vie-sociale/

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 07:59


http://i.huffpost.com/gen/1236035/thumbs/r-YOUGOV-large570.jpg?7
Le 11 juillet 2013.

ESPIONNAGE - En plein scandale de l'affaire Snowden, les révélations du journal Le Monde sur l'existence d'un Big Brother français avaient fait grand bruit. Dans une enquête publiée le 4 juillet dernier, le quotidien du soir révélait que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) "intercepte la totalité des communications" en France pour les stocker "pendant des années", et ce en dehors de tout contrôle politique.

Malgré les démentis du gouvernement et de plusieurs responsables parlementaires, l'affaire démontre que la frontière est fine entre les impératifs de sécurité nationale et le respect des libertés fondamentales. Interrogés par l'institut YouGov pour Le HuffPost, 46% des Français jugent injustifié le principe même de surveillance des télécommunications. Un sentiment particulièrement partagé dans l'électorat de gauche (51%) et d'extrême gauche (56%).

A l'inverse, les sympathisants du centre sont 44% à juger cette surveillance justifiée, 49% à droite et 53% chez les sympathisants d'extrême droite.

Dans un monde dominé par les technologies numériques, la défiance quant à l'utilisation des données collectées est patente. 58% des personnes interrogées estiment que le programme de surveillance est utilisé à d'autres fins que la protection de la sécurité nationale.

Un tiers des Français auraient accordé l'asile à Snowden

En réaction à l'article du Monde, Matignon avait affirmé que les assertions du quotidien étaient "inexactes". "Plusieurs services font des interceptions de sécurité, DGSE, DCRI et douanes. L'ensemble de ces interceptions sont régies par la loi de 1991. C'est une décision du Premier ministre (de procéder à des interceptions) après avis de la CNCIS qui a ensuite le pouvoir de contrôler et de vérifier les interceptions", explique-t-on.

Lire la suite :
http://www.huffingtonpost.fr/2013/07/10/sondage-big-brother-francais-francais-surveillance-communications-injustifiee_n_3573857.html?utm_hp_ref=france

Partager cet article
Repost0
19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 15:45


http://www.altermonde-sans-frontiere.com/local/cache-vignettes/L323xH465/compteur-linky-dcb61.jpg
Depuis Pièces et Main d'oeuvre, le 11 juillet 2013.

Afin d’offrir aux écologistes de son gouvernement des prétextes pour y rester, et d’ouvrir un nouveau marché à l’innovation, Jean-Marc Ayrault annonce mardi 9 juillet 2013 le remplacement de tous les compteurs électriques par des compteurs intelligents Linky pour un montant de 5 milliards d’euros. « Trois millions de compteurs Linky seront installés par ERDF d’ici 2016 et tous les logements en seront équipés d’ici 2020 ».

Pour Pascal Durand, numéro 1 d’Europe-Ecologie Les Verts, « c’est une vraie rupture et le début d’une transition ». On ne saurait mieux dire. Avec Linky, l’Enfer Vert (1) s’installe à domicile. Un progrès pour le techno-totalitarisme dans notre pays, dont le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, refuse l’asile à Edward Snowden, traqué par les Etats-Unis pour avoir étalé leur programme d’espionnage électronique mondial.

Logique : la France, comme son allié américain, ramasse de façon légale et illégale (quelle différence ? sauf pour les niais qui tiennent avant tout à être espionnés dans les formes) des milliards de données sur notre vie privée. Quelle importance, diront les radicalistes, « la vie privée, c’est politique ». Les données sont la matière première de la police des populations par le pouvoir politique et économique : suivi des individus, profilage des consommateurs. Et voilà comment, en effet, la vie privée devient politique sous l’œil du pouvoir, et des voyeurs du voisinage réunis en assemblée générale.

Le comptage intelligent du troupeau

Équipé d’une puce électronique à radio-fréquences (RFID), Linky transmet à distance nos données personnelles de consommation électrique. Soit, dans un monde où tout fonctionne à l’électricité, le détail de votre vie domestique. Vous prenez votre douche le matin. Vous avez des invités à la maison. Vous regardez trop la télévision. Vous avez changé de rythme de vie. Etc. Ce mouchard à domicile fait partie des « Technologies-clés » recensées par les décideurs pour doper l’industrie. Dans le rapport « Technologies-clés 2015 » remis en son temps au gouvernement Fillon, Linky figure au chapitre 74 : « Comptage intelligent ».

Ainsi défini par les technocrates : « Le comptage intelligent consiste en la mise en réseau de fonctions clés liées au bâti (ventilation, chauffage, fluides, etc.), par la mise en place de capteurs, actionneurs et logiciels. (…) Il s’agit de compteurs communicants, capables de recevoir et d’envoyer des données sans intervention humaine, pour la mesure et la gestion des flux. De tels compteurs permettent de suivre en temps réel la consommation énergétique d’un bâtiment, foyer ou entreprise. » Avec cette précision : « En termes d’acceptabilité, le problème de l’atteinte à la vie privée est soulevé par plusieurs associations de consommateurs. La question de la rétention des données doit donc être traitée de manière attentive. »

Parmi les acteurs français de ce marché porteur figurent le Commissariat à l’énergie atomique, STMicroelectronics, ERDF, Schneider Electric ou Google Power Meter. Le CEA et Google dans nos maisons pour enregistrer notre activité sur le vif : un gage d’optimisation pour le flicage électronique.

Lire la suite :
http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=423

Partager cet article
Repost0
8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 16:35


http://referentiel.nouvelobs.com/file/5974632-snowden-bloque-depuis-15-jours-a-moscou-poursuite-des-revelations.jpg
Le 7 juillet 2013

Les révélations sur la surveillance par les Etats-Unis des communications mondiales se poursuivaient dimanche cependant que l'ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden était bloqué depuis 15 jours dans la zone de transit de l'aéroport Moscou-Cheremetievo.

Invisible depuis son départ le 23 juin de Hong Kong, d'où il avait fourni des informations fracassantes sur un programme américain secret de surveillance des communications mondiales, le jeune homme a toutefois fait parler de lui dimanche, avec une interview parue dans Der Spiegel.

Dans l'entretien accordé à ce journal allemand avant d'avoir fait ses premières révélations, il affirme que les pays occidentaux, qui se sont indignés de l'espionnage auquel se livre l'Agence nationale de Sécurité (NSA) américaine, coopèrent en fait avec elle depuis longtemps.

Der Spiegel a publié ces informations avec en toile de fond le refus cette semaine de plusieurs capitales européennes de donner suite à la demande d'asile à cet Américain âgé de 30 ans.

Par ailleurs, le quotidien brésilien O Globo a rapporté dimanche, citant des documents d'Edward Snowden, que les services de renseignement des États-Unis avaient intercepté des millions de courriers électroniques et d'appels téléphoniques au Brésil.

"Le Brésil, avec ses grands réseaux numériques publics et privés et ses grands opérateurs de téléphonie et d'internet, apparaît, dans les documents de la NSA, comme une base de données privilégiée en matière de télécommunications et d'internet aux côtés de nations telles que la Chine, la Russie, l'Iran et le Pakistan", souligne l'article.

Le porte-parole du ministère brésilien des Affaires étrangères a qualifié ces informations d'"extrêmement graves".

Le sort du jeune Américain, recherché par Washington pour espionnage, restait incertain, même si trois pays d'Amérique latine - la Bolivie, le Venezuela et le Nicaragua - se sont dit en fin de semaine disposés à l'accueillir.

Lire la suite :
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130707.AFP8784/snowden-bloque-depuis-15-jours-dans-un-aeroport-de-moscou.html

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 13:59


http://paris.indymedia.org/IMG/jpg/BBA2013.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 28 juin 2013.

Après deux années d'absence, les Big Brother Awards ont fait leur retour mercredi 26 juin à Montreuil. Un palmarès pas si loufoque que ça...

Google, Jean-Marc Ayrault, EADS, le conseil général de Seine-Saint-Denis, Orange, la RATP, et l'Office français de protection des réfugiés et apatrides ont un point en commun : ils figuraient parmi les heureux sélectionnés aux Big Brother Awards (BBA) 2013. Le collectif remet chaque année des prix aux individus, aux entreprises, aux villes, aux ministères, qui "se sont illustrés par leur mépris de la vie privée et des libertés".

Une trentaine de candidats avaient été présélectionnés par le comité BBA France. Répartis en catégories, ils ont été départagés par un jury composé de journalistes, juristes, militants. Parmi les critères les plus "appréciés", il y a le "détournement de nos données personnelles", le "durcissement sécuritaire des cadres législatifs" ou la "multiplication des dispositifs de surveillance".

"Pour être éligibles, les candidatures doivent être basées sur des faits avérés et étayés par des sources publiques", souligne le comité BBA. Les prix "Orwell" ont été décernés mercredi 26 juin lors d'une cérémonie publique. Inutile de préciser que les heureux gagnants n'étaient pas présents pour récupérer leur distinction honorifique.

Lire la suite + voir la vidéo :
http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/video-big-brother-awards-les-cesars-du-monde-securitaire-28-06-2013-1687009_47.php

Partager cet article
Repost0
30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 13:38


http://www.estrepublicain.fr/fr/images/E3B82323-3C05-46BE-80B7-BB441B04281A/LER_15/selon-le-specialiste-seules-une-dizaine-de-villes-en-france-utilisent-ce-dispositif-intelligent-photo-jean-luc-gillme.jpg
Le 18 juin 2013.

Plus besoin d’hommes derrière les écrans ! Avec le nouveau centre de supervision urbaine, les caméras traquent seules, nous dit-on, les délinquants.

Dissuasion, prévention, élucidation : voilà le triptyque qui préside à l’installation de caméras de surveillance dans nos villes. Les élus (socialistes) de Montbéliard s’y sont convertis. Aujourd’hui, la cité des Princes abrite 92 caméras de surveillance fixes. Dix de plus, subventionnées à 50 % par l’État (à cause du classement de la Petite-Hollande en zone de sécurité prioritaire), devraient être installées d’ici la fin de l’année.

Trois caméras vidéo mobiles (dont une en maintenance) s’ajoutent à ce dispositif. Pour une ville de cette taille, il n’y a là rien d’impressionnant. Ce qui l’est beaucoup plus, dixit le maire, Jacques Hélias, c’est le centre de supervision urbaine (CSU) dont Montbéliard vient de se doter. « Il est unique en Franche-Comté », affirme fièrement le premier magistrat.

Alertes automatiques

Situé au centre des Alliés, en dessous des locaux de la police municipale, ce CSU se trouve dans un espace sécurisé, façon bunker (très) amélioré. « Le local n’est pas exposé au vandalisme ni même aux voitures bélier ! », détaille un représentant de Cegelec Franche-Comté Sud Alsace, l’entreprise erbatonne qui a installé ce centre.

La nouveauté n’est pas là mais bien dans la technicité du dispositif : grâce à un paramétrage préalable -et toujours modifiable- les 29 caméras reliées au CSU (1) détectent les mouvements anormaux. « Elles enregistrent et analysent l’image en même temps. S’il y a un attroupement, la caméra peut se centrer dessus et envoyer, par mail ou SMS, une alerte », explique le technicien. « Elle peut aussi détecter les colis suspects, les personnes qui courent etc ».

Ce que ses promoteurs appellent « la vidéosurveillance intelligente ». [...?]

Source :
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/06/18/montbeliard-de-la-videosurveillanceintelligente

Partager cet article
Repost0
25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 11:34


http://www.lavenir.net/Assets/Images_Upload/Actu24/2013/06/22/PID_$548715$_06bffe54-db04-11e2-b1dc-642366b8da00_web_scale_0.15_0.15__.jpg
Le 22 juin 2013

Facebook : une panne provoque la fuite des données personnelles de 6 millions d'utilisateurs

Les numéros de téléphone et adresses mails de 6 millions d'utilisateurs ont été rendus publics par erreur à la suite d'une panne de logiciel au sein du réseau social.

Facebook a fait savoir vendredi avoir été victime d'une panne. Conséquence : cette panne a pu permettre que "certaines informations de contact d'une personne (son adresse mail ou son numéro de téléphone) soient devenues accessibles à des gens qui avaient, soit des informations de contact sur elle ou bien des connections avec elle", explique le réseau social dans un communiqué.

Selon les explications fournies dans ce communiqué, c'est le logiciel qui permet de faire des recommandations d'amis qui est en cause. Les données qu’utilise Facebook pour faire ces recommandations ont été associées à des comptes Facebook.

Ainsi, une personne qui cherchait à télécharger un historique de ses données Facebook, via l'outil qui le permet (Download Your Information, DYI), téléchargeait en même temps les numéros de téléphones et d'adresse mails des personnes suggérées par l'outil de recommandation.

Lire la suite :
http://www.sudouest.fr/2013/06/22/facebook-une-panne-provoque-la-fuite-des-donnees-personnelles-de-6-millions-d-utilisateurs-1093941-5166.php

***
Le 23 juin 2013

La lettre d'excuses de Facebook, "pris de court par un bug".

Facebook s'embourbe encore dans sa communication, après qu'une gigantesque faille de sécurité a été découverte vendredi, au cours d'un programme "White hat", c'est-à-dire par des hackers travaillant dans l'intérêt des internautes.

Six millions d'utilisateurs sont concernés, sur un milliard, par la fuite de données personnelles.

C'est presque une broutille si l'on en croit le ton des excuses formulées par le réseau social, qui s'attache au fait qu'il n'y ait "pas de preuve que cette panne ait été utilisée malignement". On croit rêver.

Les informations privées, dont les adresses courriel et numéros de téléphone mobile, "ont pu" être dévoilées à des personnes qui n'auraient pas dû y avoir accès, explique Facebook.

Lire la suite :
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/la-lettre-d-excuses-de-facebook-pris-de-court-par-un-bug-23-06-2013-1685090_506.php

Partager cet article
Repost0
24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 13:21


http://www.francetvinfo.fr/image/74vvmv45r-2e00/658/370/2152674.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 17 juin 2013.

Après les mises en examen, en avril, de deux responsables du magasin Ikea Avignon-Vedène, trois responsables de l'établissement de Reims (Marne) ont été placés en garde à vue ce lundi dans l'enquête sur la surveillance illégale de salariés et de clients du groupe.

« Il y a eu une perquisition dans les locaux du magasin» Ikea de Thillois (ouest de Reims), a indiqué un enquêteur, confirmant une information du site «Mediapart », A l'issue de cette opération, «le directeur, le responsable administratif et financier ainsi que la directrice des ressources humaines du magasin ont été placés en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Reims», a-t-il ajouté.

Des accords passés avec des enquêteurs privés

En février 2012, des révélations du «Canard Enchaîné» avaient ébranlé le géant suédois de l'ameublement. Selon l'hebdomadaire, la «direction risque» d'Ikea avait passé un accord avec des enquêteurs privés lui fournissant des informations issues du fichier policier Stic, de celui des cartes grises ou des permis de conduire, concernant des salariés avant embauche, des syndicalistes, voire des clients en cas de différend commercial.

Les syndicats FO et CGT avaient déposé plusieurs plaintes, amenant la justice à ouvrir une information judiciaire en avril 2012.

La vaste enquête avait ensuite donné lieu à des perquisitions, notamment au siège social d'Ikea France. Plusieurs personnes ont été mises en examen, notamment Jean-François Paris, responsable du département «risque» de 1998 à 2012, et son ancienne adjointe.

Condamnant des «pratiques regrettables, contraires aux valeurs et standards éthiques» de l'entreprise, la direction d'Ikea France s'était séparée, un mois plus tard, de quatre dirigeants, dont son ancien directeur général (de 1996 à 2009) Jean-Louis Baillot.

L'actuel directeur général d'Ikea France, Stefan Vanoverbeke, avait annoncé en avril 2012 une série de mesures éthiques visant à redorer le blason de l'entreprise et à tirer les leçons de ce scandale.

Source :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/espionnage-chez-ikea-trois-responsables-du-magasin-de-reims-en-garde-a-vue-17-06-2013-2904695.php

Partager cet article
Repost0
23 juin 2013 7 23 /06 /juin /2013 13:56


http://www.lexpress.fr/pictures/1193/611254_photo-prise-le-17-janvier-2012-a-paris-du-directeur-central-du-renseignement-interieur-bernard-squarcini.jpg
Le 19 juin 2013.

L'ex-patron du renseignement intérieur, Bernard Squarcini, est renvoyé en correctionnelle dans l'affaire des fadettes, relative à l'espionnage téléphonique d'un journaliste du Monde en marge du dossier Bettencourt, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.

Les juges d'instruction Sylvia Zimmermann et Alain Nguyen-The ont ordonné le 17 juin le renvoi en procès de M. Squarcini pour "collecte de données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite", a-t-on précisé.

M. Squarcini est poursuivi pour avoir à l'été 2010 fait requérir et analyser les factures téléphoniques détaillées ("fadettes") du reporter du Monde Gérard Davet et d'un conseiller du ministère de la Justice, David Sénat, dans le but d'identifier la source du quotidien.

Le Monde venait de révéler les déclarations à la police du gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, qui mettaient en difficulté Eric Woerth, alors ministre de Nicolas Sarkozy. Dans cette affaire, qui pose la question de la protection des sources de la presse, M. Squarcini avait reconnu devant les juges d'instruction avoir cherché la source du reporter en faisant analyser ses fadettes.

Mais il s'en est justifié en affirmant avoir agi dans un cadre totalement légal et prévu par la loi de 1991 sur le secret des correspondances, en particulier de son article 20 qui autorise leur contrôle aux "fins de défense des intérêts nationaux".

Pour les juges d'instruction, l'article 20 "ne permet en aucun cas de recueillir des données individualisables, visant des personnes déterminées".  M. Squarcini "ne peut donc sérieusement prétendre (...) qu'une violation du secret de l'enquête concernant une affaire de droit commun, aussi médiatique soit-elle, entre dans l'une de ces notions", estiment-ils en référence à la définition de la "défense des intérêts nationaux".

La révélation des déclarations de M. de Maistre lors de sa garde à vue "ne pouvait que justifier éventuellement" la saisine de la justice pour violation du secret de l'enquête, ajoutent-ils.
La collecte de données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est un délit passible de cinq ans de prison et 300.000 euros d'amende.

Source :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/19/97001-20130619FILWWW00424-fadettes-l-ex-patron-de-la-dcri-bernard-squarcini-renvoye-en-proces.php

Partager cet article
Repost0
22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 15:19


http://www.sudouest.fr/images/2013/06/18/le-veteran-du-net-yahoo-a-ete-lui-aussi-sollicite-par-les_1248648_460x306.jpg
Le 18 juin 2013.

Yahoo est le dernier des grands opérateurs à publier ces chiffres. L'affaire embarrasse le pouvoir

 Le géant américain d'internet Yahoo! affirme dans un courrier à ses utilisateurs avoir reçu entre 12.000 et 13.000 demandes de renseignement des autorités américaines entre le 1er décembre 2012 et le 31 mai 2013. Une "confession" qui intervient après celles d'Apple, Facebook et Microsoft, lesquels ont reconnu entre 6000 et 7000 requêtes chacun, portant sur plusieurs dizaines de milliers de comptes, rappelle LeFigaro.fr. Ceci après avoir nié avoir eu connaissance du programme...

Les demandes ont porté majoritairement sur des "fraudes, homicides, kidnappings et d'autres enquêtes criminelles", explique la lettre publiée dans la nuit de lundi à mardi sur la page Tumblr de Yahoo! et signée par la directrice générale, Marissa Mayer, et le chef du service juridique, Ron Bell.

Selon le courrier, intitulé "Notre engagement pour la vie privée de nos utilisateurs", ce chiffre inclut toutes les demandes qu'elles soient de nature criminelle ou liées à la sécurité nationale. "Comme toutes les autres entreprises, Yahoo! ne peut pas légalement révéler légalement le nombre de requêtes" concernant la protection du territoire "car ces chiffres sont confidentiels, toutefois nous demandons instamment au gouvernement fédéral de reconsidérer sa position sur le sujet", poursuit le courrier.

 Les grands groupes internet sont confrontés à la méfiance de leurs utilisateurs après les révélations par Edward Snowden, ex-consultant de la toute puissante agence de surveillance électronique américaine NSA , selon lesquelles ils lui ont fourni des données personnelles dans le cadre de son programme d'espionnage PRISM.

Lire la suite :
http://www.sudouest.fr/2013/06/18/espionnage-des-reseaux-sociaux-yahoo-a-recu-plus-de-10-000-demandes-des-autorites-americaines-1089076-5166.php

Partager cet article
Repost0
18 juin 2013 2 18 /06 /juin /2013 07:16

http://owni.fr/files/2011/10/surveillance-fichier-obey.jpg
Transmis par Hacktivismes, le 11 juin 2013.

La France dispose-t-elle d'un programme de surveillance massif proche de celui mis en place par l'Agence américaine de sécurité nationale (NSA) ? La réponse est oui.

La direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), les services secrets français agissant au-delà de nos frontières, examine, chaque jour, le flux du trafic Internet entre la France et l'étranger en dehors de tout cadre légal.

Ce service, placé institutionnellement sous la coupe du ministère de la défense, est doté de moyens techniques très puissants qui sont, notamment, hébergés dans les sous-sols du siège de la DGSE, boulevard Mortier à Paris. "C'est une pêche au chalut", explique un ancien de la DGSE pour décrire la nature du contrôle. L'immense quantité d'information doit être compressée puis décompressée avant d'être enfin décryptée par les agents de la DGSE.

La justification de ces interceptions est avant tout liée à la lutte antiterroriste sur le sol français. De facto, au regard de l'absence d'encadrement légal strict de ces pratiques, l'espionnage des échanges Internet peut porter sur tous les sujets. Interrogée par Le Monde, la DGSE s'est refusée à tout commentaire sur ces éléments couverts par le secret-défense. De plus, les autorités françaises arguent que les centres d'hébergement des sites sont, pour la plupart, basés à l'étranger, ce qui exonère la DGSE de répondre à la loi française.

LA FRANCE TENTE DE RESSERRER LE CONTRÔLE SUR SES SERVICES

Premier détenteur de ces informations relevant de la vie privée de chaque individu, la DGSE peut transmettre, si elle le souhaite, le fruit de ces recherches à d'autres services de l'Etat. Etonnamment, le président de la commission des lois de l'Assemblée, Jean-Jacques Urvoas (PS, Finistère), n'évoque à aucun moment l'existence du contrôle de ce flux Internet entre la France et l'étranger dans son rapport, rendu le 14 mai, sur le cadre juridique applicable aux services de renseignement. "Alors qu'il compte parmi les plus anciennes nations démocratiques, notre pays, regrettait-il pourtant, est le dernier à ne pas avoir établi un cadre normatif adapté."

Depuis 2006, la France a tenté de resserrer le contrôle sur ses services dans certains domaines. La direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) peut se procurer, dans le cadre de la lutte antiterroriste, et seulement dans ce cas, les factures détaillées ("fadettes") de téléphone, mais aussi de connexion Internet.

Le dispositif, provisoire, a été renouvelé jusqu'au 31 décembre 2015. Il est restrictif : le demandeur doit être un membre d'un service antiterroriste, sa requête, dûment justifiée, concerner un seul objectif. Elle est adressée à une personnalité qualifiée nommée par la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS, une autorité administrative indépendante). Selon la CNCIS, moins de 30 000 demandes devraient avoir été traitées en 2012.

LA DEMANDE DOIT ÊTRE "SUFFISANTE, PERTINENTE ET SINCÈRE"

Car une autre possibilité est offerte à tous les services de renseignement lorsqu'ils souhaitent effectuer un travail préparatoire à une écoute téléphonique. Les motifs sont ceux prévus par la loi de 1991 pour les écoutes administratives (les "interceptions de sécurité") : "sécurité nationale, sauvegarde des éléments essentiels du potentiel scientifique et économique de la France, prévention du terrorisme, de la criminalité et de la délinquance organisées et de la reconstitution ou du maintien de groupements dissous".

La procédure aussi : le service passe par le ministre de tutelle, qui transmet au premier ministre. Ce dernier sollicite l'avis de la CNCIS – la demande doit être "suffisante, pertinente et sincère" –, puis fait exécuter par le groupement interministériel de contrôle (GIC). Entre le 1er août 2011 et le 31 juillet 2012, le GIC a traité près de 197 000 demandes. La sécurité nationale est invoquée dans 70 % des cas.

EN CONTACT PERMANENT AVEC LEURS COLLÈGUES ANGLO-SAXONS

Dernière question, la France a-t-elle pu bénéficier d'informations issues des programmes américains ? Les Britanniques sont soupçonnés au regard de leur proximité avec les services américains. La DGSE et la DCRI sont néanmoins en contact permanent avec leurs collègues anglo-saxons. La coopération entre services de renseignement et l'échange d'informations est, aujourd'hui, l'une des clés de la lutte antiterroriste, quitte à ce qu'elle porte atteinte aux libertés publiques et individuelles.

Les préconisations du rapport de M. Urvoas ne plaident pas pour une vigilance accrue sur les agissements des services secrets. Il assure, en effet, que le contrôle administratif ou parlementaire ne devrait s'effectuer qu'à la seule condition que parmi les pièces examinées ne figure aucun élément provenant d'une agence de renseignement étrangère.

Source :
http://www.lemonde.fr/international/article/2013/06/11/en-france-la-dgse-est-au-c-ur-d-un-vaste-programme-de-surveillance-d-internet_3427837_3210.html

Partager cet article
Repost0
26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 07:12


http://www.come4news.com/images/stories/Divers/medium_surveillance_internet.jpg
Le 18 mai 2013.

Suite à une conversation sur Twitter, je me suis rendu compte que beaucoup de gens nous prenaient encore pour des illuminés quand nous évoquions les questions de surveillance globale des réseaux. Il y a plusieurs raisons à cela. Elles sont à la fois techniques, économiques et juridiques. Nous allons donc tenter d’en faire brièvement le tour, pour ensuite vous dresser un scénario fiction, que nous comparerons enfin avec des faits, eux, bien réels.

En ce qui concerne les barrières techniques à la surveillance massive, à l’échelle d’une nation, nous avons déjà abordé le sujet en long en large et en travers dans nos rubriques Saga Amesys et Saga Deep Packet Inspection sur Reflets.info. Techniquement, nous parlons d’un système capable d’agréger les interceptions réalisées en plusieurs points de centralisation du trafic :

    - Coeur de réseau des FAI ;
    - Points d’atterrissement des câbles sous-marins ;
    - Quelques tronçons nationaux de fibres bien identifiés.

Une fois les données interceptées, il faut ensuite les stocker et les indexer dans une sorte d’énorme base de données sur laquelle on pourra à posteriori lancer des requêtes, portant sur un internaute (ex : un nom, une adresse IP, une adresse mail, un pseudonyme…) ou un thème plus générique (ex : Al Qaida, AQMI …).

Ces outils ne sont pas des outils de science fiction, c’est par exemple ce qu’Amesys a vendu au régime de Kadhafi, sur mesure, à une échelle certes plus modeste et surtout plus centralisée que la capacité et l’architecture nécessaire pour réaliser la même chose en France. Mais tout ceci n’est qu’une question de moyens. La Libye, c’est un POC (un proof of concept), vite rentabilisé par la suite par le biais d’une vente d’un système équivalent au Qatar… et à d’autres pays.

Des barrières techniques, découlent des barrières économiques. Combien ça coûterait d’écouter toute une nation ? Pour un pays comme la France, on parlerait de quelques centaines de millions d’euros, beaucoup moins qu’un sous-marin nucléaire moderne.

Ces deux points brièvement balayés vont nous amener sur le cadre légal et malheureusement… à une pratique supposée, mais plausible, de contournement. Dans cet article sur la plateforme nationale d’interceptions judiciaires, j’avais évoqué la différence entre les interceptions judiciaires (sur demande d’un juge), et les interceptions administratives, plus opaques.

Lire la suite :
http://reflets.info/amesys-et-la-surveillance-de-masse-du-fantasme-a-la-dure-realite/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+refletsinfo+%28Reflets%29

Partager cet article
Repost0

Documentation

ACTIONS C.L.A.P33 & Co...

Guides juridiques - C.L.A.P33
Porter plainte contre la police
Garde A Vue, manifs - Conseils

*****

******
Soutien à m.
Nous n'oublierons pas
le 19 Mars 2009 à Bordeaux !

Infos : klik !

******
Violences Policières

France - Quatre rapports
ACAT : klik !

Amnesty International : klik !
Paris Luttes Infos : klik !
Bastamag :  klik !

 

*****
L'impact disproportionné
de l'état d'urgence

Un rapport d'Amnesty  : klik !

****
Retrouvez toutes nos vidéos

klik là !

****
Hommage aux victimes

21 Mars 2015

 
15 mars 2014
 

19 mars 2011
 

****

" Vétérante "

O.P.A