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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 15:53


http://photo.europe1.fr/infos/france/01-04-video-surveillance-930-jpg/25679631-1-fre-FR/01.04-video.surveillance.930.jpg_scalewidth_630.jpg
Le 15 mai 2013.

A Paris, la vidéo-verbalisation a début le mois passé : des caméras de vidéosurveillance traqueront les contrevenants sur 13 axes de la capitale, choisis parce que régulièrement engorgés à cause des stationnements gênants.

La préfecture s’appuiera sur les 1 037 caméras déjà existantes pour identifier et sanctionner les mauvais conducteurs : un agent assermenté constatera l’infraction grâce à la vidéo et photographiera le véhicule afin d’identifier l’immatriculation et la marque. Les informations seront ensuite transmises au Centre national de traitement de Rennes, qui dressera un procès-verbal du montant identique à celui d’une amende classique.

A Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, le dispositif existe depuis un an et plus de 1 300 contraventions ont déjà été adressées grâce à ce système.

Source :
http://www.secoursrouge.org/France-Debut-de-la-video

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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 10:33


http://static.lexpansion.com/medias/59/30249_thales.jpg
Transmis par Gaël, le 8 mai 2013.

La France va se doter d'un système centralisé d'interception des données téléphoniques et internet. Mais les futures grandes oreilles de l'Etat, gérées par le groupe Thales, posent de graves problèmes. Surcoûts, failles de sécurité, risques de conflit d'intérêts... Révélations.

Cette visite devait être une formalité. Ce fut une catastrophe. Le 15 février, Christian Vigouroux s'invite pour la première fois dans les locaux de Thales, le groupe de défense et d'électronique, à Elancourt, dans les Yvelines. Ce déplacement n'a officiellement jamais eu lieu.

Et pour cause : le haut fonctionnaire, alors directeur de cabinet de la ministre de la Justice, veut vérifier de ses propres yeux où en sont les derniers préparatifs d'un projet secret, classé "confidentiel défense". Son nom est tout ce qu'il y a de plus anodin : la PNIJ, pour "plate-forme nationale des interceptions judiciaires". En réalité, derrière ce sigle, se cache un monstre numérique sur le point de s'éveiller.

Conversations téléphoniques, SMS, MMS, Internet... Dès cet été, l'ensemble des communications mises sur écoute passera par ces grandes oreilles de l'Etat. Souhaité dès 2010 par l'ancien président Nicolas Sarkozy, ce système de surveillance va permettre de centraliser en un seul point plus de 5 millions de réquisitions judiciaires (liste des appels téléphoniques, identité d'un abonné derrière un numéro...) et près de 40 000 écoutes autorisées par les juges dans le cadre de leurs enquêtes.

Source :
http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/internet-sms-comment-thales-va-mettre-les-reseaux-francais-sur-ecoute_383757.html

***

La PNIJ, "Big Brother" version française

Géré par Thales et imaginé par Nicolas Sarkozy, le futur système centralisé de surveillance de la police révèle ses failles et son coût.

Un monstre qui écoutera tout, tout le monde, tout le temps. "Dès cet été, l'ensemble des communications mises sur écoute passera par ces grandes oreilles de l'Etat", écrit "L'Express" dans une grande enquête publiée mardi 7 mai sur la PNIJ, la "plate-forme nationale des interceptions judiciaires". Un nouveau système de surveillance qui centralisera "plus de 5 millions de réquisitions judiciaires" et "40 000 écoutes autorisées par les juges" chaque année.

Le projet, imaginé par Nicolas Sarkozy et piloté par les ministères de la Justice, devait être secret. Mais les révélations de "L'Express", qui s'ajoutent à celle du défunt site Owni et du "Canard enchaîné" fin 2012, lèvent le voile sur la part d'ombre de la PNIJ sous la gestion du géant français Thales.

Fonction régalienne

"Aujourd'hui, les écoutes sont opérées par une multitude de sous-traitants", explique au "Nouvel Observateur" Pierre Alonso, journaliste, ancien d'Owni et qui a mené l'enquête. "Avec ce nouveau système, géré uniquement par Thales et centralisé au sein d'un seul bâtiment, tout devient traçable.

En plus du coût et la simplicité, le but de la manoeuvre est d'éviter les dérives et les écoutes illégales, comme les écoutes-taxis", précise le journaliste, qui travaille désormais à Slate. "Mais voilà, il y a des risques de sécurité liés à la centralisation de la plate-forme. Sans parler du fait que c'est une entreprise privée qui s'occupe d'une fonction régalienne."

Le traitement des réquisitions judiciaires sera centralisé dans un bâtiment de Thales, à Elancourt dans les Yvelines. "Thales précise converser les données des réquisitions et les chiffrer. Mais l'entreprise ne dit pas qui a accès à ces données et qui est capable de les déchiffrer", assure Pierre Alonso. Le risque est plus grand de voir les serveurs piratés s'ils sont regroupés en un seul endroit.

Mieux encore, selon les informations de "L'Express", le bâtiment de secours, en cas de panne, ne se situe qu'à 300 mètres du bâtiment principal. Trop près, donc, en cas d'incendie ou d'incident physique.

Lire la suite :
http://obsession.nouvelobs.com/high-tech/20130507.OBS8442/la-pnij-big-brother-version-francaise.html

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 16:08


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/e/e8/Big_Brother_%28fond_noir%29.jpg
Le 6 mai 2013.

Dans le désert de l’Utah les Etats-Unis construisent un centre d’espionnage gigantesque. On peut y rassembler et évaluer du monde entier des courriers électroniques, des entretiens téléphoniques, des demandes de recherches sur Google, des routes de voyage, des achats de livres, tous les curriculum vitae et des données informatiques personnelles.

Des amis de cercles de services secrets nous ont passé quelques données. Ainsi les serveurs seront placés sur une surface de 8000 mètres carrés. Sur une autre surface de 275 0000 mètres carrés seront placés des mémoires de données. La quantité d’informations qui pourra y être sauvegardée est à peine imaginable.

Car aujourd’hui un teraoctet de données va déjà sur un chip de la taille de l’ongle d’un doigt. Les quantités de données que la National Security Agency (NSA) veut saisir sont énormes : l’ancien patron de Google Eric Schmidt a estimé l’ensemble du savoir humain, qui a été généré jusqu’en 2003, à 5 exaoctet.

Selon l’entreprise internet Cisco, le trafic mondial de données sur internet entre 2010 et 2015 va quadrupler et atteindre un volume de 9766 exaoctet. Pourtant 1 million d’exaoctet correspondent à 1 yottaoctet. Le Pentagone tente de manier dans son réseau de communication mondial avec des yottabytes de données pour pouvoir exploiter en direct (!) des images de satellites ainsi que des données provenant de capteurs et de communications …

De même la NSA va sauvegarder et traiter plusieurs yottaoctets de données. Ainsi elle pourra sauvegarder les données constamment publiées sur Internet pendant plusieurs années. Grâce à ce centre construit pour 2 milliards de dollars, on pourra, à partir d’automne 2013, enfin appliquer l’idée du traitement total de toutes les informations qui avait déjà été planifiée sous le président Georg W. Bush. Un employé de la NSA caractérise la situation en rapprochant le pouce de l’index en disant :

«Nous sommes encore éloigné de ça d’un Etat totalitaire clés en main …»


Les quantités de données sont procurées par le réseau de surveillance mondial de la NSA («aspirateur dans l’espace») et par les capacités de sauvegarde élargies. Pour augmenter la capacité de calcul, la NSA a déjà décidé en 2004 de lancer un nouveau projet, le «High Productivity Computing Systems Program» (HPCS). Le but est de multiplier la performance de calcul par mille.

Les nouveaux ordinateurs appelés Patflop doivent pouvoir faire au moins mille billions, donc 1015, de pas de calcul par seconde(!). Comme déjà lors du Projet Manhattan top secret, dans lequel la bombe atomique avait été développée, on a choisi pour le programme du nouveau super-ordinateur la ville d’Oak Ridge. Là, se trouve le Oak Ridge National Laboratory du ministère de l’Energie.

Le programme du superordinateur consistait en une partie publique, qui publiait ses résultats de recherches, et en une partie secrète où la NSA a développé son propre superordinateur. En 2009, les chercheurs publics ont réussi à développer l’ordinateur le plus rapide du monde nommé XT-5 qui avait à cette époque une performance de calcul de 1,75 petaflop.

Lire la suite :

http://www.mondialisation.ca/centre-despionnage-gigantesque-aux-etats-unis/5334119

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 08:12


http://www.cherchenet.fr/wp-content/uploads/2013/02/surveillance-cameras.jpg
Le 24 avril 2013

Le coût s'élève à 3000 euros pour trois caméras.

La préfecture des Landes et les collectivités préparent en ce moment le dispositif de sécurité qui sera adopté cet été pendant les fêtes locales, qui comptent chaque année 600 jours de festivités, dont 450 (81%) entre mai et septembre.

Parmi les nouveautés, pour certaines fêtes de moyenne importance, la mise en place de caméras de vidéo-protection temporaire va être expérimentée, à base de 3 à 5 caméras, disposées en des points stratégiques définis avec les organisateurs.

Installées pendant la totalité des fêtes, avec un dispositif 24 heures sur 24, elles permettraient, sinon de dissuader les délinquants, de mieux surveiller les endroits « chauds » de la fête.

Des expériences précédentes, notamment à Mont-de-Marsan, ont permis de prouver que, lorsque les forces de l’ordre veillent sur les écrans de contrôle, elles peuvent intervenir très rapidement en cas de départ d’une bagarre pour y mettre un terme. Ce qui a pour effet de calmer les candidats à ce genre de comportement, mais aussi de rassurer les familles avec jeunes enfants qui sont présentes sur les fêtes.

Le coût de ces matériel, 3000 euros pour 3 caméras, peut être partiellement pris en charge par le Fonds interministériel de prévention de la délinquance. Cette mesure a été proposée à quatre communes : Saint-Sever, Saint-Vincent-de-Tyrosse, Hagetmau et Mimizan.

Source :
http://www.sudouest.fr/2013/04/24/landes-des-cameras-de-video-protection-pour-les-fetes-cet-ete-1034967-3452.php

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 15:17


http://www.arretsurimages.net/media/breve/s155/id15468/original.59617.320x240.jpg
Le 24 avril 2013.

 

Le 13 septembre dernier, deux journalistes du site Owni – aujourd’hui disparu – publiaient un article très fouillé sur une nouvelle plateforme prévue en France, pour centraliser les écoutes téléphoniques, surveiller Internet...

Mardi prochain, les deux auteurs, Pierre Alonso et Andrea Fradin, sont convoqués comme « témoins » à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), à Levallois-Perret dans la région parisienne, pour une affaire « les concernant », comme on dit dans le jargon policier.

La convocation intervient dans le cadre d’une « enquête préliminaire », « à la demande du parquet », et prévient les destinataires qu’un refus d’y répondre pourrait déclencher l’article 68 du code de procédure pénale, et donc une comparution contrainte.

Le motif de la convocation n’est pas signifié, mais tout indique que c’est en lien avec cet article sur les écoutes. Le directeur de la publication d’alors, Guillaume Dasquié, est lui aussi convoqué, la veille, comme il coutumier dans les affaires de presse.

 « Confidentiel défense »

Ce qui, visiblement, vaut cette enquête à nos jeunes confrère et consœur, est la mise en ligne, sous forme d’un PDF téléchargeable, d’un document classé « confidentiel défense » contenant tous les détails techniques de cette plateforme nationale des interceptions judiciaires (PNIJ).

Le document avait initialement été publié sur la plateforme Scribd pour être lu sur Owni, mais en avait été retiré au bout de deux semaines, semble-t-il à la demande d’un membre de la DCRI... Le site avait alors remis le document PDF en accompagnement de l’article.

Le site Owni a été fermé en décembre dernier, après un dépôt de bilan de la société et n’est plus mis à jour depuis, même si les articles passés, y compris celui-ci, sont encore en accès libre.

Owni, site pionnier sur le data-journalisme, a également consacré de nombreuses enquêtes et analyses aux questions d’écoutes, de surveillance, de technologies d’espionnage, traquant les tendances liberticides qui sont la tentation de tous les Etats, y compris les plus démocratiques.

Cet article sur cette nouvelle plateforme d’écoutes s’inscrit dans cette « tradition », Owni observant d’ailleurs que le reste des médias était plutôt discret sur le sujet. Le paradoxe d’une telle convocation, évidemment, est d’attirer l’attention sur cette plateforme discrètement développée par le ministère de la Justice, et donc Owni avait expliqué le fonctionnement dans une superbe infographie.

Lire la suite :
http://www.rue89.com/2013/04/24/ecoutes-telephoniques-deux-journalistes-downi-convoques-a-dcri-241743

L'article de Owni sur la nouvelle plateforme d'écoutes téléphoniques :
http://owni.fr/2012/09/13/secret-ecoutes-pnij-thales/

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 13:04


http://www.fdmz.com/annexe/wp-content/uploads/2012/06/INDECT.png
Le 23 avril 2013.

Le projet INDECT ne concerne pas que les caméras de surveillance. Les chercheurs développent aussi des technologies permettant de détecter tout comportement "suspect" sur Internet.

Etape 2. La semaine dernière, vous avez découvert le projet INDECT, ce projet de recherche visant à détecter tout "comportement suspect" en milieu urbain, via les images des caméras de surveillance. Et bien sachez qu'INDECT ne s'arrête pas là. Le projet concerne aussi Internet : c'est logique, puisque les criminels se trouvent aussi dans le monde virtuel...

Côté Internet donc, INDECT vise à développer, à travers une armada d'algorithmes, une technologie capable de détecter dans les données échangées sur le réseau un "comportement suspect", terroriste ou encore pédophile. Dans le cas de l'attentat de Boston du 15 avril, point eu besoin d'une telle technologie, et encore moins de la reconnaissance faciale via les caméras de surveillance, mais qui sait, qui sait...

Scanner la Toile

A terme, INDECT tente de créer un "moteur de recherche" capable d'explorer les moindres recoins du Web (à la façon de Googlebot), baptisé l'INCR (Indect Crawler). Ce "crawler" détecterait donc tout "comportement suspect" sur Internet.

Ensuite, les policiers pourraient effectuer une "recherche sémantique" de documents sur le réseau et dans une base de données baptisée INACT (Indect Advanced Image Catalogue Tool), sorte de Google Similar Images spécialisé. Pour cela, les chercheurs développent notamment des technologies de "tatouage numérique", ou "watermarking", qui permettent de "marquer" des documents.

Pour détecter tout comportement "suspect" sur la Toile, l'INCR utilisera entre autre la reconnaissance optique de caractères (OCR), la reconnaissance faciale, la reconnaissance audio (peut être via un logiciel comme Batvox, le logiciel qui a récemment identifié la voix de Jérôme Cahuzac), et la reconnaissance du "caractère pédopornographique" d'une image.

A savoir aussi que l'INCR détectera des "symboles pouvant être reliés à des crimes haineux" : swastika (le symbole nazi), pentagramme (le symbole sataniste), croix renversée, mais aussi... "la faucille et le marteau" ! Désolé pour nos amis communistes. Bien sûr, le site d'INDECT précise que "les symboles interdits" varient selon les pays européens...

L'université Carlos III de Madrid planche sur le développement de technologies de chiffrage des données et de VPN, pendant que l'AGH de Cracovie et l'université de Wuppertal (en Allemagne) développent les technologies de watermarking. L'université de technologie de Poznan, toujours en Pologne, crée des algorithmes afin de développer le "moteur de recherche" qui permettra de "rechercher des images et des vidéos en fonction du contenu marqué par tatouage numérique".

Lire la suite :
http://www.cnetfrance.fr/news/indect-detecte-aussi-les-comportements-suspects-sur-internet-39789278.htm

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 15:40


http://www.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_43_large/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/Videosurveillance-CC-by-nc.2.0.schoeband.deed_.fr__0.jpg
Le 22 avril 2013.

Bruxelles compte une quantité énorme de caméras de surveillance. Outre celles installées par les autorités publiques dans les espaces publics, diverses sociétés disposent de leurs propres réseaux : la SNCB dans ses gares, la STIB dans ses métros et ses parkings,...

Le gouvernement bruxellois a néanmoins récemment déploré le manque de connexions entre ces différents systèmes et donc l’inefficacité globale de la vidéosurveillance. Ils s’est donc prononcé pour la mise en place d’une solution globale intégrée pour doter Bruxelles d’un réseau régional.

L’objectif sera de permettre à chaque système de capter des images et de pouvoir les transmettre aux autres systèmes. A noter que lors des débats, la question de la protection de la vie privée des citoyens n’a pas été évoquée une seule fois par les parlementaires.

Source :
http://www.secoursrouge.org/Bruxelles-Vers-une

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 13:32


http://languedoc-roussillon.france3.fr/sites/regions_france3/files/styles/top_big/public/assets/images/camera_police_2.jpg
Le 31 mars 2013.

La police de Nîmes a présenté des "caméras-piétons", qui seront portées par les fonctionnaires chargés de la sécurité sur la voie publique pour filmer leurs interventions lors de contrôles d'identité ou routiers, avec l'ambition d'éviter les critiques sur le choix des personnes contrôlées.

L'expérimentation est prévue pour une durée de six mois. "La justice nous demande de plus en plus de prouver", a expliqué Gil Andreau, le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) dans le Gard.

"Ces caméras ont une utilité pour les contrôles d'identité. On nous a souvent critiqués pour des contrôles au faciès. Là, nous aurons les images, que l'on conserve six mois. Elles montreront dans quelles conditions s'est passé le contrôle. Je crois que nous n'avons rien à cacher", a-t-il ajouté.

"Le dispositif a été testé il y a quelques années en Seine Saint-Denis. Cela a tendance à dédramatiser et apaiser les relations entre la population et la police",a-t-il souligné.

Ces caméras s'accrochent à la veste du fonctionnaire de police et disposent d'un objectif orientable avec prise de son. C'est au porteur de la caméra d'enclencher l'enregistrement.

Les caméras-piétons vont en particulier être utilisées dans les zones de sécurité prioritaire (ZSP) mises en place par le ministère de l'Intérieur.

Si l'expérimentation est validée, ce dispositif pourrait être étendu à tous les policiers en tenue.

Ces caméras-piétons sont commercialisées par la société Exavision, basée à Milhaud, dans le Gard. Leur coût unitaire est de 1.000 euros.

Source :
http://languedoc-roussillon.france3.fr/2013/03/31/nimes-la-police-experimente-une-camera-anti-controles-au-facies-226029.html

Trouver la belle excuse de mesures soi-disant "anti-contrôle au faciès" pour faire passer la pilule d'une surveillance incessante...Jusqu'où ira leur hypocrisie ?

Jusqu'où ira leur insatiable volonté de contrôle et de flicage permanents ?

Et quand viendront les "vraies" mesures anihilant les contrôles au faciès et toutes les autres formes de discrimination inhérentes aux méthodes policières ?

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 10:05


http://i-cms.journaldunet.com/image_cms/original/1577636-des-capteurs-pour-pister-les-salaries-et-ameliorer-leur-productivite.jpg
Le 14 mars 2013.

Une nouvelle application du big data : à l'aide de badges, des entreprises américaines ont traqué leurs collaborateurs... et ont eu droit à quelques surprises.

Un capteur qui suit vos moindres faits et gestes au bureau pour les transmettre à votre patron, cela vous effraie ? Pourtant ce n'est pas de la science-fiction. C'est le Wall Street Journal qui le révèle : en suivant ainsi les déplacements de ses salariés dans un centre d'appels, Bank of America a accru leur productivité.

Concrètement, les salariés portent un badge qui enregistre chacun de leurs déplacements au sein de l'entreprise tout au long de la journée de travail. Vous allez prendre un café avec un collègue ? C'est enregistré. Vous rendez une petite visite au service d'à-côté ? Il le sait. Vous restez prostré devant votre écran ? C'est aussi dans la boîte.

Toute cette masse d'informations est collectée, décortiquée et analysée. C'est ce que l'on appelle le big data. A en croire la banque, le but de cette expérience n'était pas d'observer ce qu'untel faisait de ses journées mais de comprendre les comportements qui distinguaient les salariés productifs des autres.

Résultat : les collaborateurs de Bank of America les plus efficaces appartiennent à des équipes soudées et discutent beaucoup avec leurs collègues. La banque a donc entrepris d'encourager la cohésion d'équipe, ce qui s'est traduit par un bond de leur productivité de 10%.

Ce résultat pourrait bien donner des idées à d'autres DRH de par le monde.

Facilité par les avancées technologiques, ce genre d'analyse a des atouts pour se développer. Avec leur smartphone ou leur badge d'accès, les informations sur les  déplacements des collaborateurs existent déjà. Reste que la règlementation de ce côté-ci de l'Atlantique demeure assez stricte au sujet de la surveillance des salariés.

Car, plus elle veut se montrer efficace, plus la collecte de données doit aller loin dans l'exploration des comportements humains. L'entreprise Cubist Pharmaceuticals a ainsi traqué une trentaine de collaborateurs pendant un mois. Les déplacements, certes, mais aussi les mouvements, le niveau de la voix, les types de conversation... tout était passé au crible.

Là encore, le rôle positif des rencontres en face-à-face a été mis à jour. Problème : chacun restait devant son PC pendant la pause déjeuner. La cafétéria a donc bénéficié d'un profond lifting afin d'encourager les déjeuners en commun.

Big data is watching you

Cependant, avant de voir ces démarches se multiplier, il reste un obstacle de poids : les salariés eux-mêmes. Confrontés à des procédés particulièrement intrusifs, ils risquent de témoigner d'une certaine résistance. Même avec certaines garanties (pas d'analyse de données nominatives, études basées sur le volontariat...), le sentiment d'être "fliqué" persiste.

Et non sans raison : un chercheur indique au Wall Street Journal pouvoir déterminer si un salarié est susceptible de démissionner à partir de ses seuls comportements. De là à imaginer que le patron peut facilement constituer un dossier à charge à partir de ces données, il n'y a qu'un pas.

Or, sans la collaboration des équipes, la multiplication de ces études pourrait bien en rester au stade de la science-fiction.

Source :
http://www.journaldunet.com/management/direction-generale/des-capteurs-sur-les-salaries.shtml

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 17:03


http://referentiel.nouvelobs.com/file/5501443-automobile-les-pv-par-videosurveillance-bientot-a-paris.jpg
Le 20 mars 2013.

La préfecture de police de Paris vient d’annoncer qu’elle allait expérimenter à partir du 2 avril prochain la vidéo-verbalisation. Autrement dit : la possibilité d’adresser des contraventions aux conducteurs en infraction par rapport au Code de la route (stationnement en double-file, feu rouge grillé, etc.) grâce aux caméras de surveillance dispersées dans la capitale. Explications.

Le dispositif était déjà testé à Nice, Puteaux, Aix-en-Provence ou encore à Marseille, mais il sera désormais expérimenté à Paris.

La préfecture de police l’a en effet annoncé en début d’après-midi, expliquant qu’elle souhaitait mettre en place à partir du 2 avril une « utilisation dynamique et intelligente de la vidéoprotection à des fins de lutte contre l’insécurité routière et de fluidité du trafic ».

Dès lors qu’un opérateur placé devant ses écrans constatera une infraction au Code de la route, il pourra verbaliser le contrevenant. Le tout à distance, sans que ce dernier soit intercepté. « La procédure s’en trouvera allégée, simplifiée et accélérée » se félicitent les autorités.

 Concrètement, lorsqu’une infraction sera constatée par la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) grâce aux caméras de vidéosurveillance de la capitale, un cliché photographique précisant la date et l’heure sera pris, afin de relever l’immatriculation, le type et la couleur du véhicule.

La photo sera ensuite transmise au centre national de traitement de Rennes, qui gère également les flashes des radars automatiques. Une fois l’identification réalisée, le propriétaire du véhicule recevra à son domicile sa contravention.
Il est précisé au passage que le destinataire de l’amende aura « la possibilité de s’exonérer du procès-verbal en établissant qu’il n’était pas lui-même le conducteur du véhicule ».

Quelles seront les infractions concernées ?

D’après les autorités, ce sont les infractions évoquées dans les articles L121-2 et L121-3 du Code de la route qui seront concernées par ces opérations de vidéo-verbalisation.

Sont donc visés : tout ce qui a trait au stationnement (en double-file, dans une voie réservée...), le non-respect des signalisations imposant l’arrêt des véhicules (feu rouge, stop...), à l’emprunt d’une voie non affectée à sa catégorie de véhicule, au respect des distances de sécurité ainsi qu'au non-acquittement des péages.

Lire la suite :
http://www.pcinpact.com/news/78410-les-parisiens-pourront-bientot-etre-verbalises-grace-a-videosurveillance.htm

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 13:44


http://static.mcetv.fr/img/2013/02/Une-p%C3%A9tition-de-1-000-profs-contre-le-flicage-made-in-Free-e1362067451233.jpg
Le 27 mars 2013.

Il arrive que l'employeur mette en place des dispositifs de cybersurveillance particulièrement intrusifs, afin de surveiller l'activité de leurs salariés.

Il peut, par exemple, utiliser un logiciel tel que le "keylogger" pour contrôler l'activité de ses salariés depuis leur poste informatique.

Cet outil permet notamment d'enregistrer toutes les frappes réalisées par les salariés sur leur clavier, à leur insu. Il donne aussi la possibilité à celui qui l'a installé de recevoir une notification automatique lorsque celui qui est surveillé tape sur son clavier un mot prédéterminé, ou encore de recevoir  sur son ordinateur un rapport de l'ensemble des actions réalisées par ce dernier.

Il est téléchargeable depuis internet, parfois gratuitement, et une fois installé, se lance automatiquement à chaque démarrage de l'ordinateur, sans que son utilisateur ne s'en aperçoive.

Suite à plusieurs plaintes de salariés qui ont été déposées auprès de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL),  cette dernière vient de rappeler que l'installation de tels logiciels – appelés logiciels espions - qui sont particulièrement intrusifs, ne peuvent, en principe, être mis en œuvre dans un contexte professionnel.

Elle rappelle que l'employeur a le droit d'établir les conditions et les limites de l'utilisation de l'outil informatique par ses salariés (par exemple en filtrant les sites non autorisés, tels que les réseaux sociaux, les sites de jeux, les sites pornographiques…).

Toutefois, la surveillance que l'employeur exerce ne doit pas porter une atteinte disproportionnée aux droits de ses salariés, et notamment une atteinte excessive à leur vie privée. C'est la raison pour laquelle l'employeur ne peut pas installer des logiciels qui ont pour effet d'exercer une surveillance constante et permanente sur l'activité des salariés concernés.

Par ailleurs, la CNIL précise que ce type de logiciel peut, par exception, être installé sur les postes informatiques des salariés, mais uniquement :


-  S'il existe des impératifs forts de sécurité (lutte contre la divulgation de secrets industriels, par exemple) ;
- Si cette installation s'accompagne d'une information spécifique des personnes concernées par ce type de surveillance.

Caméras, géolocalisation, cybersurveillance…les salariés sont de plus en plus surveillés : déjà en 2012, la CNIL constatait avec inquiétude l'augmentation de l'installation de ce type de dispositifs par les entreprises.

Par exemple, la CNIL recevait 3.300 déclarations à l'installation de systèmes de géolocalisation en 2010, contre 7.900 en 2011. Elle constatait également le nombre croissant de plaintes déposées par les salariés (+59% de plaintes liées à la cybersurveillance entre 2010 et 2011).

Lire la suite :
http://www.juritravail.com/Actualite/consultation-comite-entreprise-conditions-emploi/Id/55591

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 13:22


http://www.tuxboard.com/photos/2010/08/infographie-vie-priv%C3%A9e-sur-internet.jpg
Le mardi 26 mars 2013.

Les Amis d’Orwell ont reçu, mardi 26 mars, Jérôme Thorel, auteur du livre Attentifs ensemble ! (février 2013, éd. La Découverte).

« Attentifs ensemble ! »

Ce message d’appel à la vigilance diffusé dans le métro parisien est l’un des plus emblématiques de l’ordre sécuritaire qui s’est lentement mis en place, en France et dans le monde, depuis la fin des années 1970, et qui s’est considérablement renforcé avec les attentats du 11 Septembre et la « guerre contre le terrorisme ».

Le principal modus operandi de cet ordre sécuritaire consiste à nous impliquer en permanence dans la sécurisation de nos existences, tout en faisant de chacun de nous, selon une logique « proactive », des coupables en puissance. Ainsi sommes-nous sommés de tout dévoiler, y compris les éléments les plus intimes de notre vie, et à mettre en berne notre liberté au nom de notre prétendue sécurité.

Ce livre, fruit de nombreuses années de recherches, est une enquête sur les mécanismes et les institutions de cet ordre sécuritaire : les « marchands de contrôle » et les officines plus ou moins officieuses de conseils en sécurité ; les émissions de télévision et la presse dédiées à l’ordre policier ; les paravents éthiques et les garde-fous illusoires comme la CNIL - qui en sont à la fois les rentiers et les porte-parole, les pompiers et les pyromanes.

Il offre aussi une plongée vertigineuse dans l’univers technologique qui lui sert de colonne vertébrale : les produits high-tech de la surveillance généralisée, nouvel eldorado du capitalisme policier...

Ecouter la rencontre :
http://souriez.info/Attentifs-ensemble

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 11:24


http://us.123rf.com/400wm/400/400/ronfromyork/ronfromyork1003/ronfromyork100300061/6637540-resume-montrant-des-yeux-de-piece-de-puzzle-par-ciel-circulaire.jpg
Depuis Le Monde, le 6 mars 2013.

Il y a drones et drones. D'un côté, les engins de guerre manœuvrés par la CIA et l'armée américaine, emblèmes de la lutte antiterroriste et responsables de la mort de plusieurs milliers de personnes, au Pakistan ou au Yémen.

Ceux-ci sont devenus tellement communs que le président des Etats-Unis, Barack Obama, vient de créer une "médaille de valeur" pour leurs pilotes, qui, si l'on en croit le Pentagone, souffrent aussi de stress post-traumatique, bien qu'ils se contentent de faire la guerre dans des bureaux de Floride ou d'Arizona.

Et il y a les drones civils, de plus en plus répandus, comme celui sur lequel on tombe au fin fond d'une route enneigée du Colorado. L'engin est rangé dans les locaux du "Spaceport" d'Aurora, l'aéroport de l'espace d'où partiront les navettes commerciales dès qu'elles seront prêtes et que la Federal Aviation Agency (FAA), l'agence qui réglemente l'aviation, aura donné son agrément.

Il est lisse et plat comme un requin et transmet des images à l'ordinateur qui est derrière vous pendant que vous fixez innocemment son ventre gris.

Le squale appartient à un ingénieur doté d'un fort accent écossais, Peter Gray (qui se trouve avoir travaillé chez Thomson-CSF à Paris et avoir une maison en Dordogne ; le monde est petit).

Il a une portée de 75 km et pourra servir à surveiller des pipelines ou aider à la cartographie digitale, assure son "papa". Mais pour l'instant, l'ingénieur fait surtout de la formation. Les drones civils ont beau avoir l'air de jouets, encore faut-il apprendre à les diriger.

SURVEILLER TOUT CE QUI BOUGE

Plus d'un millier de compagnies – de la start-up de Peter Gray, Strategic Simulation Solutions, aux plus grands sous-traitants de l'armement – se sont lancées dans l'industrie du "véhicule aérien sans pilote" (UAV), en prévision de l'explosion du marché.

Selon la FAA, plus de 10 000 drones civils seront en circulation avant 2020 (à titre de comparaison, le Pentagone, qui avait une flotte de 50 UAV il y a dix ans, en possède maintenant 7 500).

La technique étant disponible, il est tentant de surveiller tout ce qui bouge : la faune, les embouteillages, les clandestins qui franchissent la frontière. A se demander comment on a pu vivre si longtemps sans faire voler les robots.

Tout le monde veut ses drones : les compagnies d'électricité, pour surveiller les lignes ; les agriculteurs, pour savoir quelles cultures arroser ; les fermiers, pour compter leurs vaches, les promoteurs immobiliers, pour jauger les propriétés, la National Football League, pour filmer la mêlée d'encore plus près...

Jusqu'aux écoles de journalisme, dont deux (dans le Missouri et le Nebraska) ont commencé à enseigner l'utilisation des drones aux fins d'information.

Pour l'instant, le ciel américain n'est pas ouvert aux drones privés. Seules 345 institutions publiques (universités, polices locales) ont reçu à titre expérimental la permission d'envoyer leurs engins surveiller l'Amérique.

Le shérif de Mesa County, par exemple, une zone largement désertique de l'ouest du Colorado, ne se déplace plus sans son Falcon, un engin d'une envergure de 2,5 mètres, doté de deux caméras dont une à infrarouge, le tout en moins de 4,5 kg.

Mais sous la pression du Pentagone et des sous-traitants de l'aviation (qui voient avec désolation les budgets militaires se réduire), le Congrès a ordonné à la FAA d'ouvrir l'espace aérien aux véhicules sans pilote avant octobre 2015.

Le 14 février, elle a lancé la procédure de sélection des six régions pilotes où les vols vont être bientôt autorisés. Des candidats se sont présentés dans trente Etats.

UN BIG BROTHER DES AIRS

Pour les défenseurs de l'industrie, comme Peter Gray, il serait dommage que les Etats-Unis ne se positionnent pas à la pointe d'une industrie qui va rapporter des dizaines de milliards de dollars tout en permettant de lutter contre les incendies de forêt ou de retrouver des randonneurs égarés.

Ce n'est pas l'avis des défenseurs du respect de la vie privée, qui agitent le spectre d'un Big Brother des airs. Grâce aux technologies testées dans l'armée, les drones peuvent écouter les conversations téléphoniques, reconnaître les visages, lire les plaques minéralogiques...

Une vingtaine d'Etats préparent déjà des lois limitant l'usage des UAV. Le principe : pas de survols policiers sans "cause probable" d'infraction.

Et pas de gaz lacrymogènes ou autres armes éventuelles au-dessus des têtes des Américains. Le représentant républicain du Texas Ted Poe, qui a proposé un projet de loi interdisant les survols sans mandat judiciaire, a agité l'épouvantail orwellien.

"Que nous le voulions ou pas, les drones vont arriver. Nous ne saurons pas ce qu'ils observent, quel est leur but et qui les envoie."

Le débat est lancé. Qui a le droit de survoler quoi ? Avant l'aviation, le droit de l'espace était régi par le principe romain "cujus est solum ejus est usque ad coelum" ("qui possède le sol possède les cieux"), rappelle un rapport de l'organe de recherche du congrès (CRS).

L'argument a prévalu jusqu'en 1946, lorsque la Cour suprême a solennellement établi qu'il n'avait plus de pertinence dans un "monde moderne" sillonné d'avions.

En sera-t-il de même pour les drones ? Il est peut-être déjà trop tard pour s'opposer à leur libre circulation.

Comme le dit l'un des spécialistes du secteur, Kimon Valavanis, qui dirige le laboratoire sur les drones de l'université de Denver, "dès lors que vous avez un téléphone portable, c'en est fini de votre vie privée".

Source :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/06/des-yeux-dans-le-ciel-americain_1843776_3232.html

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