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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 12:44


http://www.ilovegenerator.com/large/souriez-vous-love-etes-filme-130995437940.png
Transmis par Trukss en Vrak le 8 juillet 2012

La commission consultative chargée d'examiner les projets de vidéosurveillance vient de se prononcer pour le vaste plan d'extension du réseau de caméras de Tisséo.

Sur les quais du métro, comme dans les bus, plus de 1 200 caméras sont déjà en fonction dans le réseau de transports en commun de l'agglomération toulousaine, Tisséo. Des caméras de vidéosurveillance mais surtout des caméras liées au fonctionnement du métro.

En 2013 ou 2014, 642 nouvelles caméras - de sécurité celles-ci - devraient être installées.

Réunie vendredi au Capitole, la commission des libertés publiques, formée il y a deux ans et incluant élus de la majorité et de l'opposition, préfet, procureur de la République, représentant de la Ligue des droits de l'homme…, s'est prononcée en faveur de ce vaste projet d'extension. Présidente de la commission, l'ancienne directrice de Sciences-Po, Laure Ortiz, contactée hier, a dévoilé le contenu de cet avis.

En mars, le syndicat mixte des transports en commun (SMTC-Tisséo) avait présenté ce projet imposé par la loi sur la sécurité intérieure de 2007 pour la prévention de la délinquance et du terrorisme. Le passage devant la commission des libertés publiques avait alors été jugé nécessaire.

Aux abords des stations

Si les membres de la commission ont validé les implantations, ils se sont penchés plus attentivement sur les 148 des 642 caméras susceptibles de filmer aussi la voie publique.

Ces cas ont été examinés hier par un groupe restreint, plans à l'appui, au siège de Tisséo.

Le projet prévoit de nouvelles caméras pour les entrées et sorties des ascenseurs et escaliers, mais aussi pour les espaces entre la sortie du métro et le bus par exemple (aux Argoulets, à Balma, à Ramonville…). Ou aux abords des stations.

La commission a alors souhaité que leur champ de vision soit réduit. En clair, elle distingue l'usager des transports du simple piéton. Aux abords des stations, elle a fixé une limite de trois mètres, ce qui inclurait les attroupements. Une seconde restriction porte sur les horaires qui, pour les « sages », doivent coïncider avec ceux des transports en commun.

Un avis écrit et motivé doit à présent être adressé à Tisséo. Aux élus de lancer ensuite le projet.

Pargaminières : c'est oui

La commission des libertés publiques, lors d'une précédente réunion, a émis un avis favorable pour les trois caméras de la rue Pargaminières qui pourraient donc voir le jour à la suite des actuels travaux entrepris jusqu'en 2013, et si le maire suit cet avis. Pour l'heure, c'est son opposant, Jean-Luc Moudenc, qui la semaine dernière, sur son blog, stigmatisait la lenteur du processus.

Source :
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/03/1392670-tram-et-metro-feu-vert-pour-plus-de-600-cameras.html

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 10:34


http://www.ilovegenerator.com/large/vous-etes-filmes-love-souriez-13113227118.png
Transmis par Truks en Vrak depuis La Gazette des Communes

Le 5 juillet 2012

Le conseil municipal de Lyon a adopté, lundi 2 juillet 2012, un nouveau développement de son dispositif de vidéo-protection pour un budget de 745 000 euros.

Au total, ce sont 55 caméras supplémentaires qui seront mises en service et s’ajouteront aux 261 caméras actuellement en fonctionnement à Lyon, principalement dans le centre-ville.

Parallèlement, des programmes d’installation de nouvelles caméras (une cinquantaine) votés l’année dernière seront opérationnels en 2013 à la suite d’une étude de sûreté sur l’évolution et le redéploiement du réseau de caméras dans la Presqu’île, ainsi que sur de nouveaux sites (place du siège de la région Rhône-Alpes, place Lebret à Lyon 8ème, etc). « La ville comptera au total environ 385 caméras d’ici 2015 », précise Didier Delorme, chef de cabinet de Jean-Louis Touraine, Premier adjoint aux déplacements et à la sécurité.

Un budget conséquent 

Le budget voté lundi s’inscrit dans le plan d’équipement pluriannuel de la ville qui prévoit 3,7 millions d’euros sur le mandat 2008-2014.

Sur la période 2001-2008, la ville avait consacré 6,4 millions d’euros à la vidéosurveillance, un budget plus important incluant la création du Centre de supervision urbaine. Ces budgets ne comprennent pas les frais de personnel, soit 29 agents travaillant en équipe d’une demi-douzaine de personnes.

Lire la suite :
http://www.lagazettedescommunes.com/121426/lyon-etend-son-systeme-de-videoprotection-385-cameras-seront-en-service-en-2015/

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 10:04


http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/diaporama/jeu-igs-p01-chaunu-de-jeudi-550744.jpg
Le 28 juin 2012

Ikea bricole un "code de conduite" pour faire oublier le scandale de surveillance

S'agit-il d'une stratégie de communication, d'un nouveau "mea culpa", ou de la promesse d'une nouvelle gouvernance ? Impliqué depuis mars dans une affaire de surveillance illégale de ses salariés, Ikea France a annoncé, jeudi 28 juin, la création d'un "code de conduite" distribué à plus de mille managers au sein de l'entreprise, et visant à éviter que de telles pratiques d'espionnage ne se reproduisent. La France est le premier pays où ce texte est introduit.

Intitulé "Développer notre business avec bon sens", le document liste ainsi une série de principes visant à améliorer le fonctionnement de l'entreprise : entre autres, refus de la corruption, respect de la vie privée ou condamnation du harcèlement. Il sera accompagné d'un "département gouvernance et conformité" et d'un "comité d'éthique" consultatif.

Mais cette instance n'a aucune valeur contraignante : elle ne pourra ni édicter des règles ni prononcer des sanctions. Sans cette possibilité, un "code de conduite" changera-t-il vraiment la donne ?

"COLMATER L'AFFAIRE D'ESPIONNAGE"

Présenté le 21 juin par la direction, ce texte n'a pas fait l'objet d'une consultation avec les représentants du personnel, affirme Hocine Redouani, élu du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et délégué syndical FO à Ikea. "Au dernier moment, l'entreprise a décidé qu'elle n'avait plus à consulter les instances représentatives", regrette-t-il.

De même, le comité d'éthique mis en place sera "composé essentiellement des dirigeants de l'entreprise", estime le délégué. "On n'a pas pensé à faire participer les dirigeants syndicaux."

Selon Hocine Redouani, la direction a jugé que, du fait du scandale de surveillance illégale de salariés dans l'entreprise, l'instauration du code était trop urgente pour prévoir des négociations avec les syndicats.

Mais le texte, relativement théorique – on y lit par exemple "nous respectons la vie privée", sans plus de précisions – est vague.

Hocine Redouani assure que le code "reprend exactement les mêmes choses" qu'un texte déjà distribué aux salariés, le fameux "testament d'un négociant en meubles" écrit en 1976 par le fondateur d'Ikea, Ingvar Kamprad.

L'entreprise "a eu besoin de mettre quelque chose comme ça, en bouclier", estime le délégué syndical. "C'est de la poudre aux yeux, une façon de colmater l'affaire d'espionnage. La direction montre qu'elle a pris conscience de quelque chose. Elle se sert du problème éthique qu'est l'affaire d'espionnage, pour en faire un coup publicitaire."

"FLICAGE" DES SALARIÉS

Si le scepticisme est de mise, c'est que la direction avait déjà promis (PDF) aux syndicats une "charte éthique partagée avec l'ensemble des collaborateurs" et "la révision du modèle de gouvernance" en avril. Une sorte de premier mea culpa, alors que l'entreprise se trouvait en plein cœur d'un scandale. Depuis les révélations du Canard enchaîné en février, la direction d'Ikea France est accusée d'avoir cherché, de façon irrégulière, des renseignements concernant la vie privée de ses salariés, en consultant les fichiers du Système de traitement des infractions constatées (STIC) moyennant finance.

Les employés d'un magasin de Brest auraient également été surveillés à leur insu pendant six ans, entre 2003 et 2009. Et deux employées d'une société de gestion des risques sont soupçonnées d'avoir été recrutées comme hôtesses de caisses à Franconville (Val-d'Oise) pour surveiller des syndicalistes. En avril, une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Versailles, après que le syndicat Force ouvrière a déposé une plainte contre X pour "collecte de données à caractère frauduleux, déloyal ou illicite".

De nouvelles plaintes ont été portées par la CGT et une ancienne salariée le 18 mai, alors que quatre dirigeants quittaient l'entreprise du fait de l'affaire. Si les accusations se révèlent vraies, les responsables encourent, selon l'article 226-18 du code pénal, jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 300 000 euros d'amende.

Suite et source :
http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/06/28/ikea-un-code-de-conduite-pour-faire-oublier-le-scandale-de-surveillance_1726260_3234.html

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 12:20


http://annuaire.novae-lr.org/files/logo/societes/logo_amesys%20conseil%20montpellier_538.jpg
Depuis Numérama, le 21 mai 2012

Le parquet de Paris a confié lundi à une magistrate spécialisée dans la lutte contre les crimes contre l'humanité  l'ouverture d'une enquête préliminaire à l'encontre d'Amesys.

La filiale de Bull est soupçonnée de s'être rendue complice d'actes de tortures contre les dissidents du régime de Mouammar Kadhafi en vendant une solution d'espionnage des internautes libyens.


La pression monte contre Amesys, la filiale de Bull accusée d'avoir fourni au régime du colonel Kadhafi des outils technologiques lui permettant d'espionner les communications électroniques des Libyens. Une information judiciaire a été ouverte lundi par le parquet de Paris à l'encontre d'Amesys, pour complicité d'actes de tortures.

L'enquête a été ouverte suite à la plainte qu'avaient déposé en fin d'année dernière la Fédération Internationale des Droits de l'Homme (FIDH) et la Ligue des Droits de l'Homme (LDH), avec constitution de partie civile. La filiale du groupe français Bull est accusée d'avoir fourni à la dictature les outils de surveillance des internautes libyens, qui lui ont permis de démasquer et de torturer des opposants au régime.

L'affaire avait été révélée pour la première fois par le Wall Street Journal en août 2011, lorsque le système Eagle vendu par Amesys avait été découvert en Lybie, après la chute de Kadhafi.

Le programme permettait au régime de déployer un dispositif d'inspection profonde des paquets (DPI) pour identifier les dissidents et intercepter leurs communications sur Internet.

La filiale de Bull proposait ainsi d'agir "sur les protocoles les plus couramment utilisés : mail (SMTP, POP3, IMAP), les webmails (Hotmail, Yahoo Mail, Gmail...), les discussions sur réseau IP (RTP, SIP, H.323...), les logiciels de discussion instantanée (MSN, Yahoo!, AIM...), les échanges de fichiers P2P et la navigation web".

L'Express précise que "le dossier a été confié à Céline Hildenbrandt, juge d'instruction au nouveau pôle judiciaire spécialisé pour les crimes contre l'humanité et les crimes de guerre".

L'affaire pourrait rejaillir sur Nicolas Sarkozy, dont les liens avec le régime de Mouammar Kadhafi sont l'objet de plusieurs investigations, aussi bien journalistiques que judiciaires.

Lire la suite :
http://www.numerama.com/magazine/22668-amesys-le-parquet-ouvre-une-enquete-pour-complicite-de-torture.html

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 15:38


http://www.vincentabry.com/wp-content/uploads/2012/02/carte-identite-facebook.jpg
Sous prétexte de protextion, comment on fiche nos enfants...

Transmis depuis Numérama le 11 mai 2012

Les réseaux sociaux et les sites communautaires pourraient bientôt être obligés de demander une carte d'identité numérique aux internautes qui souhaitent s'y inscrire pour publier des contenus. La mesure est proposée par Bruxelles pour protéger les mineurs.

Dans le cadre de sa communication pour "un internet mieux adapté aux enfants", dont nous rapportions ce matin les propositions relatives au filtrage et à la classification des contenus, la Commission européenne s'est également penchée sur la question de la vie privée et du droit à l'oubli des enfants. En particulier sur les réseaux sociaux et les plateformes communautaires.

Pour la Commission, "les paramètres de confidentialité par défaut doivent être  configurés de façon à garantir aux enfants la sécurité maximale".

Elle demande donc aux éditeurs de "mettre en œuvre des paramètres de confidentialité par défaut, transparents et adaptés à l'âge, accompagnés d'informations et d'avertissements clairs sur les conséquences potentielles de tout changement qui y est apporté, et d'informations contextuelles sur le niveau de confidentialité de chaque élément requis ou suggéré pour créer un profil en ligne"".

L'été dernier, la Commission avait mené une étude aux conclusions sévères, sur la protection des mineurs sur les réseaux sociaux. Elle avait constaté que sur 14 sites audités, seuls MySpace et Bebo garantissaient par exemple que les profils des mineurs n'étaient accessibles qu'aux personne figurant dans leur liste d'amis, et qu'il n'était pas possible de contacter un mineur s'il ne figurait pas sur cette liste.

Lire la suite :
http://www.numerama.com/magazine/22581-les-enfants-chevaux-de-troie-de-la-carte-d-identite-numerique.html

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 14:36


http://www.septeuill78.fr/wp-content/uploads/2012/03/espionnage-ikea.jpg
Le 11 mai 2012

Par SYLVAIN MOUILLARD

Deux mois après la révélation de pratiques de flicage de salariés dans plusieurs magasins Ikea, le parquet de Versailles vient d'ouvrir une information judiciaire. L'une pour infraction sur la législation relative aux fichiers informatiques, l'autre pour violation du secret professionnel, selon le site internet du Monde. Jusqu'à présent, seule une enquête préliminaire était menée.

Deux juges d'instruction sont en charge du dossier: Alain Gallaire et Elsa Evrard. Ils devront faire la lumière sur une affaire qui concerne potentiellement des dizaines de personnes.

La filiale française d’Ikea est en effet soupçonnée d’avoir procédé à la surveillance illégale de salariés et de clients, en scrutant notamment leurs antécédents judiciaires.

Des courriels font état d’un accord entre la «direction risque» d’Ikea en 2003 et des enquêteurs privés qui lui fournissaient illégalement des informations issues du fichier policier Stic, de celui des cartes grises ou des permis de conduire.

Maître Yacine Yakouti, un des avocats du syndicat Force ouvrière qui a porté plainte, se dit satisfait. «Je note que deux juges d’instruction ont été co-saisis. Cela démontre l’importance donnée à ce dossier, qui comportera une masse importante d’informations à traiter. Potentiellement, ce sont 300 personnes qui sont concernées.»

Désormais, l’avocat espère que «la lumière sera faite sur les responsabilités de chacun».

Ikea, pour l’heure, s’est contenté de mettre en disponibilité les deux salariés incriminés et de lancer une réforme du mode de gouvernance.

Source :
http://www.liberation.fr/societe/2012/05/11/espionnage-chez-ikea-ouverture-d-une-information-judiciaire_818119

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 07:13


http://medias.lepost.fr/ill/2011/10/05/h-4-2605906-1317801265.png
A lire sur Numérama, le 26 mars 2012

A l'occasion d'un décret publié samedi au Journal Officiel, le ministère de la Justice a mis à jour la grille tarifaire applicable par les opérateurs téléphoniques pour répondre aux réquisitions judiciaires. Elle est moins intéressante pour les tarifs eux-mêmes que pour l'énoncé des différentes rubriques, qui montrent l'étendu des demandes qui peuvent être effectuées par la police judiciaire ou l'administration pour mener ses enquêtes.

http://www.numerama.com/magazine/22138-tout-ce-que-les-operateurs-telephoniques-peuvent-communiquer-a-la-police.html

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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 07:39


http://www.ingenieurduson.com/pict/news/Stop-ACTA-ZZ08A3D071hd.jpg
Depuis Slate.fr, le 16 avril 2012

Le vote de ce traité anti-contrefaçon par le Parlement européen aura lieu début juin. Pour comprendre sur quoi porte cet accord très contesté, nous l'avons décortiqué dans le détail.

Depuis trois ans, 37 pays négocient un accord qui, à leurs yeux, permettrait de lutter contre la contrefaçon et le téléchargement illégal à l'échelle mondiale. Ces pays sont les 27 États membres de l'Union européenne, l'Australie, le Canada, la Corée du Sud, les États-Unis, le Japon, le Maroc, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, Singapour et la Suisse.

En anglais, l'accord est nommé Acta, pour Anti-Counterfeiting Trade Agreement. En français, c'est l'Acac, pour Accord commercial anti-contrefaçon.

Pour aller plus vite, voici les articles qui font polémique: articles 5, 11, 12, 14, 23, 27 et le chapitre 5.

Préambule : croissance, criminalité et coopération

Chapitre I : dispositions initiales et définitions générales

Chapitre II : cadre juridique pour faire respecter les droits de propriété intellectuelle

Chapitre III : pratiques en matière de respect des droits

Chapitre IV : coopération internationale

Chapitre V : arrangements institutionnels

Chapitre VI : dispositions finales

En résumé...

Lire la suite :
http://www.slate.fr/story/52855/traite-acta-decryptage-articles

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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 14:50


http://owni.fr/files/2012/04/image-cle.justice.jpg
Le 10 avril 2012 Pierre Alonso

Le projet de loi sanctionnant la simple lecture de sites Internet appelant au terrorisme devrait être présenté demain en Conseil des ministres [Lire ici : klik !]. OWNI a pu prendre connaissance de ce texte, à la formulation très floue. Peu après l'assaut du Raid contre Mohamed Merah, le 22 mars, Nicolas Sarkozy annonçait sa volonté de sanctionner la consultation de sites faisant l'apologie du terrorisme.

Nicolas Sarkozy l’avait annoncé le jour de l’assaut contre Mohamed Merah, le 22 mars :

"Désormais, toute personne qui consultera de manière habituelle des sites Internet qui font l’apologie du terrorisme ou qui appellent à la haine et à la violence, sera punie pénalement."

Le projet de loi sanctionnant la consultation de sites Internet terroristes devrait être présenté demain en Conseil des ministres selon les informations recueillies par OWNI. Dans sa forme actuelle, le texte révèle plusieurs zones d’ombre et ambiguïtés. S’il est adopté, il sera une nouvelle pierre dans l’arsenal juridique antiterroriste français.

Rédaction par l’Intérieur

Le texte était dans les cartons depuis quelques temps, avant même les assassinats de Toulouse et Montauban. Dès le lendemain du discours de Nicolas Sarkozy, l’exécutif s’est mis en branle pour aller au plus vite. Ce jour-là, François Fillon annonce son intention de le présenter en Conseil des ministres de ce 11 avril, soit le dernier Conseil des ministres avant le premier tour de l’élection présidentielle.

Géré en interministériel, le projet de loi a été écrit par le ministère de l’Intérieur, le cabinet du Premier ministre s’occupant principalement de la synthèse. A Matignon, deux personnes étaient chargée du pilotage : Alexandre Lallet, conseiller justice et liberté publiques, et Ferdinand Tomarchio, conseiller technique pour l’industrie. Contacté, Matignon n’a pas donné suite à nos demandes.

Selon son site, le Conseil National du Numérique (CNN) a été “consulté par le Premier ministre” et a rendu un avis “relatif au projet de délit de consultation habituelle de sites terroristes” le 4 avril 2011. L’avis ne sera rendu public que “postérieurement à la présentation du texte en Conseil des ministres” est-il précisé.

Le projet de loi a poursuivi sa route le 5 avril devant le Conseil d’Etat. Le Sénat devrait recevoir le projet de loi après sa présentation au Conseil des ministres. Contrairement à l’Assemblée nationale, la chambre haute ne fonctionne pas selon des législatures et pourrait s’en saisir, au moins en commission avant les prochaines séances publiques.

Lire la suite :
http://owni.fr/2012/04/10/la-loi-contre-les-web-terroristes/

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 12:13


http://jaffiche.fr/wp-content/uploads/2009/04/anti_hadopi_manif.jpg
Pioché sur Le Monde, le 6 avril 2012

Le salarié de TF1 licencié pour un courriel anti-Hadopi face aux prud'hommes

Jérome Bourreau-Guggenheim, ancien responsable du pôle innovation Web de TF1, a rendez-vous devant le Conseil des Prud'hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) ce vendredi 6 avril pour demander des comptes à son ancien employeur.

Février 2009 : les débats sur la loi Hadopi font rage. Jérôme Bourreau-Guggenheim écrit à sa députée, Françoise de Panafieu, pour exprimer son opposition au projet de loi et demander à l'élue de voter contre le texte.

Mal lui en prend : son courriel est transmis au ministère de la culture, qui renvoie à son tour le message à la direction de TF1. Christophe Tardieu, directeur adjoint du cabinet de Christine Albanel, alors ministre, accompagne le message d'un laconique "Vous avez manifestement des salariés qui aiment tirer contre leur camp".

Jérôme Bourreau-Guggenheim est alors convoqué par sa direction et se voit notifier son licenciement, pour divergence forte sur la stratégie de l'entreprise. Trois ans après les faits, le licenciement de M. Bourreau-Guggenheim doit être examiné, ce vendredi 6 avril, par les prud'hommes de Boulogne-Bilancourt.

"DIVERGENCE STRATÉGIQUE"

A l'époque, l'affaire crée une vive émotion. M. Bourreau-Guggenheim conteste son licenciement, mais estime aussi et surtout que sa vie privée a été violée. Peu après le licenciement, et face à de nombreuses critiques, le groupe TF1 justifie la mise à pied de son salarié en expliquant que les "prises de position particulièrement radicale" de Jérôme Bourreau-Guggenheim sont "contraires aux déclarations officielles du groupe TF1, notoirement en faveur de [la loi Hadopi]" et "incompatibles avec ses responsabilités au sein d'e-TF1, filiale du groupe en charge, également, de la lutte contre le piratage sur Internet".

Pourtant, les arguments avancés par M. Bourreau-Guggenheim dans le courriel envoyé à sa député son loin d'êre extrémistes. Le responsable Web y détaille son opposition à la loi, s'appuyant sur son expertise technique, tout en reconnaissant la nécessité de la lutte contre le téléchargement illégal.

PLAINTE POUR DISCRIMINATION POLITIQUE CLASSÉE

Surtout, le courriel a été envoyé à titre privé, estime-t-il, à partir de son adresse email personnelle, et en tant que simple citoyen s'adressant à sa députée. M. Bourreau-Guggenheim y voit une atteinte à sa vie privée et une discrimination à caractère politique. Sa plainte au pénal pour discrimination avait été classée par le parquet en 2010, mais la procédure pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, auprès des prud'hommes de Boulogne-Billancourt, était toujours en cours. D'après les informations de PC Inpact, l'ancien salarié de TF1 réclame plus de 175 000 euros à la chaîne de télévision.

L'affaire avait également connu un volet politique à multiples rebondissements. Le cabinet de François de Panafieu avait expliqué avoir transféré le courriel de M. Bourreau-Guggenheim à titre d'information au ministère de la culture. Après avoir nié, dans un premier temps, avoir transféré le courriel à la direction de TF1, le ministère de la culture avait reconnu qu'une "erreur" avait été commise. L'auteur du transfert, Christophe Tardieu, avait été suspendu durant un mois de ses fonctions.

Source :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/04/06/le-salarie-de-tf1-licencie-pour-un-courriel-anti-hadopi-face-aux-prud-hommes_1681577_651865.html

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 14:15


http://www.ecrans.fr/local/cache-vignettes/L450xH300/arton7688-a3f3c.jpg
Depuis Le Nouvel Observateur, le 22 mars 2012

Le président-candidat promet de les "punir pénalement". De quoi craindre un espionnage massif du web français.

A peine terminée, l'affaire du tueur de Toulouse donne lieu à une loi. Ou en tout cas à la promesse d'une loi.

Le président-candidat Nicolas Sarkozy a annoncé que "toute personne qui consultera de manière habituelle des sites internet qui font l'apologie du terrorisme, ou véhiculant des appels à la haine ou à la violence, sera punie pénalement".

Une annonce choc qui sonne comme une récupération des drames de Toulouse et de Montauban et qui laisse craindre la future mise en place d'une surveillance de l'internet français.

"Une annonce compassionnelle"

"Nous sommes très inquiets des propositions de Nicolas Sarkozy", déclare Lucie Morillon, responsable du bureau internet de Reporters Sans Frontières (RSF). Elle poursuit :
Malgré toute l'émotion autour de cette tragédie, il ne faut pas se tromper de cible et plaider pour une surveillance généralisée du web en France. De même, les journalistes ne devraient pas être victimes de la lutte contre le terrorisme."

"Aujourd'hui, nous demandons des éclaircissements à l'Elysée sur ces déclarations et les intentions exactes du président-candidat", conclut Lucie Morillon.

Pas de doutes pour Jean-Claude Vitran : "ce n'est qu'un effet d'annonce" de Nicolas Sarkozy. Le responsable des questions de "liberté et technologies" à la Ligue des Droits de l'Homme (LDH) dénonce "une annonce compassionnelle qui surfe sur la peur. Mais, encore une fois, ce sera une loi anti-constitutionnelle... Le pouvoir souhaite mettre en place un Etat policier qui sait tout de tout le monde", conclut-il.

Lire la suite :
http://tempsreel.nouvelobs.com/high-tech/20120322.OBS4384/toulouse-sarkozy-cible-les-lecteurs-des-sites-terroristes-et-violents.html


***
Complément d'info

[Élections piège à cons] Alerte contre le retour des lois scélérates
http://juralib.noblogs.org/2012/03/23/elections-piege-a-cons-alerte-contre-le-retour-des-lois-scelerates/

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 08:57


http://www.idvideo.com/uploaded/VIDEOSURVEILLANCE/videosurveillance4.jpg
La ville, qui compte 29 caméras fixes, s'est équipée de 5 nouvelles caméras mobiles

Ces outils de vidéosurveillance, qui s'installent en une heure, ont été présentés par Jean-Patrick Courtois, le député-maire de Mâcon lundi 5 mars 2012.

Cela fait cinq ans que la ville s'est lancée dans un programme de vidéosurveillance, afin de lutter contre la délinquance sur la voie publique indique la municipalité. Jusqu'à présent Mâcon ne comptait qu'une seule caméra mobile. Elle a décidé d'en acheter cinq autres.

Ces nouvelles caméras seront utilisées "suite à un événement particulier ou dans le cadre des animations et festivités qui réunissent beaucoup de monde" déclare la mairie.

Ce dispositif de vidéosurveillance mobile tient dans une petite valise. Ces caméras fonctionnent sur batterie, il suffit de les brancher sur l’éclairage public ou sur n’importe quelle autre source électrique.

Les images, enregistrées et conservées pendant une période de 21 jours, pourront être visionnées par un officier de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie, si un événement est recensé sur le secteur, précise la mairie.

Pour pouvoir installer rapidement les caméras mobiles, la ville de Mâcon a définit 11 périmètres potentiels qui ont fait l’objet d’un accord de la préfecture :

Flacé, La Chanaye, gare de Mâcon Ville et cimetière Saint-Brice, Gautriats, centre-ville, Saint-Clément, Parc Nord, La Déserte, Blanchettes, Bioux, Sennecé-les-Mâcon.

Source :
http://bourgogne.france3.fr/info/sud-bourgogne/macon--de-nouvelles-cameras-de-videosurveillance--72798412.html

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 11:11


http://urpix.fr/files/msq0sjbrhut4g0btvhy.jpg
Transmis depuis Makkit, le 1er mars 2012

En marge de leurs investigations sur le patron de la DCRI, les auteurs de L’Espion du président décrivent les capacités de surveillance des hommes de l’ombre. Voici les meilleurs passages.

Qui est L’Espion du président, dont parle l'ouvrage édité par Robert Laffont en janvier dernier ? D'après ses auteurs, ce serait Bernard Squarcini, le patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).

Les trois journalistes – Olivia Recasens, Christophe Labbé et Didier Hassoux – ont mené l'enquête, et ils décrivent de manière fort intéressante les techniques informatiques sur lesquelles s’appuient ces espions… et comment y faire face. Extraits(*).

(*) Cet article s'appuyant sur la lecture d'un exemplaire numérique, les références sont données en [numéro d'emplacement Kindle].

Découvez leurs techniques pour :

- Siphonner les ordinateurs

- Surveiller le net

- Analyser les fadettes

- L’écoute hertzienne

- La géolocalisation

- Contrer les services secrets

Lire ici :
http://markkit.net/untrusted/pro.01net.com_editorial_559616_les-meilleures-techniques-informatiques-des-services-secrets-francais_.html

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