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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:24


http://www.lefigaro.fr/medias/2012/06/01/6c2e474c-abe8-11e1-aa9d-937d1b09365f-493x328.jpg
Depuis le GISTI le 4 mars

Lettre à Mme Taubira et M. Valls concernant des contrôles d’identité opérés au métro Robespierre
Madame Christiane TAUBIRA
Garde des sceaux, ministre de la justice
Monsieur Manuel VALLS
Ministre de l’intérieur

Madame la ministre,
Monsieur le ministre,

Depuis plusieurs semaines, des contrôles d’identité, fondés sur des réquisitions du procureur de la République selon les fonctionnaires de police, sont opérés aux abords du tribunal administratif de Montreuil-sous-Bois, à la sortie de la station de métro Robespierre. Ces contrôles ont généralement lieu en matinée, aux heures mêmes où se tiennent les audiences du tribunal administratif. Plusieurs témoins ont en outre constaté que seules les personnes de type africain ou maghrébin étaient la cible de ces contrôles.

Ces faits révèlent de graves dysfonctionnements au regard tant des conditions dans lesquelles les réquisitions du procureur de la République sont délivrées que des conditions dans lesquelles elles sont exécutées.

Sur le premier point, le procureur de la République n’ignore évidemment pas que de nombreuses audiences du tribunal administratif de Montreuil sont dédiées au contentieux des obligations de quitter le territoire français (OQTF).

Il va de soi que les audiences sont publiques et il est évidemment fortement conseillé aux requérants d’y être présents si bien que de nombreuses personnes, alors en situation irrégulière, s’y présentent quotidiennement, en empruntant notamment le métro.

Or, si elles ont fait l’objet d’une OQTF notifiée depuis plus d’un mois, ces personnes peuvent être retenues pour vérification de situation et faire l’objet d’un placement en rétention alors même qu’elles ont formé un recours sur lequel le tribunal doit précisément statuer.

Les contrôles aux abords du tribunal les menacent ainsi directement et ne peuvent que les dissuader de se présenter aux audiences où il est pourtant de leur intérêt légitime d’être entendues. Cette pratique constitue une entrave grave et intolérable à l’accès au juge.

Lire la suite :
http://www.gisti.org/spip.php?article3423

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 08:39


http://rue89.nouvelobs.com/sites/news/files/assets/image/2012/11/tarnac-justice-mark-kennedy.jpg
Depuis Le Jura Libertaire le 12 mars 2014

Son ombre planait sur l’affaire de Tarnac (Corrèze). Désormais, grâce à plusieurs documents judiciaires anglais obtenus par Le Monde, la volonté d’infiltration du sulfureux espion anglais Mark Kennedy auprès de Julien Coupat, considéré par les services de renseignements comme le leader du groupe issus de la « mouvance anarcho-autonome », est une certitude. Et son rôle de pourvoyeur d’informations pour les policiers français est attesté. Le 24 août 2008, le « rapport de suivi » de l’UCO 133 (undercover officer, « officier infiltré »), signé par son responsable hiérarchique, est ainsi mis à jour, « pour ajouter Julien Coupat aux personnes autorisées pour une infiltration spécifique par l’UCO ».

Dix personnes sont mises en examen, depuis novembre 2008, pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste » dans le dossier de Tarnac. Il leur est notamment reproché le sabotage de lignes TGV.

Le scandale qui a suivi la révélation des méthodes du policier anglais et de son service – provocations à la commission de délits, relations sexuelles avec les militantes, mensonges – n’en finit pas de provoquer des soubresauts judiciaires au Royaume-Uni.

Les documents témoignant du rôle de M. Kennedy dans l’affaire de Tarnac sont issus de l’une des procédures en cours à Londres. Les services du procureur ont autorisé la déclassification des rapports d’activité de Mark Kennedy de juin à août 2008.

Lire la suite :
http://juralib.noblogs.org/2014/03/12/interpol-la-poucave-tarnaque-3/

***
Depuis Rue 89 le 6 novembre 2012

Tarnac : quel rôle a vraiment joué le mystérieux espion anglais ?

Les dix personnes mises en examen dans l’affaire de Tarnac demandent à la justice de clarifier le rôle joué par un policier infiltré anglais, Mark Kennedy, dans la procédure engagée contre eux depuis 2008.

Les rencontres entre cet agent britannique et les jeunes de Tarnac, avant leur arrestation pour des sabotages SNCF, semblent avoir nourri l’accusation. Elles constituent l’une des énigmes de l’affaire.

L’avocat William Bourdon, qui défend Julien Coupat et ses co-inculpés, vient de déposer une demande d’acte sur le bureau de la juge d’instruction Jeanne Duye. Il l’invite à verser au dossier la totalité des notes de renseignement concernant ses clients. Selon le document que Rue89 a consulté :

« Un certain nombre d’informations ou d’allégations présentes tout au long de la procédure émanent de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), du fait de renseignements fournis par un policier “infiltré” anglais, monsieur Mark Kennedy. [...]

Il s’agit ici de démontrer que des éléments ont été délibérément dissimulés durant la procédure. »

Lire la suite :
http://rue89.nouvelobs.com/2012/11/06/tarnac-quel-role-vraiment-joue-le-mysterieux-espion-anglais-236786

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 11:12


http://s1.lemde.fr/image/2014/02/25/534x0/4373243_3_5a49_au-centre-socio-medico-judiciaire-de-surete_ba83a710f680c6a96f15ffd25d5108a3.jpg
Transmis par Céline le 22 février

Il n'y a pas foule, en rétention de sûreté. Quatre personnes (dont une par erreur) y ont été placées, depuis que la loi de 2008 permet de retenir des condamnés « particulièrement dangereux » une fois qu'ils ont purgé leur peine, une sorte de peine après la peine, prolongeable indéfiniment. Les quatre « retenus » ne sont ni détenus ni écroués, mais ne peuvent pas partir. Ils sont tous sortis après trois mois d'ennui profond à regarder la télé, sans trop comprendre ce qu'ils faisaient là – sauf l'un d'eux, un peu fragile, qui était volontaire, mais a dû partir quand même.

Le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, a publié mardi 25 février au Journal officiel un avis très sec sur « la mise en oeuvre de la rétention de sûreté », qui constate que ces gens n'étaient pas particulièrement dangereux et n'avaient rien à faire là, que les bases juridiques de la retenue sont « hasardeuses et incertaines » et que la prise en charge de ces personnes « n'existe pas ».

La rétention de sûreté, inventée en Allemagne en 1933, a été introduite en France par la loi du 25 février 2008 de Rachida Dati, alors garde des sceaux. Elle permet de placer en rétention les condamnés à des crimes très graves, punis d'au moins quinze ans de réclusion criminelle, une fois leur peine purgée, s'ils présentent « une particulière dangerosité caractérisée par une probabilité très élevée de récidive ». Cette « justice prédictive » avait choqué : pour la première fois en droit, « la dangerosité », un critère vague, était détachée de l'infraction.

LE CENTRE DE FRESNES, LE SEUL DE FRANCE

L'ex-garde des sceaux Robert Badinter avait dénoncé « une période sombre pour la justice » et le candidat Hollande avait promis de supprimer la rétention. Mais « le gouvernement et le président de la République semblent frappés d'amnésie, dénonce le Syndicat de la magistrature (gauche), la suppression de ces mesures n'est pas prévue dans le projet de réforme pénale. »

L'Etat a ainsi installé dix chambres, plutôt confortables, au troisième étage de l'hôpital-prison de Fresnes (Val-de-Marne) qui forment le « centre socio-médico-judiciaire de sûreté », le seul de France. Il est remarquablement désert : le Conseil constitutionnel a considéré en 2008 que la loi ne pouvait pas être rétroactive, et donc les condamnés à quinze ans de prison et une rétention de sûreté à partir de 2008 n'y seront admis qu'en 2023 – 2020 si l'on considère les possibles réductions de peine.

Mais l'esprit de la décision a été contourné, et une nouvelle loi du 10 mars 2010 a permis d'y conduire une autre catégorie de personnes : les condamnés à des peines de quinze ans dont la cour d'assises n'a pas ordonné une rétention de sûreté mais « une surveillance judiciaire », qui peut, après la peine, être transformée en surveillance de sûreté.

« ON TRANSFORME CE CENTRE EN MOUROIR »

Si les obligations de la surveillance n'ont pas été respectées, elle se transforme en rétention de sûreté. C'est le cas des quatre retenus du contrôleur général : l'un n'avait pas respecté son obligation de soins psychiatriques et de résidence ; le second n'avait pas le droit d'aller au café et dans des lieux accueillant des mineurs, les trois et quatrièmes avaient manqué trop de rendez-vous chez les médecins. Le dernier, condamné à dix ans, n'avait rien à faire là : son placement a été levé après quatre-vingt-huit jours de privation de liberté irrégulière.

Le contrôleur a trois interrogations : ces quatre personnes justifiaient-elles d'une particulière dangerosité ? « La réponse est évidemment non », estime M. Delarue. La commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté avait d'ailleurs rendu un avis défavorable pour deux d'entre eux. Deuxième souci, la loi de 2008 prévoit « une prise en charge médicale, sociale et psychologique », or il n'y a rien à faire à Fresnes. « La prise en charge est à l'état embryonnaire, on transforme ce centre en mouroir. » Aucune personne « n'a bénéficié d'un suivi spécialisé ouvert aux auteurs d'infractions à caractère sexuel ».

Dernier problème, grave sur le plan des principes, « l'incertitude sur le fondement juridique ». Les quatre retenus ont été condamnés dans les années 2000, alors que n'existaient ni la surveillance judiciaire, ni la surveillance de sûreté. Or la loi n'est pas rétroactive. « On ne peut pas additionner des dispositifs de contrainte qui n'étaient pas prévus lors de la condamnation », estime Jean-Marie Delarue. La Cour européenne des droits de l'homme a estimé que la rétention de sûreté était possible, mais qu'elle était bien une peine. Le Conseil constitutionnel a jugé du contraire. « Ce débat n'est pas clairement tranché en France, a conclu Jean-Marie Delarue, et ce mécanisme est pour le moins hasardeux et incertain. »

Source :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/02/26/le-fondement-juridique-de-la-retention-de-surete-juge-hasardeux-et-incertain_4373627_3224.html

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 12:32


http://img.over-blog-kiwi.com/0/66/42/42/20140306/ob_077240_manif-soutien-inculp-s-tarnac09.jpg
Transmis par Jean-Jacques le 16 février

Le 14 février 2014

Par Christophe Becker, Mathieu Burnel, Julien Coupat, Bertrand Deveaud, Manon Glibert, Gabrielle Hallez, Elsa Hauck, Yildune Lévy, Benjamin Rosoux, Aria Thomas, mis en examen dans l'« affaire de Tarnac », notamment pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

L'antiterrorisme est magique. Il a non seulement l'art de faire passer des chihuahuas pour des loups, mais en outre celui de faire taire toute protestation à son sujet.

Deux lycéens de 15 et 16 ans dont on s'alarmait en janvier, entre compassion et surprise, qu'ils aient pris le chemin de la Syrie sont ainsi devenus à la fin du mois des « apprentis djihadistes » sous contrôle judiciaire. Et nul ne moufte.

Deux gamins mis en examen pour « participation à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste », deux gamins ramenés de Turquie par des proches et cueillis à leur retour par la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) en guise de comité d'accueil. Tout est dans l'ordre, passons à la suite.

Un enquêteur qui déclare qu'il s'agit en fait de « décourager les autres petits jeunes radicalisés sur Internet qui auraient l'intention de se rendre là-bas », qui déclare donc que l'on inculpe des gens pour intimider les autres, et nul ne s'en émeut.

Un ministre de l'intérieur qui multiplie par trois le nombre, déjà gonflé par les services, des Français qui seraient actuellement en Syrie à combattre l'armée de Bachar Al-Assad, et personne pour noter la magouille.

Il faut dire que sans le genre de petites opérations de terreur discursive dont l'antiterrorisme est coutumier, on n'aurait pu si simplement tordre le cou à l'évidence.

Ce qu'il y a de sidérant, c'est évidemment que depuis trois ans on laisse un peuple se faire massacrer, bombarder, torturer, gazer par tout un appareil contre-insurrectionnel déchaîné, et non que des jeunes gens trouvent cela intolérable et décident d'agir en conséquence.

C'EST EUX OU NOUS

Moralement, il est vrai, c'est eux ou nous : ou bien nous sommes des lâches, des cyniques, des cœurs tannés qui assistent tranquillement au carnage du fond de nos sofas, ou bien nous avons affaire à des « monstres embrigadés en un mois sur Internet » au terme d'un « processus d'autoradicalisation fulgurant ».

Ici, gober le bobard est le prix à payer pour notre confort moral. En d'autres temps, on n'aurait pas attendu pour monter des brigades internationales de volontaires auxquelles auraient participé de futurs George Orwell, et c'est bien sûr de ne l'avoir pas fait que nous avons, en lieu et place, des Brigades Al-Nosra et des otages.

Rééduquer par l'antiterrorisme des gamins de 15 ans, voilà qui permet à bon compte de faire un peu oublier la contradiction saignante entre la position officielle de la France envers le régime syrien et sa paralysie effective. Nous disions, à peine arrêtés, que l'antiterrorisme ne ciblait pas centralement ceux sur qui il s'abat, mais l'ensemble de la population ; qu'il n'était donc pas une procédure judiciaire, mais un mode de gouvernement.

Depuis lors, les révélations d'Edward Snowden sur les activités de la NSA ont achevé d'en administrer la preuve : c'est au nom de l'antiterrorisme que l'on espionne la totalité de la population, et au nom de l'antiterrorisme que Barack Obama entend rendre cela acceptable.

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/02/14/a-droite-comme-a-gauche-l-antiterrorisme-est-un-mode-de-gouvernement_4366213_3232.html

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 06:23

Bavure
Policiers et gendarmes : un code de déontologie commun à partir du 1er janvier 2014

Publié le 10.12.2013 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

À compter du 1er janvier 2014, le nouveau code de déontologie de la police nationale et de la gendarmerie nationale entre en vigueur. C’est ce que précise notamment un décret publié au Journal officiel du vendredi 6 décembre 2013.

Devoirs du policier et du gendarme

Ce code définit d’abord les devoirs du policier et du gendarme : secret professionnel, devoir de discrétion, probité, discernement, impartialité, dignité et non cumul d’activité.

Relation avec la population et respect des libertés
  • Le policier ou le gendarme est au service de la population. C’est pourquoi, il est respectueux de la dignité des personnes et préfère l’usage du vouvoiement.
  • Lorsque la loi l’autorise à procéder à un contrôle d’identité, il ne se fonde sur aucune caractéristique physique ou aucun signe distinctif pour déterminer les personnes à contrôler, sauf s’il dispose d’un signalement précis motivant le contrôle. La palpation de sécurité qui ne revêt pas un caractère systématique a pour finalité de vérifier que la personne contrôlée n’est pas porteuse d’un objet dangereux pour elle-même ou pour autrui, cette palpation étant pratiquée à l’abri du regard du public chaque fois que les circonstances le permettent.
  • Toute personne appréhendée est préservée de toute forme de violence et de tout traitement inhumain ou dégradant. Nul ne peut être intégralement dévêtu sauf lorsque cela s’avère indispensable pour les nécessités de l’enquête. Par ailleurs, l’utilisation du port des menottes ou des entraves n’est justifiée que lorsque la personne appréhendée est considérée soit comme dangereuse pour autrui ou pour elle-même, soit comme susceptible de tenter de s’enfuir.
  • Le policier ou le gendarme emploie la force dans le cadre fixé par la loi, seulement lorsque c’est nécessaire, et de façon proportionnée au but à atteindre ou à la gravité de la menace, selon le cas.

Les règles déontologiques énoncées dans ce code procèdent de la Constitution, des traités internationaux, notamment de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, des principes généraux du droit et des lois et règlements de la République.

lu sur http://www.service-public.fr/actualites/002911.html?xtor=EPR-140
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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 09:26


http://www.sudouest.fr/images/2013/11/02/1217801_3083034_460x306.jpg
Le 2 novembre 2013

Le nouveau radar embarqué des gendarmes traque en toute discrétion les automobilistes dépassant les limites autorisées.

C’est une voiture comme les autres, qui semble bien inoffensive quand vous la croisez ou la doublez, mais qui ne laisse pourtant aucune chance aux automobilistes qui ont le pied trop lourd sur l’accélérateur.

Arrivée en Dordogne il y a quelques semaines, (ou en Gironde) cette voiture banalisée est dotée d’un radar mobile de nouvelle génération. L’engin est dissimulé dans la plaque d’immatriculation du véhicule et équipé d’un flash avec filtre infrarouge. Il est indétectable pour les automobilistes verbalisés. Ce dispositif, relié à une tablette numérique et à un boîtier électronique dans le coffre, permet d’effectuer des contrôles par tout type de temps, de jour comme de nuit.

« Avec ce radar, on va chercher à prendre les grandes vitesses et les comportements dangereux qui participent à la survenue d’accidents. Ils vont représenter 20 % des véhicules qui seront contrôlés », explique le gendarme Jean-Christophe Langlade, rattaché au peloton motorisé de Saint-Astier, qui a suivi une formation spécifique avec un autre militaire pour utiliser le nouveau radar et former à son tour ses collègues.

Ce jour-là, le gendarme Langlade fait équipe avec le capitaine Philippe Cabantous, qui commande l’Escadron départemental de sécurité routière (EDSR) de Dordogne. Les contrôles sont toujours réalisés en duo : un conducteur et un opérateur qui va voyager avec une tablette de contrôle à la main. « Il faut sans cesse être vigilant au changement de vitesse pour ajuster les contrôles et anticiper. Nous avons toutes les limitations du code de la route entre 50 et 130 km/h », précise le gendarme Langlade.

Lire la suite :
http://www.sudouest.fr/2013/11/02/a-bord-de-la-voi-ture-radar-1217801-1961.php

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 08:34


http://images.lpcdn.ca/641x427/201303/28/667640.jpg
Transmis par Philippe le 5 octobre

A Lyon, politique du chiffre oblige, la préfecture traque et enferme les sans-papiers jour et nuit.
Parmi eux, les Tunisiens figurent en première place au palmarès des nationalités enfermées au Centre de Rétention Administratif de l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. C’est bien connu, depuis le printemps arabe, tous les pays d’Afrique du Nord sont des modèles de démocratie... Si leurs citoyens pensaient prétexter une éventuelle instabilité politique ou un régime islamiste un peu trop sectaire pour venir se réfugier en France, le pouvoir socialiste, les policiers et le procureur de Lyon sont là pour leur rappeler qu’ils se fourrent le doigt dans l’œil.

Mercredi 2 octobre, selon une information de Rue 89 Lyon (1), un sans-papiers tunisien comparait donc devant le Juge des Libertés et de la Détention qui doit statuer sur son maintien ou non au Centre de Rétention Administratif.

Alors que le juge examine le cas d’un autre sans-papiers, le jeune homme de 22 ans s’asperge d’un liquide inflammable et allume un briquet. « Il était assis, il a allumé le feu sur sa personne, son pull a commencé à brûler, il a fallu que les fonctionnaires de police se jettent sur lui pour stopper le feu» explique son avocat. Légèrement blessé, il est conduit à l’hôpital pour soigner ses blessures, heureusement superficielles, et en ressort rapidement.

Lire la suite :
http://blogs.mediapart.fr/blog/philippe-alain/051013/un-sans-papiers-s-immole-par-le-feu-le-procureur-le-poursuit

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 10:40


http://referentiel.nouvelobs.com/file/6075168-hadopi-le-debut-de-la-fin.jpg
Le 9 juillet 2013

Le gouvernement abroge la sanction qui consistait à couper l'accès à internet, premier pas vers la suppression de l'autorité de lutte contre le téléchargement illégal.

"Le présent décret abroge le III de l'article R. 335-5 du code de la propriété intellectuelle." Le gouvernement aura attendu moins de deux mois pour commencer à enterrer l'Hadopi, autorité de lutte contre le téléchargement illégal mise en place sous Nicolas Sarkozy. L'abrogation, ce mardi 9 juillet, de la décriée sanction de suspension de l'accès à internet pour téléchargement apparaît comme un premier pas vers la mort promise à l'Hadopi.

Malgré la fin de cette sanction pénale, le téléchargement illégal continue d'être puni par "une peine d'amende" allant jusqu'à 1.500 euros, après trois avertissements.

"Tout ça pour ça" ?

En trois ans d'activité, l'Hadopi affiche un bilan mitigé. Seul un internaute a été condamné à une suspension de son accès internet pour 15 jours (et à une amende de 600 euros). Deux autres Français ont été condamnés, le premier à 150 euros d'amende, le second reconnu coupable mais sans amende. On est loin des 50.000 coupures d'accès à internet par an, prévues par le ministère de la Justice en 2009.

Côté recommandations, deux millions d'e-mails d'avertissement ont été adressés au total, dont 186.000 en tant que seconde remontrance. Plusieurs dossiers sont encore en cours d'examen par les parquets - en octobre, l'Hadopi évoquait 18 dossiers.

Lire la suite :
http://obsession.nouvelobs.com/high-tech/20130709.OBS8670/hadopi-le-debut-de-la-fin.html

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 08:08


http://www.alsacelibertaire.net/spip/IMG/png/logo_mr_1.7_medium.png
Depuis L'Alsace Libertaire le 25 juin 2013

Le premier avril 2013, le site web du Monde [1] dévoilait l’existence d’une nouvelle technologie utilisée par la police de Los Angeles. Celle-ci serait capable de « prédire le crime » via des algorithmes mathématiques travaillant sur d’énormes bases de données concernant les délits déjà effectués, le profil des « délinquants » etc...

En couplant ces mathématiques de haut niveau (travail sur des nuages de points et probabilités) avec des caméras permettant de mesurer le rythme cardiaque, les dilatations des pupilles, la température des passants, la police serait capable d’intercepter des individus sous le concept de « mal intention » avec une efficacité de 70%.

Cet article a pour objectif d’informer sur le fonctionnements de ces technologies, leur destinataires et les entreprises les commercialisant.

Une technologie pas si récente que cela : le cas de l’entreprise Majority Report

Bien que l’on puisse supposer que les premiers clients de ce type de technologies ont été les armées la véritable démocratisation de ces dernières n’est pas militaire mais commerciale. Qui n’est jamais passé devant une publicité vidéo ?

En effet, depuis 2009, nombre d’entre elles utilisent déjà ces technologies intrusives qui permettent de mesurer la réceptivité des passants-consommateurs aux messages publicitaires déployés [2]. En plus de compter le nombre de « cibles », ces publicités "intelligentes"  [3] analysent le comportement de ces derniers via une foule de capteurs. En France, l’une des entreprises fabricant ces capteurs est Majority Report (sic !).

Sur leur site web, ils en proposent une ribambelle à mettre en place aux noms plus explicites les uns que les autres (Blue Kiosk,s-track, facetracker, bright eyes et RFKiosk) [4]

Plus concrètement et dans un novlangue parfait :« Majority report measures and describes consumer behavior in all kinds of marketing and cultural situation ».

Lire la suite :
http://www.alsacelibertaire.net/spip/spip.php?article129

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:36


http://referentiel.nouvelobs.com/file/6270631-taubira-detaille-sa-reforme-penale-a-la-rochelle.jpg
Le 24 août 2013

La Garde des Sceaux a mis en avant la "peine de probation" et différentes mesures "qui assurent la sécurité des Français". 

Christiane Taubira a détaillé samedi 24 août à l'université d'été du PS sa future, et controversée, réforme pénale, confirmant la création d'une "peine de probation", hors prison, et de mesures pour renforcer les sorties aménagées de détention.

La garde des Sceaux, qu'une polémique à distance a opposée à son collègue de l'Intérieur Manuel Valls autour de ce projet, a été accueillie par une "standing ovation". Elle a livré une violente charge contre 10 années de politique de droite caractérisée par "la fermeté dans les mots et le creux dans l'action" et qui ont selon elle abouti à ce que "la prison ne peut pas remplir son rôle".

Elle a qualifié son projet de "réforme sérieuse, rigoureuse, qui assure la sécurité des Français" en permettant d'améliorer la réinsertion par la "construction avec le détenu d'un projet pour lui permettre de devenir à sa sortie un citoyen libre et responsable".

Alors que les fuites se sont multipliées autour du texte, sur lequel la ministre de la Justice a reconnu que les derniers arbitrages restaient à rendre, Christiane Taubira a notamment confirmé la création d'une "peine de probation, (...) en milieu ouvert, restrictive de liberté que nous appelons la contrainte pénale".

Elle ne concernera que les délits punis de 5 ans de prison ou moins et les juges pourront "bien entendu" prononcer à la place des peines de prison.

Lire la suite :
http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20130824.OBS4262/taubira-veut-creer-une-peine-de-probation-en-milieu-ouvert.html

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 08:30


http://vallsgironde.files.wordpress.com/2011/09/manuel-valls1.jpg?w=510&h=255
Le 20 août 2013

Le ministre de l’Intérieur rêve de « forces de l’ordre 3.0 » d’ici 2025. Mais que diable veut-il dire ? Rue89 a trois pistes.

Jouons aux devinettes avec le ministre de l’Intérieur. Dans sa contribution au séminaire sur la France de 2025, Manuel Valls appelle de ses vœux « des forces de l’ordre 3.0 efficaces, proches de la population et à la pointe des avancées technologiques ».

Des « forces de l’ordre 3.0 », qu’est-ce que ça veut dire ? Le ministre développe :

« La police et la gendarmerie doivent réaliser le saut technologique qui s’impose à elles : utilisation accrue des technologies existantes (biométrie, intelligence artificielle, vidéo, équipements intelligents, etc.) et celles qui verront le jour d’ici là.

Il s’agit également de se doter des outils et des compétences humaines pour faire face aux nouvelles menaces : cybercriminalité ou encore fraudes à l’identité. »

Jusque-là, c’est compréhensible. La suite moins :

« Les évolutions technologiques ne servent pas que les activités d’enquête : une police et une gendarmerie 2.0 – et demain 3.0 –, grâce à une présence marquée et au développement d’outils sur Internet, ont l’occasion de renforcer le lien avec la population. »

Pas sûr d’avoir compris ce que voulait dire Manuel Valls – qu’il nous gratifie de sa magnanime indulgence –, Rue89 avance trois hypothèses.

Lire la suite :
http://www.rue89.com/2013/08/20/police-30-manuel-valls-formule-magique-mysterieuse-245068

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 08:13


http://www.sudouest.fr/images/2013/06/24/un-radar-embarque-est-operationnel-depuis-la-mi-avril-en_1259179_460x306.jpg
Le 24 juin 2013

CARTE - Au total, 300 nouveaux appareils de ce type seront déployés dans l'hexagone d'ici trois ans.

Cent radars mobiles embarqués de nouvelle génération, qui flashent les excès de vitesse en roulant, seront déployés au total d'ici à la fin décembre, a annoncé le délégué interministériel à la Sécurité routière Frédéric Péchenard.

Dans une interview publiée lundi par Le Figaro (article payant), ce dernier précise que 40 radars mobiles de nouvelle génération fonctionneront fin juin pour un programme, prévu de 300 appareils en trois ans.

Ces nouveaux radars pourront, après des essais en "juillet sur le terrain, flasher dans les deux sens", a prévenu ce responsable. 

Vendredi dernier, dans une interview au Parisien, le délégué interministériel à la Sécurité routière annonçait également que les appareils "classiques" seront modernisés. "Les vieux modèles seront progressivement remplacés par des radars plus intelligents, plus efficaces", dit-il en citant notamment "les radars tronçons, qui permettent de calculer la vitesse moyenne d'un automobiliste sur une portion de 1 à 20 km".

Pour le délégué à la sécurité routière, l'objectif du gouvernement est de "passer sous la barre des 2.000 morts par an à l'horizon 2020", alors que "l'an dernier, 3.645 personnes ont perdu la vie" sur les routes.

Le parc de radars français comptera 4200 unités à la fin de l'année 2013.

>> LA CARTE DES RADARS DANS LE SUD-OUEST
http://www.sudouest.fr/carte-des-radars/

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Complément d'info

Les nouveaux radars mobiles ne pourront pas vous louper
http://www.sudouest.fr/2013/02/28/les-nouveaux-radars-mobiles-ne-pourront-pas-vous-louper-980466-3.php

Source :
http://www.sudouest.fr/2013/06/24/100-nouveaux-radars-mobiles-embarques-deployes-en-france-d-ici-decembre-1095128-3.php

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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 08:43


http://www.sudouest.fr/images/2013/06/23/1094041_1751556_460x306.jpg
Le 23 juin 2013

Le maire, seul maître du montant des PV ? 63% des Français contre

Un amendement adopté par le Sénat prévoit que les édiles fixent le montant des amendes. Six Français sur dix craignent que les tarifs s'envolent.

D’apparence anodine, le sujet est en fait sensible. Car il touche au portefeuille des administrés et donc des électeurs. La politique du stationnement est devenue centrale pour nombre de municipalités.

Elle doit être un juste équilibre entre offre de places, confort des résidants, fluidité de la circulation, rotation des véhicules pour lutter contre les voitures-ventouses, accessibilité des commerces, utilisation des transports collectifs.

35 €) En France, une heure de stationnement sur la voirie coûte en moyenne 1,20 €. Actuellement, en cas de non-paiement, une amende forfaitaire de stationnement de 17 € (majorée à est appliquée.

Lire la suite :
http://www.sudouest.fr/2013/06/23/le-maire-seul-maitre-du-montant-des-pv-1094041-3452.php

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