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3 octobre 2013 4 03 /10 /octobre /2013 10:09


http://img.over-blog-kiwi.com/0/70/94/03/201309/ob_d4796a1e6985e0d6646e620b11f54315_arton253-jpg.jpeg
Le 29 septembre 2013.

Communiqué du collectif de soutien à m. et de l’Orchestre Poétique d’Avant-guerre

Affaire Planterose - Nouvelle garde à vue pour les membres du D.A.L33

Voilà plus de deux mois aujourd’hui que 25 policiers de Bordeaux ont été mobilisés afin de perquisitionner, à 7h du matin, l’appartement de quatre militant-e-s du D.A.L (Droit Au Logement) et les mener en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour « violation de domicile et dégradation ».

Pour m., cueillie au pied du lit, cette perquisition surprise la prive d’un coup de l’ensemble de ses outils de création et de communication.

La police repart en effet avec :

    - son ordinateur fixe
    - son ordinateur portable
    - ses deux disques durs externes
    - ses clés USB
    - son téléphone portable
    - divers documents

Lire ici :
http://soutien-m.over-blog.com/o.p.a-perquisition-saisies-garde-%C3%A0-vue-pour-mr

Pour elle, c’est une nouvelle étape dans la répression et l’oppression qu’elle subit depuis plusieurs années.
http://soutien-m.over-blog.com/de-l-oppression-%C3%A0-la-r%C3%A9pression-m.-dans-l-oeil-du-viseur

Après 12h de garde à vue, les quatre militant-e-s du D.A.L ressortent libres de l’hôtel de police et le capitaine Merle qui mène l’enquête promet à m. de faire au plus vite pour que ses affaires lui soient rendues la semaine suivante.
http://dal33.over-blog.com/communiqu%C3%A9-du-d.a.l-gironde

Mais l’été se passe et ni m. ni ses camarades ne sont convoqué-e-s afin que leurs affaires leurs soient restituées.

Le 17 septembre, ils reçoivent bien cependant une convocation mais il s’agit de répondre une fois de plus aux enquêteurs.

Le 19 septembre, ils sont 5 à devoir se rendre à l’hôtel de police à 8h du matin sous peine, leurs dit-on quand certains essaient de décaler ce rendez-vous, de se voir immédiatement placés dans le fichier national des personnes recherchées.

Ils s’y rendent donc, déterminés à ne pas faire trainer cette audition libre dont la durée ne peut excéder 4h et qu’ils peuvent quitter à tout moment.

Mais leur détermination ne peut rien face à la machine répressive de l’Etat. Sitôt leur arrivée, les militant-e-s sont de nouveau placés en garde à vue.

Ils apprennent qu’elle est la suite normale de leur première deux mois auparavant. Il faut savoir qu’une garde-à-vue pour des délits passibles d’au moins un an de prison (ce qui est le cas pour la violation de domicile) peuvent aller jusqu’à 48h et que les enquêteurs ont tout le loisir de « saucissonner » la durée de cette garde-à-vue à leur convenance.

Voilà donc de nouveau les militant-e-s emprisonné-e-s pour 10h.

Au moment de leur libération, alors que la chaine de solidarité mise en place a bien fonctionné et qu’une trentaine de personnes sont venues les attendre, le capitaine Merle promet de nouveau à m. que la semaine suivante toutes ses affaires lui seront rendues.

Elle lui répond qu’elle a déjà entendu ça il y a deux mois et que tant qu’aucun papier officiel ne lui indiquera qu’elle peut venir récupérer son bien, elle ne le croit pas.

La semaine s’achève et pas de papier officiel à l’horizon...

Il parait que M. Valls a été ému par l’article du Figaro relatant l’affaire Planterose et nauséabondement intitulé « Bordeaux - Une octogénaire mise à la rue par des Bulgares ».

Avec tout ce que l’on sait de lui maintenant, il n’est pas surprenant qu’il veuille se montrer ferme en tout endroit qui pourrait flatter les basses pensées des Français.

Lire la suite :
http://www.opa33.org/nouvelle-garde-a-vue-pour-m-et-les-membres-du-d-a-l-33.html

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:45


http://www.opa33.org/IMG/arton254.jpg
Pour signer la pétition :
http://www.change.org/fr/pétitions/france-soutien-à-m-non-au-harcèlement-policier-et-à-la-répression

***
Soutien à m.  - Pour que cessent le harcèlement policier, la répression et l'oppression !

m. est une poète, militante, activiste qui met sa voix, sa plume, son cœur et beaucoup de  son énergie dans une lutte pacifique aux cotés des exclu-es et des opprimé-es de Bordeaux et d'ailleurs.

Elle participe à construire et à diffuser une vision alternative d'une société où l'autonomie, le partage des savoirs, la solidarité, l'Amour sont les bases d'un monde juste, cet autre monde possible qui est en marche.

Depuis plus de 15 ans, au sein du collectif d'artistes l'Orchestre Poétique d'Avant-guerre [O.P.A], elle organise et/ou participe à de nombreux concerts de soutien, écrit et met en scène des spectacles poétiques, à caractère souvent social.

Pour elle, l'acte doit être joint à la parole et la politique - tout comme la rue - demeure un espace à se réapproprier.

Lire ici son parcours militant :
http://soutien-m.over-blog.com/parcours-militant-m.-c%C3%B4t%C3%A9-pile

Mais la France n'est pas/plus cet Etat de droit où l'on peut militer pacifiquement sans craindre les foudres du pouvoir.

Depuis 2006, m. est la cible d'une oppression et d'une répression tout à fait symptomatiques du recul de la liberté d'expression et de la liberté tout court dans notre pays pourtant auto-qualifié de "démocratique".

Au fur et à mesure de la mise en place de la société de contrôle - dont nous voyons tous les jours les effets pervers -, m., comme nombre de militant-e-s considéré-e-s comme des dangers pour la sécurité intérieure, connaît un harcèlement policier qui va sans cesse croissant.

De sa première arrestation en 2006 pour avoir distribué des tracts appelant au boycott des élections municipales à la perquisition de son appartement en juillet 2013, en passant par son passage à tabac par les forces de l'ordre en 2009, m. vit une oppression quotidienne qui aujourd'hui l'oblige à user de prudence et à tenter de se défendre face à la machine à broyer étatique.

Lire ici la chronologie de sa répression :
http://soutien-m.over-blog.com/de-l-oppression-%C3%A0-la-r%C3%A9pression-m.-dans-l-oeil-du-viseur

En juillet 2013, depuis l’affaire de l’occupation d’un immeuble de Bordeaux par des familles de migrants, le Droit Au Logement, association dont m. est un membre actif, est dans le collimateur de l’extrême-droite et de la police.

Le 18 juillet, la police, qui jusque là n'avait jamais trouvé de prétexte pour rentrer chez m., sonne chez elle à 7h du matin pour lui signifier sa garde à vue immédiate et la perquisition complète de son domicile.

Les policiers en sont repartis avec :
- son ordinateur fixe ;
- son ordinateur portable ;
- ses deux disques durs externes ;
- ses clés USB ;
- son téléphone portable ;
- son carnet de notes et divers documents personnels.

Voir ici les explications de m. en vidéo :
http://soutien-m.over-blog.com/o.p.a-perquisition-saisies-garde-%C3%A0-vue-pour-m

Cette perquisition la prive donc de tous ses outils professionnels, de 25 années de travail et l'empêche concrètement de poursuivre ses projets en cours.

Aujourd'hui, m. ne peut plus se défendre seule face au danger qui la menace et la censure dont elle est l'objet.

L'attention que nous devons porter aux faits que des artistes soient la cible d'une extrême répression doit nous conduire à s'interroger sur la société dans laquelle nous vivons et vivent nos enfants.

Alors que la crise économique monopolise les quelques luttes "massives" que nous consentons à mener ces dernières années, nous sommes si peu nombreux à descendre dans la rue quand la police assassine notre jeunesse et n'est jamais condamnée, quand elle violente les militant-e-s est n'est jamais inquiétée, quand elle enferme, frappe et mutile celles et ceux qui osent dire non et se déclarent insoumis sans qu’elle ne soit jamais montrer du doigt.

Dans le même temps, tant de caméras, de fichages, d'empreintes, de traçages... nous envisagent et nous dévisagent comme autant de délinquant-e-s potentiel-les.

La poésie est une arme et les Etats totalitaires ont toujours éliminé les vecteurs d'une pensée moins archaïque : les poètes en prison sont autant de rage et de combativité arrachées aux muscles et au coeur du peuple.

Il devient donc urgent de se montrer solidaires des lanceurs d'alertes qui comme m. nous tiennent informé-e-s et luttent sans rechigner à la reconquête de nos libertés perdues.

Il devient urgent de refuser qu'une personne véhiculant des idées humanistes soit ainsi harcelée alors que dorment tranquilles les marchands de sommeil, les escrocs financiers, les politicien-nes corrompu-e-s, les grands patrons combinards : tous ces intouchables qui font qu’aujourd’hui en France la justice est un mot auquel il faut donner un sens alors qu’enchaînée au pouvoir politique, elle protège les forts contre les faibles.

Signer cette pétition de soutien à m., c’est faire un geste vers ce désir impérieux de liberté qui nous habite tous et toutes, c’est dire que nous ne laisserons pas les poètes privés de leur plume, c’est refuser un régime de terreur sournoise, c’est faire en sorte que la pression change de camp, et que si l’on ne nous entend pas, la rue est à nous !

Merci de votre signature ! Merci de faire suivre dans vos réseaux.

« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ! »

Le collectif de soutien à m.

***
Pour signer la pétition :
http://www.change.org/fr/pétitions/france-soutien-à-m-non-au-harcèlement-policier-et-à-la-répression

Le blog de soutien :
http://soutien-m.over-blog.com/

Le facebook de soutien :
https://www.facebook.com/pages/Page-de-soutien-%C3%A0-m-po%C3%A8te-activiste-pour-OPA/498408073560797

Le site officiel d'O.P.A :
http://www.opa33.org/

Le collectif Contre Les Abus Policiers - Bordeaux - (C.L.A.P33) :
http://clap33.over-blog.com/

Les vidéos officielles d'O.P.A :
http://www.youtube.com/33OPA

O.P.A - Informations des Autres Mondes :
http://opa-infos.over-blog.com/

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 15:34


http://www.noirgazier.lautre.net/wp-content/uploads/la-zad-est-partout.jpg
Le 8 septembre 2013.

Le mercredi 11 septembre à 9h un jeune militant de la Gauche Indépendantiste bretonne et opposant au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes sera jugé en CRPC au tribunal d’instance de Nantes.

Rappel des faits : le 27 octobre 2012, 11 jours après le début des actions militaires et policières sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, le jeune militant G. participait à une manifestation anti-aéroport. Au passage devant la préfecture de Nantes, il serait alors monté sur la façade et aurait décrocher l’étendard tricolore sous les applaudissements des 3000 manifestants.

Mais la manœuvre n’est pas aisée et le drapeau lui glisse des mains et tombe à terre. Le tissus tricolore est alors ramassé par les policiers qui sont au pied du bâtiment. Sans contact avec les forces de l’ordre et sans contrôle d’identité, le jeune militant rejoint le groupe des manifestants.

    L’affaire pouvait s’arrêter là.

Mais le 31 octobre 2012 au matin, trois policiers se présentent au domicile du militant, et procèdent à une perquisition. Placé en garde à vue, il est emmené au commissariat où on lui fait avouer avoir décroché le drapeau. Puis il a refusé le prélèvement ADN.

Il sera jugé mercredi matin.

Il comparaîtra pour «vol» du drapeau et risque 15 000 euro d’amende et un an d’emprisonnement pour refus de prélèvement ADN. BREIZHISTANCE, le parti de la Gauche Indépendantiste bretonne pour lequel il milite, appelle toutes celles et ceux qui le pourront à aller le soutenir devant le tribunal.

Source :
http://7seizh.info/2013/09/08/un-militant-independantiste-breton-au-tribunal-le-11-septembre-pour-vol-de-drapeau-francais/

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 10:01


http://bayareacopwatch.files.wordpress.com/2010/10/copwatch.png
Yep !

L'info a été reçu début du mois dernier mais nous avions omis de vous la transmettre.

C'est fait car c'est toujours d'actualité !

Tous ensemble, ouais !

***
Le 8 juillet 2013

Un copwatcheur et opposant aux fichages ADN et biométrique a besoin de notre aide !

Ami(e)s en lutte, bonjour !

De mon action légale de filmer des policiers quelque peu inquiétants (COWATCHING), avait résulté une accusation de violences volontaires sur agent (ben voyons !) pour laquelle j'avais été relaxé. Ouf.

Pour tous les détails, voir sur :
http://resistons.lautre.net/spip.php?article498

Pour l'appel :
http://www.millebabords.org/spip.php?article22856

Cependant, bien que je sois innocent donc, je me suis tout de même retrouvé condamné à 1000€ avec sursis pour refus de fichage biométrique en garde-à-vue.

Or il se trouve que je suis depuis le 3 juillet en récidive de refus de fichage biométrique (je ne plierai pas là-dessus : les fulgurants progrès de l'identification informatisée du visage sont aussi dangereux pour la société civile que l'est le fichage ADN), ce qui signifie que mon sursis va très certainement se muter en peine ferme.

J'ai de plus eu à payer 500€ supplémentaires de frais de justice pour ma défense, en 1ère instance (totalement pris en charge par la solidarité – quel bonheur !) puis encore 1000€ en appel.

Vouloir protéger des jeunes garçons livrés aux mains d'une police aux relents racistes m'aurait donc coûté 2500€, si 500€ n'avaient pas déjà été pris en charge par la solidarité (grand merci !).

Pour continuer à me soutenir dans cette lutte contre la domination policière (et contre le monde qu'elle défend), toute aide financière (même modeste) sera la très bienvenue. Non que je sois dans le besoin le plus strict, mais parce qu'il me paraît important que je ne porte pas « en martyr » les coûts de cette action qu'il serait chouette de généraliser, pour pulvériser le sentiment de toute puissance des flics ...

Vous pouvez me soutenir en m'envoyant un chèque à l'adresse suivante :
Michel Dartois
Chez Léonie Ferry
2, place de La Rochelle
44200 Nantes

Ou bien me soutenir par un virement sur le compte suivant, en me signalant le virement par mail à micheldartois@laposte.net (pour que je puisse m’y retrouver dans les comptes) :

Titulaire : M. Dartois Michel ; Banque Postale ; centre financier de Ajaccio
ETABL. GUICHET N° COMPTE CLE RIB
20041    01000    0244459D021    56

Je vous en remercierai mille fois ! Vive l'indocilité !

Michel

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7 août 2013 3 07 /08 /août /2013 13:28


http://www.magazine-slr.fr/wp-content/uploads/2011/10/COMPILE-ANTI-DELATION-WEB-290x290.jpg
Transmis par le Collectif de Résistance à la délation le 30 juillet 2013

2 Travailleurs sociaux en Prévention spécialisée de Meurthe et Moselle refusant de fournir des listes nominatives de jeunes, menacés de licenciement !

La nouvelle association employeuse depuis janvier 2013 « JEUNES ET CITE », sur mission de service public confiée pour le Conseil Général, demande à chaque éducateur la liste nominative des jeunes suivis en 2012, alors qu’ils n’étaient pas encore salariés de cette association. Rajoutons qu’il s’agit d’un service de prévention spécialisée dont l’un des principes de base est l’anonymat. Leur nouvelle direction les menace de licenciement suite à leur courageux refus !

Voici le témoignage de Jean-Christophe BERCHE, travailleur social :

« Notre histoire est la suivante :

Le 20 janvier 2013, 8 salariés de l’association de prévention spécialisée “Vivre dans la Ville” à Vandoeuvre (54) ont été transférés, sur décision du Conseil Général 54, à l’association “Jeunes et Cité”. Les raisons invoquées étaient la nécessité de faire des économies d’échelles (un poste de directeur et un poste de secrétaire ont été supprimés).

L’association repreneuse ne voulait pas de cette équipe militante (29 jours de grève entre décembre 2011 et février 2012 avec occupation du hall du Conseil Général 54) et à l’éthique professionnelle forte.

Depuis la reprise, un processus de discrimination et de harcèlement s’est mis en place contre les salariés de Vandoeuvre. Baisse des crédits, remise en cause permanente des compétences professionnelles, sanctions disciplinaires répétées(un avertissement voire deux pour chacun des 7 ex-“Vivre dans la ville” pour insubordination), mutations forcées ou changement de service prévus le 1er octobre (prévention spécialisée vers insertion professionnelle). Les arrêts de travail se multiplient.

Lire la suite :
http://www.antidelation.lautre.net/2-Travailleurs-sociaux-en

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 15:20


http://www.notav.info/wp-content/uploads/2012/12/no-tav.jpg
Transmis par Céline le 1er août 2013

- [No TAV] Comment faire tomber des théorèmes répressives….des milliers de personnes en solidarité aux No TAV perquisitionné(e)s… :
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/08/01/no-tav-no-repression-comment-faire-tomber-des-theoremes-repressives-des-milliers-de-personnes-en-solidarite-aux-no-tav-perquisitionnees/

- [Val Susa] Perquisitions à Turin et dans la vallée – Rassemblement de solidarité :
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/07/30/val-susa-perquisitions-a-turin-et-dans-la-vallee-rassemblement-de-solidarite/

- Solidarité avec Marta – Les femmes NoTav marchent la tête haute :
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/07/29/solidarite-avec-marta-les-femmes-notav-marchent-la-tete-haute/

- [No TAV - Turin] Charges de la police devant le tribunal…:
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/07/27/no-tav-turin-charges-de-la-police-devant-le-tribunal/

- [No Tav Savoie] La matraque et le chéquier :
http://notavfrance.noblogs.org/post/2013/07/26/no-tav-savoie-la-matraque-et-le-chequier/

Pour un été NO TAV !

Solidarité !

No Tav France

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 19:11


http://img.over-blog-kiwi.com/0/66/42/42/201307/ob_f3d65e9f2f92419e7f780de1ae498de9_aff4-medium-jpg.jpeg
Transmis par Céline le 1er août 2013

Le site dédié au projet contesté de l'aéroport du grand ouest, infrastructure prévue à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), a repris cette semaine des airs de Notre-Dame-de-la-poudrière.

Lundi 29 juillet, Jean-Paul Naud, maire sans étiquette de Notre-Dame-des-Landes, a signé un arrêté interdisant le déroulement du "Zad'nard déchaîné", manifestation prévue à partir du vendredi 2 août sur la future zone aéroportuaire.

Cet événement mêlant musique punk et multi-sons, orchestré par les zadistes – militants altermondialistes et anticapitalistes campant sur la zone – se veut le pendant alternatif du traditionnel rassemblement estival organisé, à la même époque, par les opposants historiques à ce projet d'équipement.

M. Naud, qui copréside le Collectif d'élus doutant de la pertinence de l'aéroport, juge le festival des zadistes illégal, car il "n'a fait l'objet d'aucune déclaration de la part des organisateurs". "Les personnes dénommées 'zadistes', écrit-il, n'ont dévoilé leur projet que par voie de presse".

La lecture de l'arrêté est sans appel : l'édile envisage de demander le concours de la force publique pour empêcher le déroulement de cet événement.

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/08/01/musique-et-couacs-autour-du-projet-d-aeroport-de-notre-dame-des-landes_3456387_3224.html

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 02:28

 



Aujourd'hui 10 juillet 2013, la Brigade Activiste des clowns s'est invitée au Castorama de La Défense pour "faire une chasse à la dernière abeille à coups de Roundup".

Une vingtaine de clowns, accompagnés d'autres militants, ont envahi le magasin dans la bonne humeur.

Mais pour la deuxième fois en deux mois, des vendeurs se sont comportés comme des voyous.

Deux vendeurs ont frappé les militants, sans aucune raison rationnelle : deux coups de boule, un coup de poing accompagnés de plusieurs menaces de mort dont "il faut vous mettre dans une chambre à gaz" !

Armés de deux aérosols anti-cafards, les vendeurs irresponsables ont aspergé à bout portant les yeux de plusieurs militants.

Le directeur du magasin, présent sur place, n'a rien fait pour empêcher ça.

Les agresseurs ont également cassé une caméra et saisi une carte mémoire ; celle-ci a été récupérée ensuite. La police est arrivée sur les lieux.

Quatre plaintes sont en train d'être enregistrées contre Castorama et les vendeurs en question.

Déjà il y a deux mois, plusieurs plaintes avaient été déposées contre un vendeur du même magasin qui avait agressé trois militants et également cassé une de leurs caméras. L'instruction est en cours.

Communiqué de Roundup Non Merci, 10 juillet 2013
http://www.roundup-non-merci.fr/

Plus d'infos sur l'agression des mois précédents :
http://www.desobeir.net/actualites2013.htm

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 16:17

DSCN8953Droit Au Logement Gironde Le 21 juillet 2013
Répression sécuritaire contre le D.A.L33
Communiqué – Appel à conférence de presse


Trois articles dans Sud-Ouest, un dans le Figaro, TV7, RTL, des dizaines de coups de fils et de mails d’insultes et de menaces essentiellement à caractère raciste et xénophobe, une plainte déposée contre X, des élus UMP et FN qui demandent notre dissolution : la sphère politico-médiatique s’est enflammée en apprenant que des familles d’origine étrangère avaient occupé un immeuble appartenant à une personne âgée de 84 ans à Bordeaux, dans le quartier Saint-Michel, soi-disant « installées par le D.A.L33 » qui aurait « fracturé la serrure ».

Le ton général de ces réactions, de la véhémence jusqu’à à la haine, criminalise l’action du D.A.L33, qui « met des mamies à la rue », « viole leur bien » et « fait dormir des indigènes dans leur lit » dès qu’elles ont le dos tourné …

Concrètement, cet immeuble était connu comme inhabité et ouvert depuis au moins six mois. Après vérifications, nous y avons constaté l’absence d’effets personnels et appris que son propriétaire était domicilié dans une autre ville. Le tout dans un bâtiment présentant tous les signes de vacance.

La contestation de ces faits n’a été qu’un choix stratégique visant à obtenir une expulsion rapide hors de la procédure classique. D’ailleurs, avant la forte médiatisation, les familles avaient reçu l’autorisation orale de la propriétaire de rester jusqu’en septembre. Aujourd’hui, les familles sont à la rue et l’immeuble demeure vide.

Les accusations portées sur le D..A.L33 sont les conséquences d'un contexte bien particulier :
- la démission du préfet à son obligation de loger ces familles, qui étaient en situation régulière, en vertu de l’arrêt du conseil d’Etat du 10 février 2012. Ces familles se trouvaient donc dans un état de nécessité absolue après avoir épuisé toutes les solutions légales possibles.

- le climat politique qui cède un large espace d'expression aux idées racistes, nationalistes et individualistes, ce qui autorise des élus U.M.P (F. Robert) ou F.N (M. Colombier) à avoir des propos mensongers dans la presse.

Tout cela n'est que l'alibi parfait et attendu du gouvernement pour s'attaquer aux initiatives solidaires du D.A.L de Gironde. Cela lui permet de réprimer ce genre d’activités grâce à une sur médiatisation qui révèle la large place laissée aux réactions xénophobes, identitaires et nationalistes dans la sphère publique : l’Etat va exactement dans le même sens que les idées d’extrême droite.

Reprenant l’article initial et approximatif de Sud-Ouest, ces idées d’un autre temps ont fait le tour du web, remis à toutes les sauces, notamment celle du repli identitaire. Les militant.e.s du D.A.L33 ainsi que les familles sont inondées de menaces et de propos haineux sur les réseaux d’extrême droite.

Un facebook de soutien à la propriétaire s'est ainsi constitué sans son accord et on peut y lire des propos tels que "défonçons à coup de barre à mine la gueule de ces tarlouzes"

Dans cette course au populisme, l’autoritarisme s’exerce de manière décomplexée : « on  veut la peau du D.A.L », c’est ce qui a été dit à un militant interpellé jeudi 18 juillet. Ce jour-là, à 7h du matin, à 4 endroits différents de Bordeaux, 25 policiers et 8 voitures de police sont venus réveiller quatre militant.e.s chez eux et saisir leurs téléphones, ordinateurs, disques durs et documents divers.

Ils ont ensuite été amenés au commissariat et placés 12 heures en garde à vue aux sorties desquelles aucune charge n'a été retenue contre eux. Aucune preuve d'une quelconque violation de domicile ou de dégradation ne leur a été soumis tandis que la police a conservé la plupart des objets saisis.

Le même jour, le local du syndicat Solidaires qui héberge gracieusement le D.A.L33 a lui aussi subi une perquisition, après avoir vu sa serrure forcée. Les familles ont elles aussi vécu plusieurs auditions durant lesquelles elles nous disent avoir subi des pressions pour dénoncer le DAL33. Quelle disproportion de moyens pour une simple suspicion de violation de domicile !

Le DAL33 ne se veut pas adversaire de particuliers, et regrette si cette propriétaire a eu l’impression que notre intention était de lui porter atteinte. En revanche, il continuera à promouvoir et à acter la solidarité par la réquisition de logements vacants, publics ou privés.

Un toit est plus qu’un droit, il est une nécessité vitale, et il n’y a pas de débat à ouvrir sur cette affirmation. Nous ne cèderons pas sur ce principe. C’est la meilleure réponse au mépris politique et sociétal que vivent les immigré-e-s en particulier, et les millions de foyers « bien de chez nous » qui connaissent au quotidien des problèmes liés au logement. C’est pourquoi nous nous mobilisons tous les jours, sans moyens financiers et sans distinction.

Pour plus d’informations, une conférence de presse sera donnée conjointement avec Solidaires mardi 23 juillet, à 11h30, dans leur local du 8 rue de la Course.

Contact :
DAL33 (Droit Au Logement de Gironde)
06 95 43 53 23
http://dal33.over-blog.com/
Source :
http://dal33.over-blog.com/communiqu%C3%A9-du-d.a.l-gironde

***
Compléments d'info

Le communiqué de La Fédération Nationale Droit Au Logement
http://dal33.over-blog.com/communiqu%C3%A9-du-d.a.l-national-soutien-au-d.a.l33
Le communiqué de Solidaires 33
http://dal33.over-blog.com/solidaires-33-perquisitionn%C3%A9-communiqu%C3%A9

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 10:08


http://s1.lemde.fr/image/2013/07/19/534x0/3450184_6_06c7_des-policiers-de-la-sous-direction_388f0a492745f1d1c8ce9607b1221842.jpg
Le 19 juillet 2013.

Circulez, il n'y a rien à voir ! Selon les informations du Monde, la juge d'instruction qui enquête pour "faux et usage de faux en écriture publique" sur un procès-verbal de filature dans l'affaire de Tarnac s'est heurtée à un mur du côté des policiers de la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire et de leurs collègues de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).

Le "PV104", de son numéro de cote au dossier judiciaire, a été rédigé le 8 novembre 2008 au petit matin. Il rend compte de la filature de Julien Coupat et de sa compagne, Yildune Lévy, qui a mené les policiers de Rueil-Malmaison, domicile des parents de Julien Coupat, jusqu'à Dhuisy (Seine-et-Marne), durant la nuit des sabotages de lignes SNCF, du 7 au 8 novembre 2008. Deux jours plus tard, le couple est interpellé puis mis en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste", avec sept de leurs amis rangés par la police dans la "mouvance anarcho-autonome".

Le groupe de Tarnac conteste la véracité du document et la présence de certains policiers, qu'elle soupçonne d'avoir utilisé une balise illégale sur la voiture du couple. De fait, aucun des fonctionnaires présents n'a vu le sabotage lui-même, alors qu'ils étaient une vingtaine, selon eux. Une plainte déposée en février 2011 avait provoqué l'ouverture d'une information judiciaire en novembre 2011. La juge d'instruction Nathalie Turquey avait alors auditionné le rédacteur du PV – un lieutenant de la SDAT – et son chef de groupe. Mais elle avait refusé d'entendre tous les fonctionnaires présents.

A la demande des avocats de Julien Coupat et Yildune Lévy, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles l'y a obligée, autorisant également l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), chargée de la commission rogatoire, à croiser leurs numéros de téléphone de l'époque avec la liste du trafic téléphonique autour du lieu du sabotage. L'objectif étant de vérifier leur présence. Quinze policiers, douze de la DCRI et trois qui étaient à l'époque à la SDAT, ont été entendus. L'IGPN a rendu sa copie à la juge au début du mois de juillet.

Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/07/19/tarnac-l-enquete-sur-une-filature-contestee-paralysee-par-les-policiers_3450150_3224.html

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22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 10:55


http://testeenvoorde.files.wordpress.com/2011/11/resf_71_solidarite_30.jpg
Depuis Bastamag, le 18 juillet 2013.

Le 27 août prochain, un citoyen français devra se présenter devant le tribunal correctionnel du Havre pour avoir établi une « fausse attestation » d’hébergement, en faveur d’une personne étrangère gravement malade et soignée au Havre. Sans cette attestation exigée par la préfecture, elle n’aurait pu déposer de demande de titre de séjour.

« Ce militant associatif a donc agi, évidemment sans contrepartie, dans un souci d’humanité, par solidarité et par nécessité afin de venir en aide à une personne en détresse », notent les sections locales du Syndicat de la magistrature, du Syndicat des avocats de France, et de la Ligue des droits de l’Homme (LDH). Les trois organisations dénoncent une « criminalisation de l’entraide » et rappellent que « le législateur a clairement aboli le délit de solidarité le 31 décembre 2012 ».

L’expression « délit de solidarité », lancée par ses opposants, fait référence à l’article L. 622-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. Puni de cinq ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros, ce délit permet de poursuivre « toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France ».

En vigueur depuis 1945, l’article a beaucoup fait parler de lui après l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007. Il a été utilisé par la police et les magistrats pour intimider les bénévoles venant en aide aux sans-papiers. La suppression de ce « délit de solidarité », vigoureusement dénoncé par le secteur associatif, faisait partie des promesses socialistes. Le 31 décembre 2012, une loi a modifié le délit d’aide au séjour irrégulier pour en exclure les actions humanitaires et désintéressées. De façon à pouvoir poursuivre les passeurs, mais pas les bénévoles et citoyens agissant par simple solidarité. La convocation du Havre semble revenir sur cette abrogation.

En réaction à cette convocation, des militants de la LDH envisagent d’envoyer une lettre ouverte au procureur du Havre, dans laquelle ils se déclareraient tous « coupables » d’avoir réalisé de telles attestations d’hébergement pour des personnes en situation irrégulière.

Source :
http://www.bastamag.net/article3203.html

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 13:07


http://img.youtube.com/vi/va1vwqybxG4/0.jpg
Le 9 juillet 2013, par Pihoute.

Partie de l’Hôtel de Ville d’où les « Veilleurs assis » se sont dispersés vers 1 heure du matin – après avoir été invités, pour ceux qui le souhaitaient, à se rendre individuellement à l’Elysée afin d’y rejoindre les « Veilleurs debout » – j’arrive rue du Faubourg Saint-Honoré avec trois autres Veilleurs.

Nous nous plaçons sur le trottoir et lisons en silence, repensant avec bonheur à ces trois heures de veillée, devant l’Hôtel de Ville, en présence d’un millier de Veilleurs. Tout d’un coup, une cinquantaine de gendarmes et de CRS solidement cuirassés arrivent, tandis que d’autres Veilleurs nous rejoignent calmement : nous sommes dix, puis trente, puis cinquante, debout, immobiles et en silence, à plusieurs mètres d’intervalle les uns des autres. Les CRS et les gendarmes ne cessent d’affluer, la disproportion de leurs dispositifs, comme toujours, est flagrante. Soudain, une directive fuse dans le silence de la nuit : « Allez les gars, on les pousse ! » L’objectif de ces hommes : créer un attroupement et provoquer une situation illégale. Nous n’avons pourtant reçu aucune sommation.

Nous restons debout, en silence, mais les policiers commencent à charger. Certains Veilleurs se laissent faire, docilement ; d’autres choisissent de s’asseoir, mais tous se mettent à chanter L’Espérance. Soudain, une jeune fille crie de douleur : un policier la pousse tout en lui pinçant très violemment la colonne vertébrale. Les forces de l’ordre précipitent sur nous les Veilleurs qui n’ont pas eu le temps de s’asseoir.

Je suis piétinée et me recroqueville en me couvrant le visage. Je finis par lever la tête et demande avec détresse au premier CRS que j’aperçois de venir me porter secours, car je suis écrasée dans la bousculade : il m’extrait de la cohue, tout en me faisant une clé de bras, alors que je ne demandais qu’à être retirée de cette poussée aveugle.

Je contiens ma douleur et subis cette violence gratuite en silence. Seulement, une fois debout, je suis poussée par un autre policier qui m’administre au passage une grande claque dans le dos, me faisant voler sur plus d’un mètre. Un collègue, en l’apercevant, intervient et lui demande alors de se calmer : il y a donc encore, en France, des hommes pour s’émouvoir à la vue d’un colosse cuirassé en train de frapper une jeune fille d’1m67 pour 48 kilos. Je contemple interdite les scènes semblables qui se multiplient autour de moi : des CRS administrent clés de bras et claques dans le dos, pincent les oreilles de certains, bien que nous n’opposions pas d’autre résistance que de nous tenir les uns aux autres. Certains CRS sont manifestement hors de contrôle.

L’un d’eux jette brutalement une mère de famille à terre, au milieu d’autres Veilleurs debout : deux collègues l’attrapent alors par son gilet, et le retirent du lieu sans dire un mot. Les personnes encore assises sont traînées sur plusieurs mètres avant d’être lâchées brutalement, à quelques dizaines de centimètres du sol. Un CRS ne relâche l’un de ces jeunes qu’après s’être assuré d’avoir arraché tous les boutons de sa chemise.

Un autre jeune, rouge et suffocant, est quant à lui tiré par le cou. Les personnes qui obtempèrent et ne demandent qu’à avancer sont projetées la face la première, qui contre les vitrines, qui contre les voitures. Celles qui ont le malheur d’être poussées sur la chaussée sont alors poussées en sens inverse par d’autres CRS, sous prétexte qu’elles n’ont pas le droit de s’y trouver.

Lire la suite :
http://blogs.mediapart.fr/blog/pihoute/090713/violences-policieres-le-temoignage-dune-veilleuse

Les Veilleurs devant l'Elysée - images d'une violence sans vergogne :

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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 08:26


http://www.dna.fr/fr/images/38A8815B-86B8-4452-9D53-63D853FAF2F3/DNA_03/29-militants-de-greenpeace-se-sont-introduits-ce-lundi-matin-dans-le-site-nucleaire-du-tricastin-a-la-mi-journee-ils-avaient-tous-ete-interpelles-photo-afp.jpg
Depuis Secours Rouge, le 16 juillet 2013.

Vingt-neuf militants de Greenpeace, dont un Belge, ont été interpellés lundi après avoir pénétré dans la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme) pour dénoncer des failles dans la sécurité.

Les militants sont entrés sur le site vers 05H00 du matin et ont déployé deux banderoles au niveau des réacteurs 1 et 3 où l’on pouvait lire : "Tricastin : accident nucléaire" et "François Hollande : président de la catastrophe ?" Plus tôt dans la nuit, Greenpeace avait diffusé le même message sur la façade des bâtiments avec un vidéo-projecteur.

Le gouvernement français étudie la mise en oeuvre de "sanctions pénales plus lourdes" en cas d’intrusion sur un site nucléaire, ce que souhaite EDF qui va "porter plainte pour violation de domicile comme les fois précédentes" après une dizaine d’intrusions de ce type.

Source :
http://www.secoursrouge.org/France-29-militants-de-Greenpeace

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